Chevalier (film sur Saint-George)

Ce matin nous apprenons par des sources diverses que Lucy Boynton sera Marie Antoinette dans un nouveau biopic sur Saint Georges.



Kelvin Harrison Jr sera Saint Georges.



Les sources sont les suivantes.
https://www.tatler.com/article/lucy-boynton-marie-antoinette-kelvin-harrison-jr-composer-chevalier-de-saint-georges-new-biopic
https://see.news/lucy-boynton-to-play-marie-antoinette-in-new-movie/

L'information est tombée en français aussi.

Je vous la partage

• Lucy Boynton prêtera ses traits à Marie-Antoinette dans le film "Le chevalier"
  
  Mercredi 4 août 2021, Deadline a révélé que Lucy Boynton, se glissera dans la peau de la reine de France Marie-Antoinette, pour le film "Le chevalier". Réalisé par Stephen Williams ("Watchmen"), le projet s'annonce très ambitieux.
  
  
  
  Après Norma Shearer dans le film américain "Marie-Antoinette" de W. S. Van Dyke en 1938, Marion Dorian dans "L'Affaire du Collier de la Reine" de Marcel L'Herbier en 1946, Lana Marconi dans "Si Versailles M'était Conté..." de Sacha Guitry en 1953, Kirsten Dunst dans "Marie-Antoinette" de Sofia Coppola en 2006 ou encore Diane Kruger dans "Les Adieux à la Reine" de Benoît Jacquot en 2012, c'est au tour de Lucy Boynton de prêter ses traits à Marie-Antoinette dans un nouveau film. Révélé dans "Le crime de l'Orient" ou encore dans "Bohemian Rhapsody", l'actrice se glissera dans la peau de la reine de France dans "Le Chevalier", de Stephen Williams. Le long-métrage se concentrera sur la vie de Joseph de Bologne de Saint-George, connu sous le nom de Chevalier de Saint-George, un musicien noir originaire de Guadeloupe. Issu d'un père colon et d'une mère esclave, il avait réussi à se faire une place auprès des membres très intimes de Marie-Antoinette.
  
  Le Chevalier de Saint-George un personnage révolutionnaire
  
  Pour interpréter ce musicien et Chevalier de Saint-George, c'est Kelvin Harrison Jr, qui a été choisi. Une lourde tâche pour le comédien qui se devra être à la hauteur pour incarner ce favori de Marie-Antoinette et du Roi Louis XVI, qui fut également le premier franc-maçon noir.La popularité du chevalier fut toutefois de courte durée puisqu'il provoqua sa chute suite à une liaison avec une noble mariée et d'un différend avec Marie-Antoinette. Au cours de sa vie, l'homme s'est aussi distingué pour sa faculté à manier les armes, la danse et l'équitation.
  
  Au casting du long-métrage on retrouvera également Samara Weaving, qui jouera Marie-Joséphine, une femme bafouée, qui fera tout pour intégrer l'opéra de Joseph de Bologne. Si le casting se dévoile peu à peu, il n'y a pour le moment aucune information sur la date de sortie du film.

Cet article est écrit par Mathilde Dandeu, Jellyfish France.
Lien https://cineday.orange.fr/actu-cine/lucy-boynton-pretera-ses-traits-a-marie-antoinette-dans-le-film-le-chevalier-CNT000001DaDBx.html

Qui sera la Star ? Saint-Georges ou Marie-Antoinette ?

https://www.vanityfair.fr/savoir-vivre/article/l-incroyable-destin-du-chevalier-de-saint-george-le-professeur-de-musique-de-marie-antoinette

kinda dunst

Film sur la vie trépidante du chevalier de Saint-Georges, musicien de Marie-Antoinette



attendu dans les salles obscures pour le 5 avril prochain.

Le voile se lève petit à petit sur ce film.

Chevalier, en 2023, racontera l'histoire de l’altiste créole Joseph Bologne, joué par Kelvin Harrison, qui deviendra un génie musical renommé connu encore de nos jours sous le nom de Chevalier de Saint-Georges. Présenté l'année dernière au Festival international du film de Toronto, le film a été bien accueilli. Mais il faudra encore patienter pour le voir dans les salles.



Et qui découvrirons-nous Marie-Antoinette ?  
Lucy Boynton.



Des commentaires ?  

