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| Louis XVI et les francs-maçons | |
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Colonel Moutarde
Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 20/12/2017
| Sujet: Louis XVI et les francs-maçons Mar 9 Jan - 14:54 | |
| Les temps de l’ignorance sont passés, le flambeau de la philosophie et de la raison brille aux yeux de l’univers, et la maçonnerie ne peut que s’applaudir d’avoir contribué à écarter les nuages qui obscurcissaient la lumière. » C'est par cette circulaire officielle du 5 janvier 1792, que le Grand Orient apporta un soutien retentissant et explicite à la Révolution Française. De nombreux auteurs ont diminué le rôle de la franc-maçonnerie alors qu'elle travailla discrètement au renversement de la monarchie car il est surprenant de trouver toujours au bon endroit, au bon moment et à la bonne heure un maçon... Le Roi et la Reine, malgré les avertissements incessants des Papes à Rome, négligèrent dans un aveuglement suicidaire l'infiltration maçonnique au sein de l'État. Une noblesse décadente qui joua les idiots utiles d'une organisation intrinsèquement en opposition avec les principes monarchiques du Roi très chrétien. Ils entraînèrent la Maison de Bourbon à la ruine.Comment Louis XVI pouvait-il contrer la Révolution alors que son armée était noyautée par les loges maçonniques ? Voici des preuves factuelles de la subversion :
"Pour être sûr de gagner, l'armée fut elle aussi soumise à la doctrine maçonnique. Le frère Gaston Martin avoue : « La Propagande maçonnique dans l'armée a eu d'abord pour effet de dissocier les troupes royales. Elle a opposé la doctrine de l'armée. strictement au service du roi, à celle d'une force nationale qui doit d'abord obéissance à la volonté générale. Elle a ainsi brisé dans la main des aristocrates le plus sûr instrument de répression dont l'usage en 1789 aurait vraisemblablement suffi à faire avorter la Révolution commençante. » Et de fait, il existait dès 1780, 72 loges de régiments. « Tout est donc prêt pour la grande curée. La France est couverte d'ateliers que parcourent les agents des Illuminés; on fait recevoir, dans les loges, ces légions de gardes-françaises qu'on destine déjà au siège de la Bastille. » Tout est donc prêt... Avant de lancer tout ce petit monde dans le grand bain, les conjurés s'assurèrent de la loyauté de ses sujets. L'émeute dite de la place Dauphine, en 1788, servit à cela. L'affaire commence le 8 mai 1788 avec un lit de justice enregistrant les édits sur la réforme judiciaire du garde des Sceaux Lamoignon. Louis XVI supprima le droit de remontrance aux cours souveraines, ramenant ainsi les parlementaires à leurs places, c'est-à-dire, rendre la justice au nom du roi et veiller à ce que les lois soient applicables. Terminer donc, l'intrusion et l'arrogance des parlements à critiquer et à contester les décisions royales. Seulement les parlementaires n'entendaient pas rester sur cette défaite, et à Grenoble, le 10 mai 1788, les parlementaires du Dauphiné déclarent dans un arrêt que la province se sentirait libérée de sa fidélité au roi si les édits n'étaient pas retirés. Les libelles commencèrent à circuler dont un spécialement « L'esprit des édits enregistrés militairement » du franc-maçon Antoine Barnave. Bien que ce dernier fût un aventurier à l'esprit léger, sa publication eut du succès et suscita l’engouement auprès des parlementaires réfractaires. Le 14 juin il obtient avec l'appui d'un juge royal, Mounier, la réunion d'une centaine de notables à l’Hôtel de Ville, puis cette assemblée décida de convoquer la réunion des trois ordres, avec doublement des délégués du tiers état, au château de Vizille le 21 juillet. Beaucoup d'historiens ont fait de cet événement la première journée révolutionnaire. En effet, elle préfigure exactement ce qui arrivera l'année suivante. Le clou du spectacle se passe dans le déroulement de l'émeute. Le duc de Clermont-Tonnerre, franc-maçon, à la tête des régiments du Royal-Marine et d'Austrasie, se résout à ne pas combattre la foule réclamant le retour des parlementaires. Le Royal-Marine a ordre de ne pas faire usage des armes à feu. Le régiment subit l'assaut des émeutiers et beaucoup de blessés furent à déplorer. Clermont-Tonnerre, qui, bizarrement n'eut à se plaindre d'aucune violence physique, ordonna à ses troupes de se retirer de la ville pour ne pas exciter la foule. Or malgré cette défaite sur le terrain, la maçonnerie put se réjouir de l’obéissance des régiments habilement initiés à la doctrine maçonnique car il y avait à l’intérieur deux loges : Les Amis de la Gloire, et l'Union des bons français. D'ailleurs cinq des six bataillons