L'Impératrice Joséphine

Chère OLIVIA, de ce point de vue, vous avez entièrement raison. J'avoue mal connaître Madame Mère... NAPOLÉON avait un lien très fort avec elle, il lui a toujours tressé des couronnes et c'est cette image qui est restée : une femme digne, majestueuse, bonne mère et impeccable... Mais personne n'est parfait et j'aimerais bien savoir qui se cachait vraiment derrière cette image un peu trop lisse...
Sinon, les lettres de NAPOLÉON, au début de leur union, témoignent d'un amour passionné, plus digne d'un collégien qui vient de découvrir l'amour que d'un futur empereur.

Je doute connaître mieux que vous la mère de Napoléon. Je me suis juste mise à sa place !
Aujourd'hui les mères sont plus tolérantes et ne peuvent qu'accepter les vies passées de leurs belles-filles avant d'être avec leurs fils. Mais à l'époque, et j'imagine notamment en Corse, on attendait d'une épousée, qu'elle soit vierge. A la rigueur, une veuve pouvait passer à la condition d'être toute de noir vêtue. Et qu'elle mène une vie exemplaire !

Je crois que la belle famille aurait réagi de la même façon avec n'importe quelle épouse....Je ne connais pas les relations qu'avait Marie-Louise avec sa nouvelle famille, mais à mon avis elles ne pouvaient qu'être meilleures.
Une fois débarrassés de " la vieille ", les Bonaparte se sont certainement calmés, et puis le mariage avec une archiduchesse d'Autriche était bien plus flatteur que le précédent !

Napoléon et Joséphine au château de Portets
09-03-2014



Le château de Portets organise le 4 juillet une demi-journée dédiée à la commémoration du passage en ses murs de Napoléon et de Joséphine le 31 juillet 1808.
Le programme comprend deux conférences (« La Garonne et son environnement sous le 1er Empire » et « Napoléon à Bordeaux en 1808 »), une reconstitution historique 1er Empire suivie d’une dégustation des vins du château.
Evénement limité à 200 participants, réservation obligatoire. Tarif : 8€ TTC par personne - www.chateaudeportets.com
Une balade commentée sur la Garonne sera proposée par Bordeaux River Cruise (Gens d’Estuaire) ce jour-là (départ de Bordeaux à 13h, retour à 20h - 33€ par personne - http://bordeaux-river-cruise.com).
http://www.winetourisminfrance.com/fr/breves/1710_napoleon_et_josephine_au_chateau_de_portets.htm

Dans le sillage de l'exposition:


A la mode Joséphine

Par Sandrine Merle | 21/3


Au coeur d'une exposition au musée du Luxembourg : l'impératrice, collectionneuse de bijoux, inspire les joailliers contemporains.





L'exposition du musée du Luxembourg consacrée à Joséphine, première épouse de Napoléon et impératrice, ne présente qu'une dizaine de bijoux lui ayant appartenus. Malheureusement, très peu sont parvenus jusqu'à nous car, au fil des guerres et des héritages, la plupart ont été vendus, démontés ou encore volés. Parmi eux, on peut admirer la bague en grenat (à l'origine en rubis) offerte pour son couronnement, le diadème formé par une seule coquille dans laquelle sont sculptés les camées ou encore la broche-bouquet d'hortensias en diamants qui n'avait encore jamais été montrée. « Elle a été découverte en Suisse, dans un monastère à qui, Hortense, la fille de Joséphine, l'avait léguée », explique Céline Meunier conservateur en chef du château de Malmaison, où vécut Joséphine. En matière de bijoux, cette élégante de l'Empire est une collectionneuse à faire pâlir d'envie la duchesse de Windsor ou Elizabeth Taylor. Elle a la jouissance des joyaux de la Couronne (qui appartiennent à l'Etat), mais cela ne lui suffit pas : elle dépense des sommes folles pour son écrin personnel.

