Helen Mirren en Catherine II

Les nombreux dans de la grande dame (laquelle ? les 2 d'ailleurs ) sont sur des charbons ardents !



L'actrice anglaise incarnera l'impératrice de Russie Catherine II dans une mini-série attendue en 2019, annoncent les chaînes américaine et britannique HBO et Sky, qui diffuseront cette fiction.

Helen Mirren a été oscarisée il y a une dizaine d'années pour avoir campé la reine Elisabeth II au cinéma dans "The Queen". Elle prêtera désormais ses traits à une autre puissante monarque qui a marqué l'histoire, Catherine II. Forte, spirituelle, indépendante, intelligente et sexuellement libérée, cette impératrice qui a régné plus de trente ans sur la Russie à la fin du XVIIIe siècle est la définition même de la femme moderne.

La mini-série s'intéressera plus précisément à la fin de son règne et à sa liaison avec Gregori Potemkine, officier de la Garde devenu un conseiller politique de premier plan pour Catherine II. En tournage cette année, la fiction sera diffusée en 2019 sur Sky Atlantic en Grande-Bretagne, Italie, Allemagne, Autriche et Espagne, et sur HBO pour les abonnés d'Amérique du Nord.
https://www.rtbf.be/culture/cinema/detail_helen-mirren-en-imperatrice-russe-pour-la-television?id=9821529

J'avoue ma curiosité piquée.

Sublime dans tout ce qu'elle fait.

Nous l'admirons tous, et je me confonds en excuses à l'avance pour toute la trivialité de ma question. Mais la lady a-t-elle l'âge du rôle ?

Oui, c'est disgracieux, comme question. A la niche, malotru !

Enfin, on peut voir Queen Helen dans la peau de Catherine.

• L'actrice britannique jouera Catherine II de Russie dans cette série limitée événement.
  
  Attention, couronnement en vue ! Après avoir joué la Reine d'Angleterre et gagné un Oscar pour ce rôle dans The Queen, l'actrice Hellen Mirren va de nouveau se mettre dans la peau d'une Souveraine. Mais cette fois, bien loin de Buckingham.
  
  Elle jouera en effet Catherine II de Russie, surnommée "La Grande Catherine", dans la série limitée événement Catherine the Great, qui arrivera sur HBO cet automne (et en France sur OCS). La bande-annonce, qui vient de sortir, promet déjà une superbe série historique sur les dernières années de la vie tumultueuse de la Reine :

• On verra comment cette femme de poigne a mené l'Empire de Russie d'une main de fer à la fin du XVIIIe siècle tout en séduisant les hommes de la cour, notamment Grigory Potemkin, son amant, qui sera joué par Jason Clarke.
  
  Catherine the Great débutera le 21 octobre prochain sur HBO et en France sur OCS.
  http://www.premiere.fr/

La voici en closeup.

Et, bien ou pas bien, cette série ?



Demandons à nos petits copains de Première.

• Ce mini-biopic britannique sur Catherine II de Russie peine à aller au bout de ses ambitions.
  
  Dame Helen Mirren a tout d'une reine, aucun doute là-dessus. C'est bien pour ça qu'elle a été anoblie par la Reine Elizabeth II. Reine qu'elle avait d'ailleurs incarné dans The Queen, de Stephen Frears (en 2006). Aujourd'hui, c'est dans la peau d'une autre souveraine qu'elle se glisse, avec une aisance déconcertante. Elle incarne Catherine II de Russie, dit la "Grande  Catherine", dans une nouvelle mini-série britannique : Catherine the Great, qui vient de faire ses débuts.
  

• L'histoire nous emmène à la fin de son règne, alors qu'elle a évincé du trône son mari, l'Empereur Pierre III, avec l'aide du Comte Orlov. Nous sommes dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle et Catherine essaye tant bien que mal de faire passer ses idées libérales et progressistes dans une société très conservatrice, tout en en séduisant les hommes de la cour, notamment le beau Lieutenant Potemkin...
  