engagés lors du 14 juillet 1789 passeront à l'insurrection. Comme quoi le « hasard » fait bien les choses... Les états générauxContraint de trouver une solution à la question financière du royaume et sous la pression de plus de 300 émeutes dans tout le royaume, Louis XVI décide de convoquer les états généraux. L'institution ne s'était plus réunis depuis 1614 et va permettre aux Loges d'usurper le pouvoir royal. Rapidement, la réunion tourne en rond et le refus systématique des réformes va enflammer les susceptibilités, le climat délétère et notamment les troubles dans la capitale facilite la subversion. Le tiers état s'autoproclame Assemblée constituante et jure lors du Serment du Jeu de Paume, de ne pas se séparer avant d'avoir donné une constitution au royaume. Comme si les rois de France avaient attendu les opportunistes et autres ratés de la Révolution, pour constitutionnaliser l'État ! Les députés s'écartant de leurs mandats par lequel ils étaient tenus et par le contenu du cahier de doléances dont ils étaient les porteurs, enfreignent la légalité car jamais le peuple voulu une assemblée constituante ni la monarchie constitutionnelle et encore moins la déchéance du roi. Ils ne devaient être que des portes paroles. À Paris les troubles augmentent de manière significative, et comme nous allons le voir, ces troubles n'ont rien de hasardeux (encore une fois). Le 25 juin, le franc-maçon Bonneville, réclame la création d'une garde bourgeoise. Du coté de la monarchie, le baron de Besenval, Lieutenant-général et commandant militaire d’Île de France et de la garnison de Paris, qui avait fait du bon travail en rétablissant fermement l'ordre au faubourg Saint-Antoine au mois de mai précédent, fait venir des troupes dans la capitale. Le Royal-Dragon, le Royal-Cravate et 700 hussards. Mais évidemment ces régiments étaient noyautés par la maçonnerie. Le Royal-Dragon par le capitaine maçon Cartouzière de la Bastide, député de la Loge « La Concorde », à l'Orient de Versailles et que ce régiment était commandé par le duc de Choiseul, vénérable de la Loge des « Enfants de la Gloire ». Le Royal-Cravate était, depuis 1788, noyauté par la Loge parlementaire « La Sincérité », à l'Orient de Besançon. Même cause, même conséquence. Comme lors de l’émeute place Dauphine, les détachements restèrent inactifs. Informé de la situation, Louis XVI appela ses régiments les plus fidèles et notamment les Suisses, qui stationnèrent au Champ de Mars avec 800 hommes à cheval sous le commandement du Maréchal de Broglie. À ce moment précis, Louis XVI aurait pu en finir avec les députés usurpateurs et rétablir l'ordre dans la capitale. Le 8 juillet, le franc-maçon Mirabeau réclame l'éloignement des troupes de la capitale car selon lui, la présence de ces soldats « peuvent provoquer les plus grands malheurs ». Le lendemain, le roi répond, que ces troupes ne sont pas là pour menacer les états généraux mais pour prévenir tout désordre. Le 10 juillet, le franc-maçon Bancal des Essarts, déclare à l'assemblée : « il ne nous reste plus que les horreurs de la guerre civile ou le joug de l'esclavage. » Lui aussi réclame la création d'une garde bourgeoise. Le 13 juillet la machine maçonnique s'active. Un quatuor de maçons, La Fayette, Sieyès, Le Chapelier et Mounier, rédigent un décret rendant personnellement responsables tous les conseillers du Roi. Le tour de passe-passe était au point. En cas d'intervention un peu trop musclé, les conseillers du roi seraient accusés de crime de lèse-nation. Le Palais-Royal, repaire de la racaille parisienne et des conjurés, fait courir le bruit que les régiments amenés dans Paris vont servir à plonger la capitale dans le sang. Les agents payés s'agitent pour exciter la foule. « C'est par centaines, écrit le frère Gaston Martin, que les rapports de police signalent des individus insaisissables qui. dans les cabarets et les marchés, les attroupements au coin des rues, sèment argent et propos alarmistes. » Le marquis de Virieu, ministre de Parme à Paris, précise: « On arrête des hommes déguenillés qui avaient les poches pleines d'or. » Certains émeutiers blessés avaient tous de 12 à 36 francs sur eux. Leur paye, d'après les mémoires de Malet Dupan, fut triple de celle des troupes régulières. Le franc-maçon Deleutre à l'assemblée nationale demande que l'on siège en permanence car : « l'Assemblée Nationale et la Ville de Paris sont menacées des plus grands malheurs. » Nous le voyons, tout est fait pour alarmer le peuple parisien et ce n'est pas le renvoi de Necker, le 12 juillet, qui provoqua l'émeute. En amont, le travail a été soigneusement préparé. D'ailleurs dans une conversation, le 17 juillet, à Montreuil, Malouet, s'adressant au frère Coroller, lui dit : « Vous n'aviez pas prévu le renvoi de Necker et, sans cette faute, vous auriez échoué. » Le député maçon lui répondit : « Tout était prévu, si Necker n'avait pas été renvoyé, la Révolution se serait toujours faite : on aurait mis le feu au Palais-Bourbon. » Steve Brastel http://www.democratie-royale.org/2018/01/louis-xvi-et-les-francs-macons.html |