Des bijoux infiniment romantiques

« Elle ne lance pas de mode et ne crée pas de style particulier, explique l'historienne Claudette Joannis, ancien conservateur en chef du musée de Malmaison. En revanche, Joséphine présente une originalité : elle accumule des bijoux d'une variété incroyable en termes de couleurs et de matières. » Des tiares en diamant côtoient des parures en émeraude, en topaze, en améthyste mais aussi en perle, des pendentifs en micromosaïques, des colliers en filigrane ou en fer de Berlin, etc. On y trouve des joyaux et des petits bijoux de rien. Il doit y en avoir pour aller avec chaque tenue, dont elle change plusieurs fois par jour… Ses bijoux présentent une autre caractéristique commune : tous sont ravissants, féminins et infiniment romantiques. La mode d'aujourd'hui en raffole. On retrouve cet esprit à la Joséphine dans les boucles d'oreilles du joaillier autrichien Henry J. Sillam, formées par des morganites rose pâle ou des perles, en forme de goutte. Les pendants en saphir ou en perle de Chopard évoquent les deux paires présentées par le musée du Luxembourg. On voit aussi des réminiscences de ses bijoux dans les pierres taillées à l'ancienne, très plates, que Lorenz Bäumer grave au laser, dans les camées de l'Américaine Cathy Waterman, de Marc Auclert ou encore dans ceux de Victoire de Castellane pour Dior : elle les « habille », c'est-à-dire les sertit de pierres précieuses. Comme toutes les collectionneuses célèbres, Joséphine fait rêver les joailliers… Parmi les contemporains, seulement deux existaient déjà à cette époque et l'ont vraiment eue comme cliente : Mellerio et Nitot, joaillier officiel de Napoléon, connu aujourd'hui sous le nom de Chaumet. « Nous la considérons comme notre première muse », estime la maison qui lui a dessiné des parures et des tiares, dont celle qui figure sur « Le Sacre » de David. La tiare, devenue le bijou fétiche de la maison, est aujourd'hui inlassablement déclinée notamment en bague, dans une collection intitulée « Joséphine ».
L'horloger Piaget n'a pas eu l'impératrice comme cliente, ce qui ne l'a pas empêché de tisser des liens avec, sous prétexte qu'elle vouait une véritable passion à la rose, fleur emblématique de la maison. Celui-ci a d'ailleurs restauré la roseraie du château de Malmaison. Piaget vient également de lancer une collection inspirée par ses goûts. Les bijoux reprennent les détails caractéristiques du château de Malmaison comme les feuilles de laurier. Elles sont transformées en collier et en ravissantes boucles d'oreilles qui vont parfaitement à l'univers de Joséphine, tel qu'il apparaît dans l'exposition du musée du Luxembourg.
http://www.lesechos.fr/luxe/horlogerie-joaillerie/gemme/0203373744549-a-la-mode-josephine-658813.php

Voici une rencontre avec Joséphine, déjà marié avec Bonaparte, racontée par Melle George. La jeune comédienne a à peine quatorze ans au moment de cette rencontre.

Tout s'agitait, tout se remuait. Mlle Raucourt sentait elle-même qu'il ne fallait pas s'endormir. Elle était reçue très souvent chez Mme Bonaparte (épouse du Premier Consul.) Nous prîmes la route de Saint-Cloud, et Mlle Raucourt fut admise à l'instant. Je vis donc cette belle et gracieuse
Joséphine, qui vint à nous avec le sourire qui de suite vous attachait à elle. Ses yeux si doux et si attirants! Elle était si bonne! Elle vous mettait à l'aise, mais avec sa distinction, avec cette élégante simplicité qui n'appartenaient qu'à elle. Il y avait dans toute sa personne une suavité qui vous magnétisait. Impossible de ne pas se courber devant cette influence mystérieuse, ce charme si doux. On l'aimait avant de l'entendre; l'on sentait qu'elle portait bonheur.