  Sans conteste, la majestueuse Helen Mirren est la raison principale de s'intéresser à Catherine the Great. Elle éblouit chaque plan par sa prestance et son regard qui en dit tellement long. Elle fait une magnifique Catherine de Russie, facétieuse, puissante, intelligente et aussi sentimentale que manipulatrice. Un personnage historique dépeint de manière fort romanesque. Un peu trop peut-être, tant le scénario manque parfois de subtilité. Le script écrit par Nigel Williams (auteur de pièces de théâtre à succès à Londres) lorgne visiblement du côté de Wolf Hall, la géniale mini-série sur Henri VIII (en 2015), sans jamais réussir à atteindre le même niveau d'exigence dans les dialogues, les enjeux, les détails.
  
  
• La mise en scène de Philip Martin est aussi un peu outrancière, mais il faut bien reconnaître qu'avec de tels décors, il était difficile de ne pas vouloir faire briller chaque scène de mille feux. La représentation des richesses de Saint-Petersourg offre une scénographie à couper le souffle, au milieu de costumes extraordinaires et de palais impériaux étonnamment reproduits.
  
  Au bout du compte, Catherine the Great, qui sera diffusée en France sur Canal + d'ici peu, s'affirme comme une belle production de prestige, qui n'arrive pourtant jamais au bout de ses grandes ambitions, en raison d'un script tout simplement loin d'être aussi fascinant que son héroïne.
  http://www.premiere.fr/Series/News-Series/Catherine-the-Great-que-vaut-la-nouvelle-serie-royale-portee-par-Helen-Mirren--critique
  

Déjà Helen aurait dû prendre au mojns 10KG.  

Ouaich à voir en streaming

J'adore cette actrice !

Cette femme a un charme ravageur.

Bien lady Mirren

Secrets et scoops de cette série -

• Direction l'Europe de l'Est ! Soucieuses de coller au plus près à la vérité, les équipes techniques ont posé leurs caméras en Lituanie, en Lettonie et en Russie. C'est dans des bâtiments d'époque que certaines scènes emblématiques de la série ont été tournées. Le palais de Peterhof, situé non loin de Saint-Pétersbourg, a par exemple servi de décors naturels dans l'épisode 1 où Catherine II a rencontré Grigori Potemkin pour la première fois. Le palais Youssoupov de la Moïka et le Palais Catherine, tous les deux dans la même région, ont eux aussi été accueilli le tournage. Pour ce qui est de la Lituanie, l'église et le monastère de Pažaislis ainsi que le château de Trakai ont été utilisés par la production.
  
  Comment les costumes de Catherine The Great ont-ils été conçus ?
  Travail de titan pour toutes les costumières et tous les costumiers de tels projets, la conception de costumes d'époque est ce qui rend une série historique crédible aux yeux des spectateurs. Pour cette série, c'est à la costumière Maja Meschede que l'on doit tout le travail sur la garde robe des nombreux acteurs et figurants du show. Après avoir oeuvré sur les longs métrages The Duchess, Maléfique ou encore Captain America : First Avenger, la jeune femme s'est penchée ici sur l'histoire de l'Impératrice russe (en lisant de nombreuses biographies de Catherine II et de son entourage) pour confectionner des costumes flamboyants. Dans une interview accordée au média Jezebel, elle a révélé que la souveraine incarnée par Helen Mirren avait nécessité 60 costumes différents à elle seule. Et qu'un total de 3 000 pièces vestimentaires avaient été créées rien que pour le show. Au magazine Vogue, Maja Meschede a expliqué que certaines robes pesaient plus de 15 kilos et que toutes étaient évidemment travaillées à la main.
  
  Pourquoi Catherine The Great a-t-elle été tournée en anglais ?
  Certains crieront peut-être au scandale. Mais pourquoi une série avec des personnages historiques russes sont-ils incarnés par des acteurs anglophones ? La question s'était déjà posée il y a quelques mois lors de la sortie de la série Chernobyl. La série aurait-elle eu le même impact à l'international si elle avait été produite par une équipe russe ou d'Europe de l'Est ? La question se pose évidemment. La chaîne HBO notamment a souvent fait le choix de ne produire que des fictions en langue anglaise. Néanmoins, ici encore et fort heureusement, le casting ne s'amuse pas à imiter l'accent russe !
  https://www.programme-tv.net/

Toutes ces robes -

Mais en fait, qu'est-ce que ça vaut ?
On pose la question Allociné répond.
et on va pas être déçus.