Inspiré de l’incroyable histoire vraie du compositeur Joseph Bologne, Chevalier de Saint-Georges. Fils illégitime d’un esclave africain et d’un propriétaire de plantation français, Bologne (Kelvin Harrison Jr. dans un tour de force) atteint des sommets improbables dans la société française en tant que célèbre violoniste-compositeur et escrimeur, avec une histoire d’amour malheureuse et une brouille avec Marie-Antoinette (Lucy Boynton) et sa cour.


Samara Weaving (Marie Joséphine)


Comment Chevalier a-t-il été reçu par les critiques jusqu’à présent ?
Au moment d’écrire ces lignes, moins de vingt critiques ont mis leur grain de sel sur le film après sa première au TIFF, mais c’est toujours un début prometteur qui a donné des critiques généralement favorables. Propre de ScreenRant Mae Abdulbaki décrit le film comme « magnétique », disant que Chevalier est « une fiction historique qui s’élève au-delà du biopic conventionnel pour livrer un drame mémorable sur la vie de son sujet ». Indiewire Kate Erbland était un peu plus critique de la dépendance occasionnelle du film aux tropes biographiques, mais loue l’originalité de certaines séquences comme le duel de violon susmentionné et dit que le film est à son meilleur lorsqu’il n’est pas « redevable aux rythmes et attentes narratifs habituels » .



Outre Kelvin Harrison Jr., nous retrouverons dans Chevalier Tissage de Samara (Prêt ou pas), Lucy Boyton (Rhapsodie bohémienne), Marton Csokas (L’égaliseur), Alex Fitzalan (Homme svelte), et Minnie Chauffeur (Chasse de bonne volonté).

Rendez-vous avec tout ce beau monde le vendredi 7 avril 2023.

On veut en savoir plus sur Lucy Boynton ?

La prochaine Marie-Antoinette au cinéma, ce sera elle. Lucy Boynton a récemment filé dans le XVIIIe siècle, devant la caméra de Stephen Williams, pour tourner Chevalier, l'histoire extraordinaire de Joseph Bologne de Saint-George, Antillais né esclave, violoniste virtuose et escrimeur accompli, devenu une figure majeure du siècle des Lumières en défiant tous les préjugés de son temps. Pour l'actrice américano-britannique, ce n'est pas seulement un tournage de plus. « Ça a été un excellent enseignement sur l'importance de remettre en question les perceptions que l'on a des gens. Et un rappel que l'histoire a toujours un auteur. Je suis arrivée avec des idées préconçues -et le travail de recherche a vraiment bouleversé ce que je croyais savoir. Je ne connaissais rien de Joseph Bologne : ce fut donc une période de découverte tout à fait fascinante. »

Le premier jour du Festival du film américain de Deauville, en septembre, Lucy Boynton arborait un sourire d'ange. Venue sur les planches avec son compagnon Rami Malek, rencontré en 2018 sur le tournage du film Bohemian Rhapsody, la jeune femme de 28 ans était invitée à rejoindre la scène pour recevoir des mains d'Élodie Bouchez le prix Nouvel Hollywood de cette 48e édition. « Je suis très émue de ce prix, j'aime mon métier plus que je ne peux l'expliquer, et je suis très reconnaissante de ce geste de confiance et d'encouragement », confiait-elle alors.

Son enthousiasme et son engagement ne manquent pas d'impressionner

Ce soir-là, elle applaudissait chaleureusement Jane, le film d'ouverture réalisé par Phylis Nagy, qui raconte l'histoire du combat des femmes américaines pour le droit à l'avortement. « J'espère que tout le monde verra ce film qui prouve que l'industrie du cinéma peut s'emparer de ce sujet vital, et proposer au public une enquête pleine d'empathie. »

Dans le monde tel qu'il est, son enthousiasme et son engagement ne manquent pas d'impressionner. Tout comme la robe Chanel que l'ambassadrice de la maison avait choisi de porter - on apprendra au passage que 45 000 éléments de broderie et plus de mille heures de travail ont été nécessaires à son élaboration. Car c'est cela aussi, le cinéma : la collision des univers, la rencontre des récits, des savoir-faire, des temporalités.

https://www.vanityfair.fr/ecrans/article/lucy-boynton-le-choix-de-la-reine


C'est certain, elle est mignonne. Mais plus la filmographie avance, plus on s'écarte du physique de Marie-Antoinette.

Lucy Boynton est une Marie-Antoinette très cernée.



Il faudrait lui conseiller un bon maquilleur.

Déjà sur Rotten Tomatoes

https://www.rottentomatoes.com/m/chevalier_2022

Photo inspirante

Place aux intrigues !