Elle pria Mlle Raucourt de me faire dire quelques vers. Je répétai une scène d'Idamé, qui fit pleurer Mme Bonaparte; une scène de
maternité ne pouvait pas manquer son effet sur le coeur de Joséphine, elle, si bonne mère. Elle veut m'embrasser, ayant encore ses belles et grosses larmes dans les yeux. «Mon enfant, votre talent sera la maternité. Vous m'avez remué le coeur.» Nous sortîmes enchantées. Mme Bonaparte dit à Mlle Raucourt: «Au revoir, chère Raucourt. A bientôt, j'espère. Ramenez-moi cette petite vilaine, quim'a fait pleurer.»

Nous avons présenté Melle George dans un autre sujet. https://maria-antonia.forumactif.com/t620p60-francoise-marie-antoinette-saucerotte-la-raucourt

madame antoine

J'adore! Cette description correspond tout à fait aux portraits si gracieux de Joséphine...

Detail of Josephine from Jacques-Louis David “The Coronation of Napoleon”, 1807
http://thesweetnessofliving.tumblr.com/

Voici un article sur Joséphine et Napoléon.

http://www.lepoint.fr/culture/napoleon-ier-l-incomparable-josephine-28-11-2014-1885362_3.php



madame antoine

Représentation du Couronnement de l'impératrice Joséphine à Notre-Dame le 2 décembre 1804 d'après Jacques-Louis David :


Photo (C) RMN-Grand Palais (musée des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau) / Gérard Blot

Avec la Reine Marie-Antoinette, l'Impératrice Joséphine est l'autre représentante du goût et de l'excellence à la française. En témoigne cette splendeur de tasse à thé à décor égyptien....


Photo (C) RMN-Grand Palais (musée des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau) / Thierry Ollivie

....... ou plus exactement cabaret à thé (1808).

Je viens de voir que j'ai enchaîné deux posts sur Joséphine
J'avoue un petit faible pour elle

Etude pour le Portrait de l'impératrice Joséphine par Pierre Paul Prud'hon

Un exemplaire du service aux Liliacées de l'Imperatrice Joséphine
Antholyse papilionnacée


Photo (C) RMN-Grand Palais (musée des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau) / Gérard Blot

Lieu de conservation
Rueil-Malmaison

Joli, épuré et champêtre, comme l'aimait Marie-Antoinette

C'est vrai qu'elles avaient plein de points communs

Joséphine je commence à être fan aussi elle est trop belle


auteur Daniel Saint - Photo (C) RMN-Grand Palais (musée du Louvre)

C'est une très belle femme, oui. Mais celle qui se rapproche le plus de Marie-Antoinette, à mon avis, est Eugénie de Montijo qui a connu, elle aussi, la colère du peuple et l'exil.

Chers Collector et Chou d'amour, voici un autre motif témoignant également du bon goût de notre Impératrice Joséphine. Il s'agit d'une pièce du Service aux Liacées représentant un Ixia à longue fleur.


Photo Gérard Blot

Bien à vous

madame antoine

Mousseline a écrit:

C'est une très belle femme, oui. Mais celle qui se rapproche le plus de Marie-Antoinette, à mon avis, est Eugénie de Montijo qui a connu, elle aussi, la colère du peuple et l'exil.

Bonjour, Mousseline,

Il est vrai que l'Impératrice Eugénie présente d'intéressants points communs avec la Reine Marie-Antoinette, vous avez raison de le relever. Ces deux Impératrices, Joséphine et Eugénie, éprouvaient d'ailleurs une fascination pour Marie-Antoinette. Nous avons un sujet particulier dévolu à l'Impératrice Eugénie dans notre Boudoir.
https://maria-antonia.forumactif.com/t699-l-imperatrice-eugenie-la-memoire-de-la-reine?highlight=eugenie

