Le Boudoir de Marie-Antoinette

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 Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries

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levengeur

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MessageSujet: Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries   Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries Icon_minitimeJeu 24 Sep - 18:35

Visites-conférences : Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries

Visite d'exposition temporaire
Réservation obligatoire.
Disponible.
Payant.

Public : Adultes seulement.

Visite-conférence thématique dans l'exposition "Lumières : Carte blanche à Christian Lacroix".


Prochaine(s) date(s) :

22 Octobre 2015 à 11:00

plus http://museecognacqjay.paris.fr/fr/agenda/visites-conferences-les-exotismes-du-xviiie-siecle-chinoiseries-turqueries-russeries

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pimprenelle

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MessageSujet: Re: Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries   Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries Icon_minitimeDim 23 Sep - 11:45

Oui, la soif d'exotisme était grande au XVIIIe siècle. En témoignent les goûts du duc d'Artois ou de notre reine, ou de la grande Catherine.
https://maria-antonia.forumactif.com/t4429-le-mobilier-turc-du-comte-dartois-au-temple
https://maria-antonia.forumactif.com/t722-la-passion-pour-les-laques-de-marie-antoinette
https://maria-antonia.forumactif.com/t2301-tentures-et-chinoiseries

L’Orient ! Que de rêves et de fantasmes n’a-t-il pas nourri en Occident ? Si les « turqueries » sont déjà à la mode à la cour de Louis XIV, la fascination pour ce monde lointain, coloré et épicé, se développe véritablement en France au début du XVIIIe siècle. La traduction des « Mille et une Nuits », un recueil de contes populaires persans, et leur publication à partir de 1704, y est pour beaucoup. Si l’élite du siècle des Lumières se cantonne à des références plutôt discrètes à l’Orient dans les arts, le XIXe siècle, lui, en sera fou. Il met un pied en Orient par l’Égypte avec la célèbre campagne du général Bonaparte. Mais c’est surtout la conquête de l’Algérie (qui se solde par la prise d’Alger en 1830) qui va permettre aux artistes français de se rendre dans cet Orient mystérieux qui, de fait se déplace de la Perse au Maghreb.

Le courant orientaliste naît ainsi en pleine période romantique. Eugène Delacroix, qui se rend à Alger dès 1832, est l’un de ses plus célèbres représentants. Cet enthousiasme va crescendo jusqu’à la première moitié du XXe siècle et à des noms célèbres comme Dinet ou Majorelle se mêlent ceux de peintres moins connus.

https://www.lanouvellerepublique.fr/

D'ailleurs, l'Orient mystérieux ne fait-il pas toujours rêver ? Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries 405462

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de Neubourg

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MessageSujet: Re: Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries   Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries Icon_minitimeJeu 25 Oct - 11:45

Au rayon des chinoiseries, nous citerons ce panneau superbe qui passera sous peu, bien au-delà de nos moyens financiers, hélas :


  • Beschreibung Verkauf
    Bedeutendes Paneel mit Chinoiserien
    Farbiger Lack mit Perlmuttintarsien und vergoldeter Metallfolie auf schwarzem Fond und einem Holzpaneel aus Nuss, hinten mit Leinwand verklebt, moulurierter Blattrahmen aus vergoldeter Buche. Auf der Rückseite eine auf Papier schablonierte Inventarnummer 73, darunter tintengechriebener Aufkleber "Panneau Femme dans un Balanquin", weiter unten Aufkleber "Emballeur Pape 5, Rue de la Terrasse, Paris". Restauriert. H 65,2, B 54,3 cm, Rahmen H 76, B 66 cm.

    Frankreich, der Werkstatt Martin zugeschrieben, Mitte bis drittes Viertel 18. Jh.


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Ein wichtiger Französisch Lack - Panel mit Chinoiserie Dekor
Farblack, Perlmutt-Perlmutteinlagen und vergoldeter Metallfolie auf schwarzen Grunde auf einem Walnuss - Panel mit Leinwand gesichert in einem geformten vergoldeten Buch Laub Rahmen (möglicherweise original). Mit einem schabloniertes Inventar - Nr. 73 auf ein Papier auf die Rückseite verklebt, unter dem ein Etikett eingeschrieben, und ein weiteres Label "Emballeur Pape 5, Rue de la Terrasse, Paris" "Panneau Femme Balanquin un dans". Restauriert. H 65.2, W 54,3 cm, H mit Rahmen 76, W 66 cm.

