Rez de jardin - Aile midi - Plan

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Cette salle occupe l'emplacement d'un appartement qui dépendait, sous Louis XV, de celui de la duchesse de Bourbon.

Cet appartement fut ensuite destiné aux gouvernantes des enfants de France et habité à ce titre, sous Louis XV, par madame de Marsan, et sous Louis XVI, par Madame de Polignac.
Les panneaux de cette salle sont ornés de trophées peints par Alaux, Lecomte et V.Adam.

Les sujets, représentent des faits de la campagne de 1800



 

 

 

 

 

 
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Entrée de l'armée française dans Ivrée, 21 mai 1800.
Huile sur toile d'Adam Victor-Jean (1801-1866), peintre, graveur



 

 

Passage de nuit de l'artillerie sous le fort de Bard (21 mai 1800)
Huile sur toile d'Adam Victor-Jean (1801-1866)
Hauteur : 0.780 m. Longueur : 0.670 m.
 




Passage du grand Saint Bernard par l'armée française

(20 mai 1800)
Huile sur toile de Charles Thévenin.

Hauteur: 4,65m. Largeur: 7,94m.
 Commandé par la Maison de l'Empereur; dessiné d'après nature, 1808; Salon de 1806; collection Napoléon Ier; mentionné en magasin du musée Napoléon (restauration), 1810; mentionné dans le magasin du musée de Paris, 1818; mentionné par le comte de Forbin dans les magasins du Louvre en septembre 1824.


L'armée est en marche et monte à l'hospice du Saint Bernard.
Le premier consul, entouré de l'état major, des généraux Doroc, et Bessières, montre aux soldats le haut du passage comme le but de leurs travaux.



Murat à cheval, donne des ordres à un grenadier dont le détachement est en marche.



Le général Marmont, commandant en chef de l'artillerie, dirige des canonniers qui, avec des leviers, font mouvoir une pièce de canon encaissée dans un tronc d'arbre et traînée par des soldats.



Une forge de campagne, en partie démontée, est portée par des mulets.



Des paysans soutiennent l'affût d'une pièce de quatre; un caisson, une boîte à gargousses, une roue de rechange et différentes parties d'affût sont également portées sur les épaules.



Un mulet chargé d'une paire de roue d'artillerie; des soldats, des mulets portant des bagages arrivent sur un pont près duquel est arrêté le général Berthier.



Au sommet on aperçoit le haut de deux petites cabanes dont l'une sert d'abri aux voyageurs surpris par la tourmente et l'autre sert de sépulture à ceux qui périssent sur la montagne.
L'armée, marchand sur une seule ligne ou se divisant lorsque le sol le permet, occupe le haut du tableau, et après différentes sinuosités arrive enfin à l'hospice.


 

 
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Prise du défilé de la Cluse (21 mai 1800)
 Huile sur toile de Adam Victor-Jean (1801-1866)
 Hauteur : 0.780 m. Longueur : 0.690



 

 

Passage du Saint Bernard (20 mai 1800)
Bonaparte est à la tête de l'armée française
Hauteur : 0.780 m. Longueur : 0.550 m.



 




Napoléon Bonaparte, Premier Consul, représenté devant une vue de la ville d'Anvers en 1803.
Huile sur toile de Greuze Jean-Baptiste (1725-1805).
Date de création :1803-1806.
 Hauteur : 2.42 m. Largeur : 1.77 m


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Charles Emmanuel Leclerc Général de division en 1799, représenté commandant en Chef de l'expédition de Saint-Domingue et capitaine général de la colonie en 1802 (1772-1802).
 Salon de 1804. Huile sur toile de Kinson François Joseph (1770-1839).
 Hauteur : 2.07 m. Largeur : 1.27 m



 
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Première attaque de Montebello en vue de Casteggio. 08 juin 1800.
Huile sur toile de Adam Victor Vincent (1801-1866).
Hauteur : 0,78m. Largeur : 0,60m.




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Mort de Desaix à Marengo (14 juin 1800).
 Huile sur toile de Regnault.
Hauteur : 3,22 m. Largeur : 2,60m
Frappé par une balle au milieu de la poitrine, Desaix tombe dans les bras du fils du consul Lebrun en s'écriant « Allez dire au premier consul que je meurs avec le regret de n'avoir pas assez fait pour vivre dans la prospérité».



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Vase du mariage de l'empereur Napoléon Ier et de Marie-Louise.
 Forme Médicis, fond bleu fouetté d'or imitant le lapis-lazuli, représentant la cérémonie civile du mariage de Napoléon et de Marie-Louise.
 Hauteur : 1.37 m. Largeur : 0.94 m


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Convention d'Alexandrie . 05 juin 1800.H.3,22 – L.2,60.
Le lendemain de la bataille de Marengo, la fusillade était déjà engagée aux avant postes, lorsqu'un parlementaire annoça que le général Mélas demandait à faire passer un officier de son état major chargé de propositions.
Celui-ci fut introduit au quartier général français.
Après une première conférence, le général en chef Berthier, muni de pleins pouvoir pour traiter avec Mélas, se rendit à Alexandrie, et revint quelques heurs après présenter à l'acceptation du premier consul la capitulation connue sous le titre de Convention entre les généraux en chef des armées françaises et impériales en Italie.
Les châteaux de Tortone, d'Alexandrie, de Milan, de Turin, de Pizzighettone, d'Arona, de Plaisance, la place de Coni, les châteaux de Ceva, Savone, la ville de Gêne et le fort Urbain furent remis à l'armée française.
Enfin l'armée autrichienne dut se retirer sur Mantoue.
Commandé pour 5000 francs pour "pour la Salle où sont placés les sujets de la campagne de Marengo à Versailles", 11 octobre 1834 ; payé 5000 francs, 11 juillet 1837 ; collection Louis-Philippe ; exposé salle de Marengo en 1971