Bien à vous

madame antoine

Bonjour, Mr Pilayrou,

Je pense également que beaucoup de zones d'ombres subsistent dans la destinée du Roi Louis XVII. Le rôle joué par l'Impératrice Joséphine mériterait d'être creusé. C'est pourquoi un sujet particulier lui est désormais dévolu. Vous y trouverez votre message en ouverture.
https://maria-antonia.forumactif.com/t7303-quel-role-l-imperatrice-josephine-a-t-elle-joue-dans-la-destinee-du-roi-louis-xvii?highlight=josephine

Bien à vous

madame antoine

Château de Navarre, à Évreux, où la pauvre Joséphine a dû se réfugier quand Napoléon n'a plus voulu d'elle    

Hé! Joséphine aussi, c'était une dingue des animaux!

Une orang-outan, des kangourous, des lamas, des perroquets… Joséphine de Beauharnais avait peuplé son domaine de Malmaison de bien étranges animaux.

Connue pour sa passion de la botanique, Joséphine de Beauharnais s’intéressait également à la zoologie. Et si, dans les premières années du XIXe siècle, l’épouse de Napoléon Bonaparte rivalisait avec le Jardin des plantes de Paris pour l’acclimatation d’espèces végétales venues des quatre coins du monde, il en était de même avec les animaux exotiques. Dans le parc du château de son château de Malmaison, la jeune femme originaire de la Martinique avait sa «ménagerie». Vivaient là, par exemple, des kangourous, des lamas, des zèbres, des gnous, des antilopes ou encore un orang outang.

Dans le livre «Joséphine. Le paradoxe du cygne » paru aux éditions Perrin, Pierre Branda raconte: «Cette femelle singe était assurément le clou du spectacle vivant offert à Malmaison: «Lorsque quelqu’un s’approchait de la chaise où elle était assise, c’était une curieuse chose que de la voir ramener sur ses cuisses les pans de sa longue redingote, prendre pour saluer un maintien plein de décence et de modestie. Elle mangeait à table, et se servait fort adroitement du couteau et de la fourchette, surtout pour découper des navets, mets dont elle était folle. Quand elle avait dîné, une de ses grandes joies était de se couvrir le visage avec sa serviette, et puis de l’ôter en faisant mille grimaces risibles», écrivit amusée Mlle Avrillion. »». Cygnes noirs, faisans dorés de Chine, perroquets aux couleurs éclatantes, casoars, émeus, autruches…, Joséphine vouait également une véritable passion aux oiseaux.


Le château de Malmaison vu depuis son parc, par Courvoisier
The Art Archive / Malmaison Musée du Chateau / Gianni Dagli Orti

La facétieuse orang-outan de l’Impératrice, que lui avait envoyée le gouverneur de la Martinique, ne fit malheureusement pas de vieux jours. «A cause des hivers froids, les tentatives d’acclimatation réalisées à Malmaison furent dans l’ensemble un échec. Seuls les cygnes noirs purent se reproduire et continuèrent de faire l’admiration des visiteurs. En 1814, il ne restait plus qu’un kangourou et un lama, seuls survivants des années 1803-1805, années fastes pour la zoologie à Malmaison», rappelle l’historien. Lequel précise que pour s’approvisionner en animaux exotiques, Joséphine profitait du retour des expéditions scientifiques –notamment celle qui revint en mars 1804 d’Australie après trois années de voyage-, s’efforçant de griller la politesse, pour «faire son marché», aux naturalistes du Jardin des Plantes tout aussi intéressés qu’elle par les espèces jusqu’alors inconnues sur le sol français.
http://www.parismatch.com/Royal-Blog/royaute-francaise/L-orang-outan-de-l-imperatrice-Josephine-mangeait-a-table-993712

Le nom d'un passage à Châteauroux rendra hommage à l'Impératrice Joséphine.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2016/07/29/Un-passage-en-hommage-a-l-epouse-de-Napoleon-2796155

Voici un article analysant les relations entre Napoléon et Joséphine.