| | | Chakton
Nombre de messages : 1263 Date d'inscription : 22/10/2017
| Sujet: Re: Louis XVI et les francs-maçons Sam 20 Jan - 8:27 | |
| Dans l’avant-propos de son ouvrage, Steve Brastel, déjà auteur de La franc-maçonnerie : le Régime Ecossais Rectifié (2017) ou encore Introduction à la symbolique hermétique (2016), écrit : « Un énième livre sur la franc-maçonnerie ? Quel intérêt me diriez-vous ? Tout a été écrit sur le sujet. Les publications ne manquent pas. Que l’on soit dans le camp des détracteurs ou dans celui des maçons, la littérature est abondante jusqu’à l’indigestion. Et c’est bien là le problème. Procéder à une actualisation et à une synthèse complète du sujet, tel est l’intérêt du présent ouvrage. « L’historiographie maçonnique a fait des progrès depuis une quarantaine d’années et il est inconcevable de reprendre les mêmes données datant du XIXe siècle sans les confronter aux récentes découvertes. La discipline s’est « professionnalisé » comme en témoigne les rigoureux travaux de Roger Dachez, Pierre Mollier, André Kervella, Yves Hivert-Messeca, Jean-François Var ou encore Jean-Marc Vivenza. Le point commun de ces différents auteurs ? Ils sont tous maçons. « Une caractéristique utile afin d’appuyer solidement sur certains points avec sûreté notamment sur les questions de mythes et autres légendes au sein de la franc-maçonnerie. Ils serviront de sources tout au long du livre. De fait, nous ne serons pas cantonnés dans le « barruelisme » caricatural, amalgamant franc-maçonnerie, martinisme, philosophie des Lumières, rosicrucianisme et templarisme. Trop de publications n’ont fait que reprendre ad vitam aeternam ce melting-pot au demeurant fort imprécis, voir fallacieux. (...) À l’image des auteurs maçons contemporains, nous ne devons nous baser que sur du concret et mettre de coté les éléments douteux dont on ne peut clairement établir la provenance et ainsi en faire la démonstration au grand public. Les adieux de Louis XVI à sa famille. Estampe allemande de la Collection Michel Hennin des estampes relatives à l’Histoire de France (Tome 130) « La grande question reste toujours la même : la franc-maçonnerie a-t-elle fait oui ou non la Révolution ? C’est l’objet de la deuxième partie du livre, mais nous pouvons y répondre dès maintenant, en guise d’amusement : évidemment que oui ! Une preuve ? Le Grand Orient lui-même ! Le 5 janvier 1792, il publia une circulaire officielle et apporta son soutien éclatant en tant qu’institution à la Révolution en cours : Les temps de l’ignorance sont passés, le flambeau de la philosophie et de la raison brille aux yeux de l’univers, et la maçonnerie ne peut que s’applaudir d’avoir contribué à écarter les nuages qui obscurcissaient la lumière. « Louis-Claude de Saint-Martin, maçon mystique bien connu des cercles occultistes de la capitale et républicain convaincu alla de sa déclaration révélatrice : Quand on la contemple, cette révolution, dans son ensemble et dans la rapidité de son mouvement, et surtout quand on la rapproche de notre caractère national qui est si éloigné de concevoir et peut-être de pouvoir suivre de pareils plans on est tenté de la comparer à une sorte de féerie et à une opération magique ce qui fait dire à quelqu’un qu’il n’y aurait que la même main cachée qui a dirigé la révolution, qui pût en écrire l’histoire. Quand on la contemple dans ses détails on voit que quoiqu’elle frappe à la-fois sur tous les ordres de la France il est bien clair qu’elle frappe encore plus fortement sur le clergé. Car la noblesse elle-même, cette excroissance monstrueuse parmi des individus égaux par leur nature, ayant déjà été si abaissée en France par quelques Monarques et par leurs ministres, n’avait plus à perdre pour ainsi dire, que de vains noms et que des titres imaginaires ; au lieu que le clergé, étant dans la jouissance de tous ses droits factices et de toutes ses usurpations temporelles devait éprouver, tous les rapports, le pouvoir de la main vengeresse qui conduit la révolution attendu qu’on ne peut guère se refuser à regarder les prêtres comme les plus coupables, et même comme les seuls auteurs de tous les torts et de tous les crimes des autres ordres. « La circulaire du Grand Orient est explicite, et même son grand maître, le duc d’Orléans, décida de ne plus s’occuper de maçonnerie en quittant l’institution quelques jours avant son régicide, prétextant une méconnaissance des membres qui composent l’Ordre, un navire autonome sans capitaine. Après avoir été l’un des principaux acteurs du désordre en spéculant notamment sur le prix des matières premières, et de fait qui eut des conséquences immédiates en affamant le peuple, mais en détournant la faute et la colère sur Louis XVI et son gouvernement, le futur Philippe Égalité, voyant la Révolution dévorer ses enfants se retira en ayant joué le rôle d’idiot utile de la maçonnerie et de traître à son cousin et — c’est d’autant plus grave — à son pays. Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803), dit le Philosophe inconnu « Un des points surprenants de 1789 est l’adhésion en masse de la noblesse à la franc-maçonnerie. L’entourage proche du roi maçonnait à tout-va dans un aveuglement suicidaire. Ils ont embrassé le diable. Sauf qu’en jouant avec Lui, le jeu n’est pas sans conséquence. Rien n’est gratuit. Ce n’est pas Jésus qui donne sans attendre en retour. Ils ont payé sèchement leurs forfaitures. Soit de leurs têtes, soit d’une émigration forcée. Plus grave encore est la liquidation de la maison Bourbon par les erreurs d’un Charles X, maçon lui-même, qui entraîna la mise à l’écart de sa famille du pouvoir et de la France à jamais. Tellement il est vrai qu’une troisième restauration semble inimaginable ! « Cette trahison de la noblesse — n’ayons pas peur des mots — est souvent mal étudiée. Pourquoi se sont-ils précipité en loge alors que la franc-maçonnerie professait des idées radicalement contraire à une monarchie absolu de droit divin ? La maçonnerie du XVIIIe siècle était particulière à son temps. Influencé par les idées des Lumières, elle était égalitariste, libertaire et surtout anticatholique. « Égalitariste ? Évidemment, le fait de casser la hiérarchie au sein des loges entre les trois ordres (noblesse, clergé, tiers-état) et de pouvoir échanger au même niveau entre le bourgeois et le noble bouleversa la façon de concevoir l’organisation sociale entre les hommes. La bourgeoisie ne faisait qu’imiter jalousement les réunions mondaine auxquelles elles n’avaient pas accès à Versailles. Les décorations maçonniques ne servaient qu’à flatter l’orgueil du maçon sous couvert d’égalité, en reproduisant toute la liturgie, l’étiquette et les fanfreluches de la noblesse dans un ridicule aussi grand que leur ego en manque de reconnaissance. La jalousie des biens d’autrui fut un moteur conséquent à l’action. Louis-Philippe d’Orléans, dit Philippe Égalité après 1792, qui vota la mort de son cousin Louis XVI. Gravure extraite des albums du roi Louis-Philippe constitués dans la première moitié du XIXe siècle « Libertaire ? Assurément la maçonnerie l’était par son relativisme philosophique et son refus de la Révélation chrétienne. Chacun a sa vérité. « Anticatholique ? C’est le point qui unit toutes les maçonneries, qu’elles soient déistes, se revendiquant même « christique » comme au rite écossais rectifié, elles sont intrinsèquement contre l’Église. Cela se concrétisa par le vote unanime de la Constitution Civile du Clergé et par la chasse au clergé réfractaire, la transformation des édifices chrétiens en « temple de la Raison », pour finir atrocement en Vendée où les pires moyens d’annihilation ont été utilisés. « La franc-maçonnerie a deux visages : le premier rassurant est celui du club de pensée, philanthropique où le bon mot règne, mêlé de flagornerie et de repas fraternel. Le deuxième est idéologique et doctrinal, beaucoup moins rieur et sympathique. « De toutes les révolutions, la Révolution française se caractérise par sa triple nature usurpatrice, anticatholique et sanglante, intrinsèque à son idéologie destructrice du table rase. L’idée de régénération de la société par les vertus philosophiques abstraite — mais suffisamment générales pour être applicables — et utopiques des Lumières, fut le prétexte et la base spirituelle à toutes les horreurs commises par ses disciples. Si la Révolution ne marche pas, c’est qu’il n’y a pas assez de Révolution ! Tel fut la devise sanguinaire de juillet 1789 à juillet 1794. Jamais le royaume des lys ne fut autant martyrisé et vidé de sa substance que pendant ces cinq années terribles où tant de français tombèrent dans le rouge infernal au pays du blanc immaculé. » INFORMATIONS PRATIQUES : Louis XVI et les francs-maçons, par Steve Brastel. 190 pages. Format 15x23 cm. 13 euros. ISBN 978-1-979925365. Paru en novembre 2017 https://www.france-pittoresque.com/spip.php?article14732 _________________ X est la force deux fois pure
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