• Chevalier Review: A Brilliant Artist Faces Racial Animosity in 18th Century France
  
  Joseph Bologne (Kelvin Harrison Jr.) romances Marie-Josephine (Samara Weaving) but loses favor with Marie Antoinette (Lucy Boynton) in Chevalier.
  
  
  
  Chevalier tells the remarkable true story of Joseph Bologne, the biracial son of a wealthy plantation owner and slave who rose to artistic acclaim before the French Revolution. Bologne, played superbly by Kelvin Harrison Jr., excelled in the violin, piano, and fencing despite facing hideous racism. His incredible talent and determination attracted the attention of Queen Marie Antoinette (Lucy Boynton). But it was his ill-fated romance with married opera singer Marie-Josephine de Montalembert (Samara Weaving) that shook Parisian society. Chevalier is an exquisite and well-acted period drama. It brings to light the brilliance of an extraordinary man purposely forgotten by history.
  
  Joseph Bologne (Harrison Jr.) watches intently as the famed Wolfgang Amadeus Mozart (Joseph Prowen) delights a theater of aristocrats with his virtuoso violin. The applause turns to gasps as the Black upstart walks unto the stage for a friendly competition. The film flashes back a decade earlier as a young Joseph is dropped off by his father at a prestigious school. The racist headmaster doesn't accept bastards, especially one of mixed race. Disgust turns to wonder as Joseph shows his violin prowess. He's allowed admittance but cannot be second in any regard. Bullies and beatings are soon followed by begrudging respect.
  
  Marie-Josephine's Attention
  
  
  
  Marie Antoinette (Boynton) parades smugly with Joseph after his audacious display. He stuns the fawning crowd with a bold announcement. The Chevalier de Saint-Georges desires to be the conductor of the esteemed Paris Opera. Marie cheers his intention, but others aren't amused. Lady Marie-Madeleine Guimard (Minnie Driver) doesn't take kindly to rejection. She seethes as Joseph focuses his attention on Marie-Josephine (Weaving).
  
  Louis Philippe (Alex Fitzalan) warns Joseph to tread carefully in his amorous pursuit. Marie Josephine, a fantastic singer, is married to the vicious Marc René (Marton Csokas), the Marquis de Montalembert. He destroys enemies on the battlefield; imagine what he would do to a multiracial kid who didn't "know his place."
  
  Chevalier sharply contrasts class and race inequality. Aristocrats drink, dine, and cavort in luxurious splendor. Their parties and idle endeavors can't drown out the boiling rage of oppressed peasants. Director Stephen Williams (Lost, Watchmen) cuts away from lavish hedonism to show the beginning stages of a bloody coup. Joseph becomes keenly aware of mass discontent as his own station is threatened by jealousy and bigotry. A lifelong effort to belong where he wasn't wanted leads to the embrace of commoners previously shunned.
  
  A Cultivated Image
  
  
  
  Affairs, palace intrigue, and political machinations sizzle in tempestuous subplots. Joseph and Marie-Josephine have a magnetic attraction. It's obvious to everyone around them and sparks salacious rumors; which aren't tolerated by her cruel husband. Marie Antoinette, the commoners' primary villain, whether justified or not through torrid smearing, has no real loyalty to Joseph. She basks in his celebrity until it becomes a detriment. Her cultivated image won't be tarnished for friendship with a racially inferior man.
  
  Harrison Jr. exhibits significant range in an all-encompassing performance. Joseph is the best at everything deemed admirable. His skill is unmatched from the bedroom to stage. But pride and arrogance doesn't overcome systemic oppression. The nail that sticks out gets hammered. A bitter third act takes the shine off marvelous settings, costumes, and illicit rendezvous.
  
  A Contemporary of Mozart
  
  Chevalier sweeps you off your feet to a certain extent. The plot doesn't really have any surprises, but that's not a dealbreaker in this instance. I didn't have a clue about Joseph Bologne before watching this film. He wasn't in my history books as a known contemporary of Mozart. Black figures of his stature weren't taught for obvious reasons better left out of this review. Audiences will finally learn about a man who deserves to be known.
  
  Chevalier is a production of Element Pictures and TSG Entertainment. It will have a theatrical release on April 21st from Searchlight Pictures.
  https://movieweb.com/chevalier-review/

J'ai bien peur que les intrigues de coeur ne prennent trop de place au détriment de la musique.

