Marie-Antoinette vue par Soria

je vous invite à lire ce que Soria disait de Marie Antoinette

N'en disait-il pas le plus grand mal ?

Que disait-il?

ça m'a tellement marqué que j'avais recopié sa phrase....

"la reine fut, à tout prendre, bien plus une NEVROTIQUE EXASPEREE..."

Il va même faire une description d'elle au 5 octobre 1789... il la décrit le soir en pleine crise de cyclothymie, alternance d'euphorie, de mélancolie et de déprime...

et conclue par un témoignage de Loird Holland, tenant apparemment le fait de madame Campan "la reine, qui a passé la nuit avec son amant, le comte de Fersen, lui procure un accoutrement grâce auquel il s'esquive"...

Et c'est de Georges SORIA dans "la grande histoire de la révolution française"

Monsieur de Castelnau a écrit:

et conclue par un témoignage de Loird Holland, tenant apparemment le fait de madame Campan "la reine, qui a passé la nuit avec son amant, le comte de Fersen, lui procure un accoutrement grâce auquel il s'esquive"...

Je crois être sûr d'un fait : c'est que la bonne Henriette Campan n'était pas à Versailles pendant les journées d'octobre...

Bien à vous.

C'est bien le souvenir édifiant que je garde de Soria ...

c'est justement pour ça que j'ai mis la progression de SORIA dans cette journée d'octobre...

Merci Monsieur de Castelnau

J'avais oublié cette réplique là, je sais maintenant pourquoi

Monsieur de Castelnau a écrit:

ça m'a tellement marqué que j'avais recopié sa phrase....

"la reine fut, à tout prendre, bien plus une NEVROTIQUE EXASPEREE..."

Il va même faire une description d'elle au 5 octobre 1789... il la décrit le soir en pleine crise de cyclothymie, alternance d'euphorie, de mélancolie et de déprime...

et conclue par un témoignage de Loird Holland, tenant apparemment le fait de madame Campan "la reine, qui a passé la nuit avec son amant, le comte de Fersen, lui procure un accoutrement grâce auquel il s'esquive"...

Et c'est de Georges SORIA dans "la grande histoire de la révolution française"

Névrotique exaspérée ? Pourquoi pas franchement hystérique ? On trouve dans cette formule lapidaire de nauséabonds relens de misogynie.

Si c'est avec de tels a priori que les historiens considèrent l'histoire, bravo !

Majesté a écrit:

Monsieur de Castelnau a écrit:

et conclue par un témoignage de Loird Holland, tenant apparemment le fait de madame Campan "la reine, qui a passé la nuit avec son amant, le comte de Fersen, lui procure un accoutrement grâce auquel il s'esquive"...

Je crois être sûr d'un fait : c'est que la bonne Henriette Campan n'était pas à Versailles pendant les journées d'octobre...

Bien à vous.

Bien entendu, Majesté, Madame Campan n'était pas présente. Et tous les historiens sérieux savent quel sort il convient à présent de réserver à cette citation.

pimprenelle a écrit:

Monsieur de Castelnau a écrit:

ça m'a tellement marqué que j'avais recopié sa phrase....

"la reine fut, à tout prendre, bien plus une NEVROTIQUE EXASPEREE..."

Il va même faire une description d'elle au 5 octobre 1789... il la décrit le soir en pleine crise de cyclothymie, alternance d'euphorie, de mélancolie et de déprime...

et conclue par un témoignage de Loird Holland, tenant apparemment le fait de madame Campan "la reine, qui a passé la nuit avec son amant, le comte de Fersen, lui procure un accoutrement grâce auquel il s'esquive"...

Et c'est de Georges SORIA dans "la grande histoire de la révolution française"

Névrotique exaspérée ? Pourquoi pas franchement hystérique ? On trouve dans cette formule lapidaire de nauséabonds relens de misogynie.

Si c'est avec de tels a priori que les historiens considèrent l'histoire, bravo !

Tout Soria est de cette eau !

On ne peut donc que lui conseiller de consulter...