de La Reinta
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Date d'inscription : 15/03/2016
 | Sujet: Dur dur d'être un bébé au XVIIIe siècle !  Dim 1 Jan - 13:57 | |
| C'est en fait en cherchant des infos pour Pilayrouhttps://maria-antonia.forumactif.com/t7950-pilayrou-remonte-le-temps
désolée Pilayrou je n'ai rien trouvé  que je suis tombée sur ce top article sur Dur dur d'être un bébé au XVIIIe siècle !voilà quoi le titre déjà dit mieux que moi Allez hop  je vous poste des extraits L’enfant ayant été longtemps considéré comme un mini-adulte peu résistant, des soins spécifiques à son âge arrivèrent bien tard dans l’Histoire. Le mot "pédiatrie" ne fit son apparition qu’en 1872 et on ne commença à l’enseigner qu’à partir de 1878. En attendant, il lui fallut serrer les dents (même s’il n’en avait pas encore) !
Grave  Alors ? Sympathique, non ? Pas surprenant que le taux de mortalité infantile, entre 0 et un an, était de 280 pour 1 000 dans les années 1750. (Voir l'ouvrage "Se soigner autrefois - Médecins, saints et sorciers aux XVIIe et XVIIIe siècles", de François Lebrun, éd. Seuil). Une survie ardue dans les dix premières années Si un bébé survivait à sa première année, il n’était pas sauvé pour autant, puisqu’il avait moins d’une chance sur deux d’atteindre ses 10 ans ! Moult dangers l’attendaient de pied ferme : accidents divers (puits, rivières, cheminées, animaux de ferme de mauvais poil…) et maladies (coqueluche, oreillons, varicelle, scarlatine, diphtérie…).oh come on  
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/221166-quand-l-urine-etait-consideree-comme-un-remede-pour-les-bebes-malades.html
Surtout que les médicaments étaient très rudimentaires : compresses et cataplasmes, infusions de persil ou de coquelicot… Imaginez la tête du gamin quand on lui proposait un bain d’orties alors qu’il crachait ses boyaux par tous les trous !consternant 
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Je dois avouer ma dissipation et paresse pour les choses sérieuses
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