"Incomparable Joséphine, par quel art as-tu su captiver toutes mes facultés, concentrer en toi toute mon existence morale ? C'est une magie." On ne saurait être plus élogieux... Bonaparte rencontre la "veuve Beauharnais" ­-son mari, général, a été guillotiné quelques jours avant la chute de Robespierre-­ un peu par hasard, en janvier 1796, lors d'un dîner mondain parisien.  

La "belle Créole", née Marie Josèphe Rose Tascher de la Pagerie, trente-trois ans auparavant en Martinique, a été la maîtresse de Barras, membre du Directoire, qui l'a entretenue avant de la délaisser. Sans protecteur ni le sou, avec deux enfants à charge (Eugène et Hortense), Marie Josèphe vit d'expédients. Elle fréquente la haute société sans en avoir les ressources. Elle aspire à retrouver son rang. Le général Bonaparte, de six ans son cadet, à qui l'on prédit un grand avenir, peut être l'homme de la situation. Elle est étourdie par sa fougue, conquise par son ambition, bien qu'elle n'en soit pas éprise.

Bonaparte, lui, tombe fou amoureux. Parce qu'il ne peut supporter que son prénom ait été susurré par d'autres amants que lui, il rebaptise aussitôt sa conquête: Joséphine. Impétueux, sincère, passionné, excessif, Bonaparte n'imagine plus la vie sans elle. Il l'épouse civilement moins de deux mois plus tard, le 9 mars 1796. Sur la bague en émail noir qu'il lui offre sont gravés ces deux mots: "Au destin."

Sitôt marié, Bonaparte, bombardé général en chef de l'armée d'Italie, part en campagne. Seul. Joséphine, restée à Paris, trompe son ennui avec un capitaine de hussards. Au bord de la rupture après la campagne d'Egypte, Bonaparte renonce au divorce par égard pour Eugène et Hortense.  


Illustration: Joséphine de Beauharnais s'évanouit lorsqu'elle apprend que Napoléon la quitte.
Estampe de Bosselman gravée par Chasselat

1804. Le premier consul est devenu empereur. Pour asseoir son pouvoir, fonder une dynastie, Napoléon a besoin d'un héritier. Mais Joséphine n'est plus en mesure de le lui donner. Ne pouvant adopter l'un des fils de son frère, Louis, Napoléon se résout, la mort dans l'âme, à répudier l'impératrice, celle qui l'a toujours soutenu dans sa conquête du pouvoir.

La dissolution du mariage est prononcée, le 15 décembre 1809, au palais des Tuileries. L'empereur cherche désormais un "ventre" de haute lignée pour abriter sa future descendance.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sexualite/bonaparte-et-josephine-l-un-fou-amoureux-l-autre-conquise-par-son-ambition_1810180.html

Il s'agit d'existences tellement romanesques qu'on en viendrait presque à oublier qu'elles furent réelles.

Bien à vous

madame antoine

C'est un 15 Décembre, en 1809, qu'eut lieu le divorce de L'Empereur et de L'Impératrice.



Dieu sait s’il a courtisé et aimé la belle Joséphine de Beauharnais mais Napoléon 1er décide de quitter son épouse car celle-ci, âgée de 46 ans, ne peut pas lui donner d’enfant. Prononcé le 15 décembre 1809, le divorce par consentement mutuel est confirmé par un sénatus-consulte le lendemain. L’empereur se remarie quelque mois plus tard avec Marie-Louise d’Autriche. La fille de l’empereur d’Autriche François Ier et la petite-nièce de la reine Marie-Antoinette lui donnera le fils tant attendu, Napoléon François Joseph Charles Bonaparte, connu sous le nom de Napoléon II, bien qu’il n’ait jamais régné qu’en théorie 15 jours, entre la deuxième abdication de Napoléon et la Seconde Restauration.
http://www.lesoir.be/1387080/article/soirmag/soirmag-histoire/2016-12-08/15-decembre-1809-divorce-napoleon

madame antoine