Frankreich, zurückzuführen auf die Martin - Workshop, mittel- bis 3. Quartal 18. C.

Dieses chinoiserie Motiv erinnert an ähnliche Kompositionen von François Boucher oder Jean-Baptiste Pillement. Fernöstlichen Einflüsse kombiniert und in einer phantasievollen Einstellung der europäischen Erfindung gelegt. Während Szenen Pillement und Bouchers in der Regel stattfinden innerhalb idealisierte Naturhintergründe oder auf stilisierte Landschaft Plattformen scheint diese Szene auf seine Eignung für die Lacktechnik gewählt wurden. Die Figuren und die Architektur des Vordergrund erscheinen gegen einen Mitternacht schwarzen Hintergrund zu glühen. Die Lichtquelle ist nicht definiert und muss außerhalb und vor der Zusammensetzung liegen, es ist ein Theater Aussehen verleiht. Vier orientalische Männer gezeigt auf einem Wurf eine üppig gekleidete Dame mit ausgeprägtem europäischen Merkmalen tragen. Drei Männer knien vor ihnen, einem mit Dolch in seinem Gürtel, in einer tiefen Kotau.

Das Panel stammt offenbar aus einer der großen Werkstätten in Paris für das Französisch Gericht arbeiten. Die Qualität der Darstellung, insbesondere die Malerei und die teuren Materialien verwendet, gehen darüber hinaus, dass in jeder normalen Lack Werkstatt erreicht. Lacktafeln so groß wie dieser nicht im 18. Jahrhundert Möbel überlebt, so ist es denkbar, dass dieses Stück als boiserie produziert wurde oder auch als gerahmte Gemälde.

Um das Jahr 1728 entwickelten die Brüder Martin in Paris eine Art von Nachahmung Lack auf Basis Kopal mit den Werken aus China und Japan importiert zu konkurrieren. Es kam als „vernis martin“ bekannt. Sie arbeiteten auf dem gleichen Prinzip Schichtung in fernöstlichen Lackprodukten, aber Französisch Lack unterscheidet sich stark in seiner Komponenten. Sie konnten einen größeren Tonumfang erreichen, und die Hintergrundfarben bewegt weg von der traditionellen tiefschwarz auf blasser oder lebendigere Farben, die die Darstellung effizienter akzentuiert.

Wir wissen von kleinen Räumen in Versailles hinter dem großen königlichen Gemächer, wie jene , die von Marie-Antoinette und ihren Hofdamen. Maria Josepha von Sachsen (1731 - 1767) hatte eine boiserie von der Werkstatt Martin in einem dieser Räume in den 1750er Jahren installiert , die heute in vergleichsweise gutem Zustand ist noch vorhanden. Obwohl der Martins' nicht die einzige Werkstatt , diese Art von Werken produziert, war es sicherlich die wichtigste, und der Name wurde mit dem europäischen Lack auch als Ganze.

Herkunft
Französisch Privatsammlung, vertrieben von Sotheby's London, 6. Juli 2016, Los 29.

Literatur Für
weitere Informationen über die Martin - Workshop in Paris vgl Kat .: Vernis Martin. Französischer Mangel im 18. Jahrhundert, München-Münster 2013, vor allem die Aufsätze von Anne Foray-Carlier.

https://www.lempertz.com/de.html
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zebulon

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MessageSujet: Re: Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries   Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries Icon_minitimeSam 28 Déc - 21:28

Sur cette toile, c'est François Boucher qui met la Chine en scène. Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries 887322

Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries Cda19_11

François Boucher, Le Repas de l’empereur de Chine (détail), 1742, huile sur toile © Musée des beaux-arts et d’archéologie de Besançon, photographie Arcanes / François Boucher

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MessageSujet: Re: Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries   Les Exotismes du XVIIIe siècle : chinoiseries, turqueries, russeries Icon_minitime

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