Le drame du racisme est présent dans tout le film. Saint-George n'a pu diriger l'Opéra de Paris à cause de la couleur de sa peau. Malgré sa célébrité de son temps et son réel talent (voir la joute -sans doute imaginaire mais bien représentative- avec Mozart au début du film), son nom sera éradiqué de l'Histoire. N'oublions pas que ce bon Napoléon a fait rétablir l'esclavage.

Ce genre de biopics est nécessaire pour remettre les personnes racisées à la place qu'elles méritent.

Trop vrai
On dit que Saint-George était trop proche de la reine.



C'est sûr qu'elle était pas raciste elle.

Il y a-t-il une date de sortie de ce film pour la France ?

Dorothy Vallens a écrit:

voir la joute -sans doute imaginaire mais bien représentative- avec Mozart au début du film

Adélaïs a écrit:

Il y a-t-il une date de sortie de ce film  pour la France ?

Bah d'après wiki, il est déjà sorti. Sans doute retardé.

Certains l'ont déjà vu, et le dézinguent.
Caricatural, réducteur, plus focus sur les histoires de cul que sur la grande histoire. Bref, décevant pour Manon Dumais dans Le devoir.

... Campé dans un Paris anachronique et trop propre pour être vrai, avec immeubles haussmanniens en sus, Chevalier rend compte des préjugés, des humiliations, des attaques violentes et du racisme auxquels Saint-Georges, incarné par le charismatique Kelvin Harrison Jr., a dû faire face tout au long de son existence. Ce faisant, les créateurs ont mis l’accent sur l’une des nombreuses liaisons qu’il a eues, celle avec la cantatrice Marie-Joséphine de Montalembert (Samara Weaving), épouse d’un vilain marquis (Marton Csokas), pour nous raconter les grandes lignes de sa vie. Pourquoi réduire le destin hors du commun d’un compositeur de génie à des histoires de coucheries ?

Pis encore, on invente de toutes pièces une rivalité entre Saint-Georges et le compositeur allemand Christoph Gluck, tous deux pressentis pour diriger de l’Opéra de Paris. Pendant une grande partie du film, on assiste donc à la création de l’opéra Ernestine. Entre deux scènes de lit, on nous repasse ad nauseam le même extrait où les chanteurs massacrent le français : « Mooon amouuu’! Maaa douuuleuuu’! » Notez d’ailleurs qu’aucun des passages en français et en créole n’est sous-titré.

À quel public s’adresse réellement ce film esthétisant ? À celui qui s’est paumé devant le charme ravageur de Regé-Jean Page dans Bridgerton ? À preuve, la scène d’ouverture où Saint-Georges et Mozart (Joseph Prowen) se livrent à un « rap battle » à coups d’archet. Et que dire des personnages unidimensionnels ? Philippe (Alex Fitzalan) n’a pas l’étoffe d’un révolutionnaire ; Marie-Antoinette (Lucy Boynton) a l’air d’une vulgaire courtisane circulant librement dans les rues de Paris ; et La Guimard (Minnie Driver), l’une des cantatrices ayant freiné la carrière de Saint-Georges, affiche ses intentions sur son front.

Tandis que le vent de la révolution souffle timidement, Chevalier se termine où le récit aurait enfin pu se corser. Afin de découvrir le génie et la vie de Saint-Georges, il vaudra mieux voir Le Mozart Noir. Reviving a Legend, documentaire de Raymond Saint-Jean entrecoupé d’extraits de ses oeuvres, où des violonistes expliquent toute la complexité de ses compositions.
https://www.ledevoir.com/culture/cinema/789523/critique-cinema-chevalier-un-metis-a-la-cour-de-marie-antoinette

Vous avez l'impression de connaître Lucy Boynton ? Normal, elle était dans Bohemian Rhapsody.





Tout autre look.

Kevin Harrisson, lui, était dans Elvis.

Bianfu a écrit:

Afin de découvrir le génie et la vie de Saint-Georges, il vaudra mieux voir Le Mozart Noir. Reviving a Legend, documentaire de Raymond Saint-Jean entrecoupé d’extraits de ses oeuvres, où des violonistes expliquent toute la complexité de ses compositions.https://www.ledevoir.com/culture/cinema/789523/critique-cinema-chevalier-un-metis-a-la-cour-de-marie-antoinette[/list]

Je plussoie. Enfin un film qui laisse s'exprimer la musique.

Les retours semblent un peu mitigés. Voici celui de Mark Jenkins special to The Washington Post

• 'Chevalier': Bad old days never looked so good
  
  Largely erased from classical music history because he was biracial, the 18th-century French Caribbean violinist and composer Joseph Bologne wrote concertos, sonatas and symphonies. But "Chevalier," a highly fictionalized account of Bologne's life, understandably concentrates on his opera "Ernestine." The movie itself has the virtues and vices of opera: It's grand, sweeping and lavishly appointed, but also bombastic and contrived.
  
