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 Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils)

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bourbon powah

bourbon powah


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MessageSujet: Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils)   Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) Icon_minitimeMar 23 Jan - 12:59

Un livre que je veux dans ma bibliothèque ! Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) 914132

Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) C0315210

On peut dire en parodiant le titre d’un film « l’histoire n’est pas un long fleuve tranquille ». Non seulement elle s’est déroulée de façon plus ou moins « chaotique » sur toute la surface du globe, mais en plus elle est remplie de « zones d’ombres ».Celles-ci sont plus ou moins importantes, mais, comme elles sont dans le passé, nous savons maintenant les effets plus ou moins directs qu’elles eurent à leur époque, et, par voie de conséquence sur notre histoire actuelle. Ce peut être quasiment nul (en quoi de savoir si la Mauresse de Moret était de sang royal aurait modifié la politique de Louis XV, en fait strictement rien), ou très important (si César avait pris une pâté prévisible à Alésia, l’histoire de ce qui va devenir la France eût été certainement toute autre). Mais il ne faut pas tomber dans l’uchronie, même si c’est un domaine romanesque qui peut-être au demeurant intéressant.

Les éditions Perrin, autour de Jean-Christian Petitfils ont réuni des historiens de renom de Claude Quétel à Olivier Wieviorka en passant par Jean-Louis Brunaux, qui chacun ont produit une contribution (une vingtaine en tout) pour essayer d’apporter autant que faire se peut une réponse à des questions que nous pose l’Histoire de France. Pour certaines soyons sincères, l’auteur (toujours avec talent) nous apporte une réponse déjà admise comme dans l’Affaire du collier de la Reine ou pour le célèbre rencontre de De Gaulle avec le général Massu à Baden-Baden. D’autres contributions sont plus des explications d’un « phénomène » comme « Robespierre, un monstre bien utile » ou « Qui se cache sous la Cagoule ». Certains prennent des positions pour mettre fin à des polémiques : oui Jeanne d’Arc a bien été brûlée à Rouen, il n’y a aucun mystère à Rennes le château, tout est partie d’un escroc : l’abbé Saunière et d’un mythomane voulant attirer de la clientèle dans son hôtel. Évidemment, tout ce qui est écrit, développé, est le résultat de longues recherches avec parfois la découverte de documents inédits ou trop peu exploités par certains quand ils n’ont pas été « mis de côté » car contraires à la thèse défendue. On lit de véritables enquêtes comme celle relative au cœur de Louis XVII, ou les circonstances de l’assassinat d’Henri IV ou encore l’arrestation de Jean Moulin. Mais il y a des réponses à des questions que bien peu de personnes se posent comme : qui étaient les parents de la Mauresse de Moret, ou la mort du dernier prince de Condé au château de Saint Leu. Pour cette dernière affaire, la science à rejoint l’histoire puisque des analyses à partir de différents ADN ont montré qu’Hortense de Beauharnais était bien sa mère et que Lucien était bien son père. Par contre Charles Bonaparte (le père de Napoléon et de tant d’autres) n’était pas son grand-père paternel. Et oui, même si c’est loin d’être une découverte, Lætitia, Madame Mère, ne fut pas d’une fidélité totale. Mais, comme l’écrit Eric Anceau : « la recherche en paternité de Napoléon III n’a en aucune manière influé sur le cours de l’histoire. »

Cette conclusion pourrait être celle de ce livre qui fait état des dernières recherches scientifiques dans bien des périodes de l’Histoire de France.

Pierre de Restigné
http://www.wukali.com/Les-enigmes-de-l-histoire-de-France-des-clarifications-passionnantes-3160#.WmciH2d0yJA
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Hercule Poirot

Hercule Poirot


Nombre de messages : 262
Date d'inscription : 29/12/2017

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MessageSujet: Re: Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils)   Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) Icon_minitimeDim 4 Fév - 17:32

Et l'une de ces énigmes les plus palpitantes, c'est évidemment la fameuse question : "Mais qui se cachait réellement derrière l'homme au masque de fer ?"

Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) Louis-10

L'enquête historique commence au donjon de Pignerol, dont Bénigne de Saint-Mars a été gouverneur de 1664 à 1681. Il est établi, grâce au registre de Du Junca, que l’homme masqué était un « ancien prisonnier » de cette geôle. Or, le gouverneur, nous le savons par sa correspondance avec son ministre de tutelle, le marquis de Louvois, conservée aux Archives nationales et au Service historique de la Défense, avait eu sous sa responsabilité un nombre parfaitement connu de pensionnaires. Outre Fouquet, mort le 23 mars 1680, et Lauzun, libéré en avril 1681, résidaient au donjon des individus de moindre renom : un domestique Eustache Danger, un moine jacobin (c’est-à-dire dominicain) surnommé Lapierre (car il cherchait la pierre philosophale), un agent double Dubreuil, un ancien conseiller du duc de Mantoue Ercole Antonio Matthioli et un valet de prison La Rivière.

L’un d’eux est nécessairement l’homme que nous recherchons.

Les ordonnances de remboursement des frais, périodiquement émises par le geôlier, sont claires sur ce point et confirment que l’énigme se circonscrit à ces six candidats. Il n’y a aucune place pour un personnage clandestin, secrètement gardé et magnifiquement traité. Tant pis si les amateurs de merveilleux sont déçus : le célèbre prisonnier n’était certainement pas un homme de très haute condition sociale, ni un prince du sang, ni un duc et pair, ni un maréchal de France, ni même un gentilhomme de vieille roche, pour qui on aurait eu quelque considération. On tombe de haut évidemment! Et c’est bien là une partie du problème qu’il faut résoudre…

Pis encore, cet obscur personnage fut toujours traité comme le gibier ordinaire des prisons, petits espions, agents doubles, empoisonneurs ou mythomanes, qu’on s’interdisait de tuer pour des raisons religieuses, mais qu’on enfouissait à tout jamais dans un cul-de-basse-fosse sans interrogatoire ni procès. Sa pension était celle d’un homme du commun. Pour sa nourriture, le trésorier de l’Extraordinaire des guerres, dont relevait le donjon de Pignerol, ne payait que 5 livres 10 sols par jour, soit 165 livres par mois. En comparaison, on notera que le fonds constitué pour l’entretien mensuel de Fouquet et de Lauzun s’élevait respectivement à 500 et 600 livres. En 1687, lors de son transfèrement à l’île Sainte-Marguerite, le gouverneur vendit ses effets : « Le lit de mon prisonnier, écrivait-il à Louvois, était si vieux et rompu que tout ce dont il se servait, tant linge de table que meubles qu’il ne valait pas la peine d’apporter ici, l’on n’en a eu que treize écus. » Treize écus, c’est-à-dire 39 livres. Avec pareille somme, pas question d’avoir de beaux meubles ni une luxueuse garde-robe comme Fouquet ou Lauzun! Un châssis de bois pour sommier, une couche et de simples nippes. « Il faut, avait prescrit Louvois en décembre 1681, que les habits durent trois ou quatre ans à ces sortes de gens-là. »

Matthioli ?

