Bibliographie. Danton

Je viens de commander ce livre :  



"La Mort de Danton", par Léonce et Léna ; Woyzeck et Lenz (Poche)

Quelqu'un l'aurait-il déjà lu?  

... pas moi .

Bon tant pis ce sera la surprise

J'ai reçu de Chapitre.com le livre suivant :  

"Danton", par Louis Madelin, une édition du début du XXème siècle  



ça fait un moment que je cherche à trouver un livre sur Danton mais sans succès, donc là vu que j'en ai chopé un sur Chapitre je n'ai pas hésité. C'est bien le seul que j'ai pu choper  

Vous l'avez lu ?

Moi non, je ne l'ai pas lu, désolé.  

Mais non ne t'excuse pas enfin  

Mais c'est pas grave je passerai avant donc  

Chou d'amour a écrit:

ça fait un moment que je cherche à trouver un livre sur Danton mais sans succès, donc là vu que j'en ai chopé un sur Chapitre je n'ai pas hésité  

C'est vrai qu'ils ne sont pas très nombreux, après tout.
J'achète rarement les éditions plutôt anciennes, ce qui explique que je sois passé pour l'instant à côté de Danton.

C'est ainsi que je vous avais comprise !

Ah moi hormis le règne de Louis XVI et la vie de Madame Royale durant la première moitié du XIXème siècle j'ai encore tout à apprendre  

J'ai reçu le livre cité plus haut "La Mort de Danton", par Léonce et Léna ; Woyzeck et Lenz.

Il s'agit d'un récit sous forme de pièce de théatre, avec des dialgues retraçant la mort de Danton
Plus vivant donc (si je puis dire ), mais aussi avec sans aucun doute des prises de liberté...

Cette mort fut pleine de panache !
J'en connais tous les détails parce que j'ai suivi Hérault de Séchelles jusqu'au tranchoir de Sanson.  Or, Danton et lui y furent ensemble.

Je connais surtout sa réplique face à Sanson (excellente et mémorable ), mais sinon je vais découvrir

C'est clair que, toute sa mort en répliques, cela implique forcément des libertés, vu qu'il a dû y avoir pas mal de moments de silence, aussi.

Je pense qu'il y a aussi les moments de son arrestation, enfin j'espère car le livre est de taille normale, ou alors oui ils ont vraiment brodé

J'en parlerai quand je le lirai

Merci ! Je suis curieuse...

J'ai regardé sur mes rayonnages et voici le peu que j'y ai trouvé :

-Ce bon Monsieur Danton de
Jacques Rougon
Plon , 1929, 375 p
( Le roman des grandes existences )

-La vie amoureuse de Danton de
Georges Lecomte
Flammarion, 1927, 184 p

Et une pièce de théâtre :

-La mort de Danton de
Georg Büchner
Aubier-Flammarion, 1972, 242 p

Sinon, sur Danton, il existe aussi ce livre :

Danton d'Hermann Wendel
Payot, 396 p

et aussi cet article

Danton, le régicide, était un bon père de
Marig Oharian
In Historia , 1996, 595 (juillet), p. 8-10 .

Merci pour ces références. Est-ce que parmi celles-ci il y a en une en particulier que vous recommanderiez pour y voir clair dans sa carrière ?

Je pense que le livre de Wendel pourrait vous aider...

Merci pour votre aide, je pense que ça m'aidera à digérer le Bluche !

J'espère vous avoir été utile...

Oui bien sûr, car il y a de quoi se perdre dans la bibliographie des personnages de la révolution !

C'est comme vous dîtes...

Voici un livre tout récent sur Danton

Danton : Le géant de la Révolution de
David Lawday et al.
Albin Michel, 31 octobre 2012, 400 p : 25 euros

Une biographie grand public, vivante, qui rassemble les documents existants et fait la lumière sur Danton, personnage controversé de la Révolution française. Souvent présenté comme le pendant modéré du terrible Robespierre et comme un ardent démocrate, Danton est aussi un politicien sans scrupule, corrompu, profitant d’événements dans lesquels il n’est jamais en première ligne. Cet avocat d’origine modeste, venu de province, est un orateur talentueux, un tribun du peuple, capable de pousser les sans-culottes à l’action à travers de puissants discours. Chef des Cordeliers, à l’origine de la devise « Liberté, égalité, fraternité », substitut adjoint du procureur de la commune, puis ministre de la justice, il tente de servir l’esprit de la révolution, ou ses intérêts ?, par différentes alliances. Il vote la condamnation à mort du roi, tout en essayant d’enrayer la Terreur des Montagnards, et motive les troupes françaises en guerre avec les monarchies européennes. Mais cinq ans après 1789, à 34 ans, il meurt guillotiné sous les ordres de Robespierre, après un procès écourté, non sans avoir demandé au bourreau : « Montre ma tête au peuple, elle en vaut la peine ».