Je dois voir ce film.
Son violon la dit dans toutes ses nuances et elle lui en est infiniment reconnaissante. Le violon d’Angèle Dubeau, qu’elle a chéri toute sa vie, nous accompagne le long du film
Angèle en quatre temps. Quatre temps, comme quatre saisons dans la vie d’une femme, c’est le thème développé par la réalisatrice et scénariste Isabelle Depelteau pour accompagner le parcours de la musicienne. Née dans une famille de musiciens, la petite Angèle raconte comment son père se couchait devant la porte de sa chambre pour l’entendre jouer. Plus tard, la virtuose a hérité à 15 ans d’un stradivarius du XVIIIe siècle ayant appartenu à Arthur Leblanc. À travers diverses images et vidéos d’archives, de Saint-Norbert à Montréal, puis à New York et en Roumanie, Angèle Dubeau apparaît non seulement comme une interprète virtuose, mais aussi comme une vraie leader et le précieux porte-voix d’une fructueuse démocratisation de la musique classique.
https://www.ledevoir.com/culture/cinema/558530/angele-en-quatre-temps
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X est la force deux fois pure