L’analyse de la correspondance ministérielle, dont les historiens ont pris progressivement connaissance au cours du xixe siècle, nous livre une autre certitude : l’homme au Masque, contrairement à ce que pensaient encore les historiens Marius Topin en 1869 et Frantz Funck-Brentano en 1894, ne fut pas l’Italien Matthioli, cet agent du duc de Mantoue qui avait trahi la confiance de Louis XIV en révélant aux cours européennes des négociations secrètes touchant la cession de la place de Casal, sur le Pô. Il est établi aujourd’hui que cet individu resta à Pignerol en 1681, lorsque Saint-Mars prit le gouvernement du fort d’Exilles, emmenant avec lui deux mystérieux prisonniers « de conséquence » dont le futur homme masqué Certes, c’est bien le nom de cet agent mantouan, légè- rement déformé en « Marchioly » par le curé de SaintPaul, l’abbé Gilles Lesourd, qui figure sur le registre des actes de décès, mais, à cette époque, on enterrait systématiquement les prisonniers d’Etat sous des noms d’emprunt : décédé en octobre 1701, François Esliard, jardinier de Coutances, surpris alors qu’il affichait aux portes de Notre-Dame des placards traitant le roi de tyran, fut inscrit à Saint-Paul sous le nom de Pierre Navet (pour un jardinier, quel humour!), « n’étant pas à propos de dire son nom, note Du Junca, étant cru criminel d’Etat ». En juin 1702, Dupressoir-Louvard, accusé de sodomie, se trancha la gorge : il fut inhumé sous le nom de Pierre Massuque. En mars 1704, le faux-monnayeur Vinacchio dit Vinache fut porté en terre sous le nom d’Etienne Durand… Tous ces malheureux étaient des hommes de mince importance. On peut penser à plus forte raison que le « prisonnier dont le nom ne se dit pas » dut être déclaré sous une fausse identité. Saint-Mars choisit intentionnellement celle de son ancien voisin de cellule à Pignerol, avec lequel la rumeur commençait à le confondre. Celui-ci, en réalité, était mort en avril 1694, à son arrivée à Sainte-Marguerite, lors de l’évacuation des derniers prisonniers de la place forte alpine, menacée par les armées du duc de Savoie.

« Le nommé Eustache Danger »
L’identité du héros involontaire de ce drame n’est plus aujourd’hui un mystère : il s’agit d’Eustache Danger. La lecture en continu de la correspondance ministérielle le démontre avec une concordance rigoureuse et impressionnante. Dubreuil, resté à Pignerol, fut libéré en 1684, La Rivière, ancien valet de Fouquet, mourut d’hydropisie à Exilles en 1686 après avoir fait son testament, et le moine jacobin Lapierre, devenu fou, décéda à Pignerol en 1693.

C’était assurément un personnage de piètre envergure qu’Eustache Danger, valet de son état, arrêté à Calais à la fin de juillet 1669 par le major de la citadelle de Dunkerque, Alexandre de Vauroy, et conduit par petites étapes dans la forteresse piémontaise, avec une simple escorte de trois archers (100 mousquetaires et leur chef d’Artagnan avaient été mobilisés pour convoyer Fouquet en 1664 et Lauzun en 1671). Un homme de modeste origine, mais qui connaissait un secret d’Etat. La lettre de Louvois annonçant sa prochaine arrivée à Pignerol insistait sur ce point : « Il faudra que vous portiez vous-même à ce misérable, une fois le jour, de quoi vivre toute la journée et que vous n’écoutiez jamais, sous quelque prétexte que ce puisse être, ce qu’il voudra vous dire, le menaçant toujours de le faire mourir s’il vous ouvre jamais la bouche pour vous parler d’autre chose que de ses nécessités. […] Vous ferez préparer les meubles de celui que l’on vous amènera, observant que, comme ce n’est qu’un valet, il ne lui en faut pas de bien considérables. »

Le temps passant, l’importance du secret parut diminuer. En 1675, à la mort d’un des deux domestiques de Fouquet, Saint-Mars expliqua à Louvois qu’il ne parvenait pas à en recruter de nouveaux, personne ne voulant s’enfermer à vie, pas même « pour un million ». L’autre serviteur, La Rivière, étant constamment malade, il proposa donc la candidature d’Eustache, ancien domestique lui-même. Après avoir été bien chapitré, faisait-il valoir, ce doux et pieux cénobite, « résigné à la volonté du roi et de Dieu », se garderait de dire « d’où il sort ». Or, fait extraordinaire, Louis XIV, qui avait exigé jusque-là des précautions inouïes pour qu’on n’entendît point le mystérieux captif, faisant aménager à dessein un cachot hermétique, accéda sans objection à cette singulière proposition. Il fut cependant précisé que Danger ne servirait qu’à Fouquet et seulement en cas de nécessité. De cela, on peut logiquement déduire que certaines révélations tiraient moins à conséquence si elles étaient faites à un condamné à la prison perpétuelle qu’à Lauzun, promis un jour à la libération.

