Le Boudoir de Marie-Antoinette

Prenons une tasse de thé dans les jardins du Petit Trianon
 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

 

 14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
yann sinclair

yann sinclair


Nombre de messages : 26294
Age : 66
Localisation : Versailles
Date d'inscription : 10/01/2016

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Empty
MessageSujet: 14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours   14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Icon_minitimeDim 13 Oct - 18:50

Lundi 14 octobre 1793
St Calixte
Tridi 23 vendémiaire an II Navet

Comparution de Marie-Antoinette devant le Tribunal révolutionnaire

Il est 8H du matin

La Reine Marie-Antoinette est juste derrière cette fenêtre de sa cellule à la Conciergerie et attend que l'on vienne la chercher pour son jugement au Tribunal Révolutionnaire, ce jour
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Concie15
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours 469px-12
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours 186
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours 256
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Concie13
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Concie14
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Concie12
LE PROCÈS
Coupable désignée

Marie-Antoinette est déférée devant la juridiction parisienne, le 14 octobre 1793
Gérard Walter, Le Procès de Marie-Antoinette, 23-25 vendémiaire an II (14-16 octobre 1793).
Actes du Tribunal révolutionnaire, Éditions Complexe, 1993, 110 p.


Depuis la mort du roi, la reine n’a plus la même densité politique, et "la veuve Capet", à la différence de son époux, comparait devant une véritable institution et non pas devant la représentation nationale.

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Ob_f7e11
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tribunal_r%C3%A9volutionnaire

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Tribun10

Un public nombreux assiste à l'audience du tribunal révolutionnaire, chargé de juger Marie-Antoinette.


La reine est conduite vers un fauteuil, placé bien en vue, sur une petite estrade.
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Chaise10

En face, sont assis Armand Herman, entouré de ses assesseurs, Étienne Foucault, Joseph Donzé de Verteuil, et Marie Joseph Emmanuel Lanne.

Le Président Herman va diriger les débats et c'est lui qui prend la parole en premier pour prier l'accusée de se présenter
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Presid10
Martial Herman

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Captur69
Nommez-vous?
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Nommez10
"Je m'appelle Marie-Antoinette de Lorraine d'Autriche, veuve du Roi de France "
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Tribun11

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours 14_oct10

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Antoin21
Dans un coin sombre est assis Fouquier-Tinville.
L' accusateur public, Antoine Fouquier-Tinville
C'est lui qui est chargé de couvrir Marie-Antoinette de tous les mots possibles et imaginables

Les témoignages qui se succèdent à la barre n’apportent guère de charges sérieuses contre l’accusée, qualifiée de "fléau et de sangsue des français"par l’accusateur public, Fouquier-Tinville.

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Fouqui10

Trois chefs d’accusation sont retenus:

- d’avoir épuisé le trésor national

- d’avoir entretenu des intelligences et des correspondances avec l’ennemi

- d’avoir tramé des conspirations contre la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Captur68

Les douze jurés font leur entrée.

Fabricius, le greffier lit les huit feuillets de l'acte d'accusation.

Commence alors l'interminable défilé des témoins.

Durant quatre séances, étalées sur deux jours, ils seront quarante à être appelés à la barre. Aucun de ces témoins n'apportera des éléments décisifs.

La dignité et la hauteur de vue de la reine lui vaudront l'admiration générale. les témoignages sont fondés sur des racontars ou des affabulations.

Il y a plusieurs instants d'émotion. Le plus célèbre se situe après la déposition de Jacques-René Hébert.

Ce dernier a osé soutenir devant le tribunal que "ces deux femmes (Marie-Antoinette et Élisabeth de France) faisaient coucher (Louis-Charles) (Louis XVII) entre elles deux; que là, il se commettait des traits de la débauche la plus effrénée.

Qu'il n'y avait pas même à douter, parce qu'a dit le fils Capet, qu'il n'y ait eu un acte incestueux entre la mère et le fils"

Le président Herman est visiblement embarrassé, fait dévier les débats sur "l'affaire de l'Œillet"

Mais après quelques questions, un juré revient sur les propos d'Hébert

Herman demande alors à Marie-Antoinette de s'expliquer.