Parmi les souveraines ayant marqué l'Histoire de leurs empreintes politiques et culturelles, Catherine II de Russie, surnommée "la Grande", occupe incontestablement une place de choix. Impératrice et autocrate de toutes les Russies de 1762 à sa mort en 1796, capable d'être impitoyable pour sauver son trône, grande mécène des Arts et des Sciences, libérale, pleine de ressources et déterminée, Catherine II est, in fine, passée à la postérité pour avoir été une des souveraines les plus intelligentes, puissantes et habiles sur le plan politique de l'Histoire de la Russie, au cours d'un règne long de 34 ans. Elle fut un des monarques les plus importants de l'Europe moderne, à l'initiative d'une expansion très importante de l'empire russe, avec notamment le rattachement de la Crimée. Une vie au long cours donc, faite de despotisme plus ou moins éclairé, de trahisons, de cruauté aussi parfois, et d'amours passionnés, en grande collectionneuse d'amants qu'elle fut.

C'est dire si, avec une telle toile de fond, le sujet de la mini-série Catherine The Great était déjà passionnant sur le papier. Formidable souveraine Elizabeth II dans la tourmente chez Stephen Frears dans The Queen, le rôle de l'impératrice de Russie est du cousu main pour Dame Helen Mirren. Epaulée par un solide casting, de tous les plans ou presque, capable en clin d'oeil de passer de la séduction à la colère noire terrorisant l'assistance, la comédienne shakespearienne illumine cette coproduction de prestige, qui bénéficie d'un luxe impressionnant -costumes comme scénographie- dans ses reconstitutions de la vie à la cour impériale de Saint Pétersbourg.



Mais Catherine The Great souffre malheureusement de plusieurs écueils. Le premier, c'est que le personnage est incarné par une comédienne âgée de 74 ans. Si son talent est incontestable et que le maquillage est capable d'atténuer évidemment le poids des ans, son âge pose aussi problème, dans la mesure où Mirren incarne la souveraine dans des périodes où elle avait aussi 30 ans de moins... Si cette mini-série est censée être focalisée sur Catherine II, elle donne plus d'une fois l'impression de se concentrer plutôt sur la destinée de son amant, Grigori Potemkine, de dix ans son cadet, parti ferrailler à l'autre bout de l'empire contre les troupes Ottomanes ou nouer des alliances avec les Tatars, tandis que la souveraine en est plus ou moins réduite à jouer l'amoureuse languie, quand elle ne se console pas entre les bras de nombreux amants.

Si cet appétit sexuel a bien existé, Nigel Williams, le scénariste, en fait une faiblesse, en proposant aux spectateurs une vision beaucoup trop romanesque et sentimentale du personnage, qui semble être davantage passionnée, ou préoccupée, par les intrigues et soupirants de boudoirs, que par la gestion de la destinée d'une immense nation. De fait, les enjeux, politiques notamment, sont le plus souvent survolés ou menés d'un pas de charge digne du régiment Préobrajensky, parce qu'il n'y a que quatre épisodes pour résumer un règne de près de 35 ans. Un sentiment renforcé -aggravé serait-on tenté de dire- par le fait qu'on ne prend jamais vraiment la mesure du temps qui passe dans Catherine The Great; au-delà des tempes un peu plus grisonnantes et des effets du maquillage sur les visages, donnant au spectateur l'impression de naviguer à vue dans le récit. De là à regarder cette fiction avec une chronologie, voire un manuel d'Histoire, sur les genoux, il y a un pas qu'on serait presque tenté de franchir.

En dépit de vraies qualités plastiques et de l'interprétation globalement bonne de l'ensemble, il y avait largement matière à rendre nettement plus palpitante la destinée hors norme de cette souveraine. Quitte à rester au rayon des têtes couronnées, on est plus enthousiaste lorsque la caméra de Philip Martin se promène du côté de Buckingham Palace dans la série The Crown.
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18685805.html

Encore un truc neuneu pour jeunes filles en fleurs quoi.

Printscreen