Extrait de "Les énigmes de France", ouvrage collectif (cet extrait est signé Jean-Christian Petitfils), publié aux Editions Perrin et Le Figaro Histoire.
http://www.atlantico.fr/decryptage/mais-qui-se-cachait-reellement-derriere-homme-au-masque-fer-3294749.html


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Mr T

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MessageSujet: Re: Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils)   Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) Icon_minitimeDim 4 Fév - 21:22

La ligne du temps est largement balayée, dans cet ouvrage ambitieux, dirait-on. Wink

Le livre est passionnant, que l’on soit profane ou spécialiste. Il revient sur des épisodes de notre Histoire de France, au nombre de 20, que l’on peut lire en allant les piocher comme bon nous semble. Chacun des chapitres tourne autour d’une vingtaine de pages et tous sont passionnants et intrigants. Ces énigmes se présentent souvent comme de captivantes enquêtes policières qui n’ont pas toujours de fin. Notre histoire de France regorge de mystères et ça, quelle que soit la période historique.

Ces 20 mystères se regroupent en six grands thèmes. Ils concernent d’abord des évènements ou des personnages de premier plan. C’est le cas de Vercingétorix. La défaite d’Alésia est évoquée. Tout était réuni pour que Vercingétorix l’emporte sur César et c’est tout l’inverse qui se produisit. On trouve aussi la Saint-Barthélemy, une nuit obscure où la difficulté réside dans l’enchaînement précis des faits et des commanditaires. Un chapitre s’attaque à Robespierre, personnage controversé de la révolution, un autre sur Jean Moulin où la question est de savoir qui est le responsable de son arrestation. Un chapitre, enfin, traite du général de gaulle et de sa mystérieuse disparition vers Baden Baden le 29 juillet 1968.

Ils concernent ensuite des morts demeurées mystérieuses, celle d’Henri IV par exemple pour laquelle on se demande aujourd’hui si on n’a pas armé le bras de Ravaillac. Un chapitre est dédié à celle du duc d’Enghien en 1804, un autre sur le duc de Bourbon en 1830, soit disant suicidé et un dernier sur la mort de Zola, asphyxié chez lui par des émanations de gaz, déclaré comme un accident.

Certains mystères tournent sur des trésors enfouis ou des sociétés secrètes. Un chapitre est consacré aux secrets des Templiers, un autre à la cagoule et un autre sur l’abbé Saunière qui a inspiré le Da Vinci Code.

Certains mystères portent sur des origines mystérieuses comme celles la Mauresse de Moret, religieuse de couleur, protégée de Mme de Maintenon qui prétendait être la fille du roi et de la reine. Un autre porte sur Napoléon III dont on a des doutes sur ses origines paternelles.

D’autres mystères sont consacrés au thème de la survivance avec un chapitre sur Jeanne d’Arc et un autre sur Louis XVII, le dauphin perdu.

Les autres chapitres, enfin, traitent de vieux secrets d’ancien Régime comme d’une liaison de Mazarin, d’une affaire d’empoisonnement sous Louis XIV, de l’énigme du masque de fer et de l’affaire du collier avec Marie-Antoinette.

On se régale à lire toutes ses énigmes qui traversent l’histoire de France. Elles permettent de nous montrer que notre histoire n’est pas figée, que la recherche continue et que surtout, ses énigmes ne sont pas encore résolues, ouvrant la voix à encore d’autres mystères.


Jean-Louis Zuccolini
http://www.froggydelight.com/froggydelight.php?article=20028&theme=lecture&rubrique=livres&onglet=1

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madame antoine

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Date d'inscription : 30/03/2014

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MessageSujet: Re: Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils)   Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) Icon_minitimeMar 6 Fév - 9:17

Bien chers Amis,

Merci pour ces comptes-rendus concernant cet ouvrage que je compte personnellement acquérir.

Bien à vous

madame antoine

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Plus rien ne peut plus me faire de mal à présent (Marie-Antoinette)
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MessageSujet: Re: Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils)   Les énigmes de l’histoire de France (Sous la direction de Jean-Christian Petitfils) Icon_minitime

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