  Director Stephen Williams and screenwriter Stefani Robinson present Bologne's life largely as a series of contests. In the opening sequence, a cocky young Bologne (Kelvin Harrison Jr.) challenges the better-known Wolfgang Amadeus Mozart (Joseph Prowen) to a violin duel. (In reality, Bologne was a decade older than Mozart, who surely wouldn't have responded to such a rival's crowd-pleasing stunt with an unprintable Anglo-Saxon vulgarity.)
  
  Later, the story flashes back to a fencing match in which Bologne faces an outspoken racist, as Marie Antoinette (Lucy Boynton) watches. He triumphs, and the queen anoints him Chevalier de Saint-Georges, a name derived from his White father's plantation in Guadeloupe. His mother (Ronke Adekoluejo) was enslaved, but may have been treated somewhat better by Bologne's father than "Chevalier" supposes.
  
  The bulk of the movie concerns Bologne's campaign to become the new director of the Paris Opera, a quest in which he initially has Marie Antoinette's support. (Her husband, King Louis XVI, barely registers.) This effort is intertwined with another one: the womanizing composer's successful pursuit of his leading lady, the delicate but mighty-voiced Marie-Josephine (Samara Weaving). She just happens to be married to the brutish Marquis de Montalembert (Marton Csokas), a stalwart defender of the monarchy.
  
  That last detail matters because the guillotine is about to be rolled into the Place de la Révolution. Bologne cultivates the queen and the nobility, but also encourages an aristocratic friend (Alex Fitzalan) who supports the imminent uprising. At one point, soft-spoken Marie-Josephine follows the two pals to a clandestine political conclave, where she delivers an impromptu speech in favor of women's liberation. It's stirring, but about as believable as the street fair in a Black neighborhood where Bologne joins a drum circle in playing what sounds like contemporary Afro-pop.
  
  As anti-royalist sentiment burgeons, Bologne stages a benefit concert for the insurrection and faces a personal crisis. This section of the movie plays like the last act of "Les Misérables" with a dusting of Black history. But rather than pop-operatic Broadway arias, "Chevalier" mixes Kris Bower's neoclassical score with snippets of Bologne's partly lost compositions, as reconstructed and extrapolated by Michael Abels, who's written the music for three Jordan Peele films.
  
  Bologne, whose impressive military career is among the many chapters of his biography left out of the movie, briefly commanded a unit of the French Revolutionary Army. As played by Harrison - one of the few Americans in a cast heavy on Britons, Australians and New Zealanders - Bologne does appear to be the sort of leader who could inspire soldiers in battle, or musicians in an orchestral performance. His confidence and dynamism are crucial to "Chevalier's" winning spirit.
  
  If Harrison doesn't fully convey the complexity of Bologne's situation, that's the responsibility of the film as much as his performance. One snag is that the movie shares its hero's mixed feelings about the gilded lives of France's 18th-century ruling class. Jess Hall's camera spins rapturously through Karen Murphy's luxurious interiors, lovingly beholding Oliver Garcia's opulent costumes. On some level, "Chevalier" understands that the reign of Louis XVI and Marie Antoinette was the bad old days. Yet, it just can't help but make them look really good.

The Guam Daily Post

Lucy Boynton dit ce qu elle pense de Marie-Antoinette :
https://www.townandcountrymag.com/leisure/arts-and-culture/a43684495/lucy-boynton-marie-antoinette-chevalier-interview/

Cette jeune personne est très loquace.

• Marie Antoinette and corsets: How fashion informs Lucy Boynton's acting
  
  Lucy Boynton, the actress and Chanel ambassador, explains why costumes are a significant part of her acting process, especially with films set in a specific time period. Dressing up in corsets, wigs and big dresses has also impacted her personal sense of style, she says. In her latest movie, "Chevalier," Boyton plays Marie Antoinette. "She wanted to make sure that she was a coauthor in people's perception of her, so that is very much informed by the way that she presented herself," Boyton said.

Mis en appétit ? Découvrez en plus dans cette video
https://www.salon.com/tv/video/r8oacx

Mauvaise nouvelle, le film ne sortira en France que sur Disney+. Si vous voulez le voir, il faudra vous abonner.

Dommage. M'abonnerai pas pour ça.