L'exclamation indignée de la reine reste dans toutes les mémoires: "J'en appelle à toutes les mères !"


Elle suscita dans l'assemblée un mouvement d'admiration qui fit suspendre les débats.


Avant de clore les débats, le président Herman s'adresse à Marie-Antoinette: "Ne vous reste-t-il plus rien à ajouter pour votre défense ?"


La reine lui répondit qu' "hier, je ne connaissais pas les témoins.


J'ignorais ce qu'ils allaient déposer.


Eh bien, personne n'a articulé contre moi aucun fait positif.


Je finis en observant que je n'étais que la femme de Louis XVI, et qu'il fallait bien que je me conformasse à ses volontés


Hébert a emporté avec lui la déposition de l'enfant le 6 octobre et l'a lue au tribunal le 14 octobre.

Les minutes du procès de la Reine ne révèlent aucune mention de la double confrontation du 7 octobre.

La Reine ignore donc cet événement.

C'est pourquoi Marie-Antoinette parle de l'outrage subi par Madame Élisabeth, mais ne dit mot des réactions possibles de sa fille qui, autant qu'elle sache, ignore ces accusations.

En effet, dans sa déposition, l'enfant met en cause la tante, mais pas la sœur (ce n'est d'ailleurs certainement pas un enfant de 8 ans qui a prononcé le mot copulation )

Or Fouquier-Tinville n'a pas demandé cette confrontation qui n'a donc pas servi contre la Reine.

Elle n'est pas davantage dirigée contre Madame Élisabeth car, le cas échéant, il n'aurait pas été nécessaire d'obtenir, moins de trois semaines plus tard, la nouvelle déposition du 26 octobre qui servira à charge contre elle.

Elle n'a pas davantage été utilisée contre Madame Royale qui n'est jamais passée en jugement.

La double confrontation n'a donc aucune justification judiciaire.

Elle fut donc imaginée dans un autre but.

Lequel?

Et qui en fut le maître d'œuvre?

A l'époque, le maître absolu du Temple, c'est Chaumette.

Ce génie du mal a vite compris que l'assassinat du Roi ne suffisait pas à éradiquer la royauté.

Le vrai germe tueur qu'il fallait introduire dans le sang de la vieille monarchie était le doute quant à la survivance de Louis XVII parce que, dès lors, les successeurs désignés par la loi salique, n'étant plus sûrs de leur légitimité, se condamnaient à l'insignifiance et à la disparition.

C'est donc lui qui organisa cette mascarade dès le lendemain de la première déposition, afin de faire avaliser un substitué par la propre famille royale.

Qui, après cela, oserait prétendre que cet enfant n'était pas le fils de Louis XVI ?

Et alors, tout devient clair.Simple machiavélisme ou démence, la supercherie germée dans les cerveaux révolutionnaires a atteint son but puisque personne n'a contesté l'identité de l'acteur principal, par candeur ou par intérêt.

C'est ce même procédé qui avait déjà été employé pour tromper sur l'identité du même enfant en le faisant visiter par une délégation du Comité de Sûreté Générale le 7 juillet 1793, cette même délégation qui autorisa enfin les promenades de l'enfant.

Tous les chercheurs répètent, les uns après les autres, que Drouet en était, faisant mine de le considérer comme une garantie de l'identité de l'enfant.

Pourtant, il suffit de relire avec attention le récit de l'équipée de Varennes pour constater que cet individu n'a jamais approché le Dauphin pendant ces sinistres journées.

C'est donc un pur mensonge.



Ses avocats commis d’office, Chauveau-Lagarde et Tronçon-Ducoudray, sont avertis à la dernière minute et ont à peine le temps de décortiquer l’amas confus et volumineux des pièces du procès.


Marie-Antoinette à la Conciergerie sous la surveillance constante de ses geôliers


Trois chefs d’accusation sont retenus:

- d’avoir épuisé le trésor national

- d’avoir entretenu des intelligences et des correspondances avec l’ennemi

- d’avoir tramé des conspirations contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État



Les témoignages qui se succèdent à la barre n’apportent guère de charges sérieuses contre l’accusée, qualifiée de "fléau et de sangsue des français"par l’accusateur public, Fouquier-Tinville.


Les attaques personnelles se multiplient allant même jusqu’à l’accuser d’inceste. Indignée, sa célèbre riposte "Si je n'ai pas répondu, c'est que la nature elle-même refuse de répondre à de telles accusations faites à une mère.
J’en appelle à toutes les mères!"
va émouvoir et transformer l’atmosphère du tribunal, sans pour autant atteindre les jurés.

Malgré l’ardeur de ses avocats qui opposent à la gravité des accusations l’absence de preuves, le sort de la reine est déjà fixé.


Marie-Antoinette à la Conciergerie sous la surveillance constante de ses geôliers


Après que le président Herman lui ait demandé de décliner son identité avant de l'interroger, la Reine répondra en utilisant la troisième personne: en effet ce n'est pas Marie-Antoinette de Lorraine d'Autriche qui est concernée mais la Reine de France.

-Non contente d'avoir dilapidé de façon effrayante les finances de la France, fruit des sueurs du peuple, par vos plaisirs et vos intrigues, de concert avec des ministres infâmes, vous avez fait passer des millions à l'Empereur (d'Autriche, note SCB) afin qu'il s'en serve contre le peuple qui vous nourrissait.

-Jamais. La Reine sait que très souvent on s'est servi de ce moyen contre elle; qu'elle aimait trop son époux pour dilapider l'argent de son pays; que son frère l'Empereur n'avait aucun besoin de l'argent de la France; et, par les mêmes principes qui l'attachaient à la France, elle ne lui en aurait point donné

-Lorsqu'il était question de savoir si Louis Capet sanctionnerait ou opposerait son veto aux décrets rendus dans le courant de septembre 1791 concernant ses frères, les émigrés et les prêtres réfractaires et fanatiques, ce n'est pas vous qui avez déterminé Louis Capet à apposer son veto à ces décrets ?

-Mon époux n'avait pas besoin qu'on le pressât pour faire ce qu'il croyait de son devoir; que la Reine n'était point de son Conseil, que ce n'est que là que ces sortes d'affaires se traitaient et se décidaient.

-C'est vous qui avez appris à Louis Capet cet art de profonde dissimulation avec laquelle il a trompé trop longtemps le bon peuple français qui ne se doutait pas qu'on pût porter à un tel degré la scélératesse et la perfidie.

-Oui, le peuple a été trompé; il l'a été cruellement, mais ce n'est pas par la Reine ni par son mari.

-Vous n'avez jamais cessé un moment de vouloir détruire la liberté; vous vouliez, à quelque prix que ce fût, remonter au trône sur les cadavres des patriotes !

-Le Roi et la reine n'avaient pas besoin de remonter sur le trône puisqu'ils y étaient; qu'ils n'ont jamais désiré que le bonheur de la France, qu'elle fut heureuse; mais qu'elle le soit, ils seront toujours contents.

Après cet interrogatoire qui eut lieu en présence de Fouquier-Tinville, lequel n'évoqua pas les aveux extorqués au jeune Louis XVII, la Reine fut reconduite dans sa geôle de La Conciergerie.

Le procès ouvert ce 14 octobre, devant le Tribunal  Révolutionnaire créé à l'instigation de Danton, va durer deux jours. Herman proposa à la Reine si elle désirait un avocat. Elle n'en connaissait point. Deux avocats furent désignés d'office, Tronson-Ducoudray et Chauveau-Lagarde, d'honnêtes personnes à l'esprit droit. Ils arrivèrent dans la nuit du 13 au 14 octobre à La Conciergerie afin de compulser quelques rares documents: vraiment pas le temps de préparer une plaidoirie solide. Mais ce n'était pas la préoccupation du Tribunal Révolutionnaire, qui avait la particularité de juger sans Appel ni Cassation !!! Ni Appel au Peuple...évidemment !!!

Ainsi le Tribunal Révolutionnaire voulait donner, et laisser l'image d'une justice sereine, digne, vraie; on va assister à une exhibition d'individus aussi crapules que les magistrats, eux-mêmes dignes ancêtres de Vychinsky (procureur stalinien) ou Freisler (juge hitlérien) ou Mornet (procureur à la libération).

Il faut retenir qu'avant l'organisation du ""procès"", le verdict est déjà posé, les dès sont pipés. En effet, l'affaire du "Complot de l’œillet", projet d'évasion de la Reine esquissé le 28 août 1793, projet mal ficelé, va déclencher l'ire des Psychopathes conventionnels: Billaud-Varennes monte à la Tribune de la Convention le 3 octobre et à la fin d'un discours vitupérant de façon éhontée  contre "l'Autri-chienne" (admirons le savant jeu de mots)  propose que "la veuve Capet, la honte de l'humanité et de son sexe soit décrétée d'accusation et exécutée". Ce projet enthousiasme l'Assemblée qui le vote.

Donc, alors qu'un pseudo-procès est ouvert le verdict est d'ores et déjà prononcé. Mais l'Histoire, qui était autrefois enseignée, est sauve: la République a assuré à la femme du Tyran un procès équitable. Et les membres du système appelé Éducation Nationale en sont les parfaits complices. Non ce procès ne fut pas équitable, il fut inique et nous le découvrirons dès demain.
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Ob_f7e10

https://books.google.fr/books?id=_DnuY85Nyp4C&pg=PA104&lpg=PA104&dq=G%C3%A9rard+Walter,+Le+Proc%C3%A8s+de+Marie-Antoinette&source=bl&ots=zt4dp_ixeg&sig=85qtfMW4fBsNd2t1RciX6ZaDEy8&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwidm5ykgNrPAhVGOxQKHd_cD8kQ6AEIJDAB#v=onepage&q=G%C3%A9rard%20Walter%2C%20Le%20Proc%C3%A8s%20de%20Marie-Antoinette&f=false



Les attaques personnelles se multiplient allant même jusqu’à l’accuser d’inceste. Indignée, sa célèbre riposte "Si je n'ai pas répondu, c'est que la nature elle-même refuse de répondre à de telles accusations faites à une mère. J’en appelle à toutes les mères!" va émouvoir et transformer l’atmosphère du tribunal, sans pour autant atteindre les jurés.

Malgré l’ardeur de ses avocats qui opposent à la gravité des accusations l’absence de preuves, le sort de la reine est déjà fixé.
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Ob_1d510

14 octobre: Marie-Antoinette au Tribunal révolutionnaire, gravure d'après Paul Delaroche



_________________
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours C_icgp11
👑    👑   👑
   ⚜king
Revenir en haut Aller en bas
http://louis-xvi.over-blog.net/
gedekrogrodwa

gedekrogrodwa


Nombre de messages : 65
Date d'inscription : 24/08/2018

14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Empty
MessageSujet: Re: 14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours   14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours Icon_minitimeJeu 24 Oct - 3:44

Merci M. Sinclair, vous vous êtes surpassé. 14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours 921108

_________________
emêrpus noitacitsihpos al tse éticilpmis al
Revenir en haut Aller en bas
 
14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): 8H du matin: Début du procès de Marie-Antoinette va durer deux jours
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» 14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): Le procès de la Reine va durer deux jours
» 14 octobre 1793 (23 vendémiaire an II): Procès de Marie-Antoinette
» 12 octobre 1793 (21 vendémiaire an II): Procès de Marie Antoinette
» 15 octobre 1793 (24 vendémiaire an II): Dernier jour du procès de Marie-Antoinette
» 03 octobre 1793: Le procès de Marie Antoinette

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Boudoir de Marie-Antoinette :: Au fil des jours :: 1793 :: Octobre-
Sauter vers: