Le Boudoir de Marie-Antoinette

Prenons une tasse de thé dans les jardins du Petit Trianon
 
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 Pirates des Caraïbes

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globule
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MessageSujet: Pirates des Caraïbes   Pirates des Caraïbes Icon_minitimeJeu 7 Mar - 10:24

On est fans OK. Pirates des Caraïbes 914132

Pirates des Caraïbes 18604410

Mais on se dit tous quelque part que c'est n'importe quoi. Pirates des Caraïbes 49856
En fait, pas tant que ça.

A l'abordage !


Pirates des Caraïbes Untitl10

  • Barbossa. Bien que purement fictif, le capitaine du Black Pearl et ennemi juré de Jack Sparrow s’inspire d’un personnage réel : Khayr ad-Din (1466-1546), dit Barberousse. Grand amiral de l’Empire Ottoman et corsaire redoutable, il fut l’un des plus grands marins de son époque.


  • Black Pearl. Le légendaire bateau du capitaine Hector Barbossa rappelle les flûtes hollandaises du XVIIe siècle (des navires utilisés à des fins commerciales et militaires), mais également du Vasa, un grand vaisseau de guerre suédois.


  • Calypso. La déesse de la mer et grand amour du capitaine Davy Jones, enfermée dans le corps d’une sorcière, trouve son origine dans le personnage de la mythologie grecque. Dotée d’une très grande beauté, Calypso était une nymphe de la mer, reine de l’île d’Ogygie. Elle est célèbre pour sa rencontre avec Ulysse dont elle tomba éperdument amoureuse.


  • Code des pirates. Lu par Teague Sparrow (le père de Jack) lors de la réunion des seigneurs pirates au sein du tribunal de la confrérie, le code des pirates a bien existé. À l’époque, chaque coalition de pirates disposait du sien. Le plus connu de ces codes est celui qu’a écrit Bartholomew Roberts, l’un des pirates les plus célèbres du XVIIIeme siècle.


  • Confrérie des pirates. Réunie par Barbossa pour libérer la déesse Calypso, la Confrérie des pirates se base sur une coalition authentique: les Frères de la côte. Principalement composée de protestants français et anglais, elle fut active durant les XVIIe et XVIIIe siècles dans l’Océan Atlantique et dans les Caraïbes. Leur base : l’île de Tortuga.


  • Davy Jones. Le terrifiant capitaine du Hollandais volant a été emprunté à une légende bien connue des marins. Le nom de Davy Jones fait référence à une sorte de démon des océans. En anglais, l’expression Davy’s Jones locker désigne le fond de la mer, l’endroit où reposent les marins décédés.


  • Hollandais volant. Créé par la déesse Calypso, qui l’a ensuite offert à Davy Jones, le Hollandais volant de Pirates des Caraïbes est peu éloigné du mythe d’origine. En réalité, le navire est l’un des vaisseaux fantômes les plus célèbres des légendes pirates : le capitaine du bateau, pris dans une tempête, aurait défié Dieu de couler le navire. Pour punir ce blasphème, Dieu aurait alors condamné son équipage à errer sur les mers jusqu’à la fin des temps.


  • Pavillons. Lors de la scène où l’alliance des neufs seigneurs pirates s’apprête à combattre les Anglais, les couleurs hissées par les navires correspondent à de véritables pavillons de pirates. On peut notamment apercevoir ceux des célèbres Barbe Noire, Bartholomew Roberts et Edward Low. Le pavillon du Black Pearl (un crâne surplombant des sabres croisés) a lui aussi existé. C’était celui de Jack Rackham, dont Hergé s’est inspiré pour Le Secret de la Licorne et Le Trésor de Rackham le Rouge.


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cassos

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MessageSujet: Re: Pirates des Caraïbes   Pirates des Caraïbes Icon_minitimeMer 13 Mar - 9:20

J'avoue je suis fan. Pirates des Caraïbes 49856
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juul

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MessageSujet: Re: Pirates des Caraïbes   Pirates des Caraïbes Icon_minitimeJeu 14 Mar - 16:31

Love it Pirates des Caraïbes 580524

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Airin

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MessageSujet: Re: Pirates des Caraïbes   Pirates des Caraïbes Icon_minitimeMar 26 Mar - 8:09

Et ceci, messeigneurs, en serez-vous fans aussi ?

Ile de la Tortue, Frères de la côte... La véritable histoire des pirates des Caraïbes

  • Mercenaires, flibustiers, boucaniers et autres coureurs des mers… Au début du XVIIe siècle, des parias de tous horizons se rassemblent sur l’île de la Tortue, minuscule territoire au large de Saint-Domingue. Prenant le nom de Frères de la côte, ils vont former une confrérie anarchiste avant l’heure.


On a bien cru, en septembre 2004, que l’île de la Tortue avait disparu. Submergé par un ouragan, ce petit territoire de 37 kilomètres de long pour 7 kilomètres de large, situé juste au nord d’Haïti, a fini par reparaître avec son unique montagne qui, vue de loin, lui donne la forme d’une tortue au repos. Les touristes ont pu revenir sur ses plages de sable, flâner au milieu des cocotiers et repartir sur les traces de son improbable passé de repaire de pirates. Car ce coin de paradis fut, au XVIIe siècle, l’un des principaux centre de ralliement de la flibuste française. Plus près de la Jamaïque anglaise que de la Martinique et de la Guadeloupe, elle se situe au milieu des « îles du Pérou », comme on appelait encore les Antilles. Cette dénomination dit bien l’enjeu géopolitique de cette partie du Nouveau Monde, le rêve d’Eldorado que suscitait le continent sud-américain, alors entièrement aux mains des Espagnols et des Portugais. Au grand dam des Hollandais, mais surtout des Anglais et des Français qui choisissent de se tenir en embuscade sur les marches de cet empire. Ne pouvant contrôler légalement la zone, ils se serviront alors des pirates et des mercenaires comme bras armés officieux… La région deviendra un port d’attache idéal pour attaquer les galions espagnols chargés de richesses.

Pirates des Caraïbes Ile-de10


  • Paysans anglais expropriés, protestants français… déferlent sur les îles

Ces îles pleines de promesses voient déferler sur leurs plages une population extraordinairement mêlée qui vient y former ce que le parlementaire britannique Richard Braithwaite appelle, en 1631, « l’hydrarchie » : des Etats maritimes plus ou moins supervisés par les gouverneurs, représentant des autorités de la métropole, mais en réalité organisés à la base par les marins. Comme l’écrit Braithwaite, « mes étoiles ne peuvent être plus fidèles en leur société que ces gaillards dans leur fraternité ». On y trouve des paysans anglais expropriés lorsque le régime agraire des « enclosures » mit fin, au XVIe siècle, au système coopératif pour instaurer la propriété privée des terres. Mais aussi des paysans ou protestants français, rescapés des jacqueries qui ont secoué la France des années 1630, ou fuyant la répression religieuse qui va culminer avec la révocation de l’édit de Nantes en 1685.

  • Les nouveaux arrivants découvrent des peuples qui vivent sans propriétés, sans travail, sans maîtres ni rois

Ces révoltés, situés au bas de l’échelle sociale, ont subi les conditions inhumaines de la traversée de l’Atlantique dans la marine marchande ou de guerre. Certains se sont mutinés, ont pris le contrôle de leur vaisseau et hissé le drapeau noir à tête de mort, ou bien ont été convertis par des pirates après la capture des vaisseaux dans lesquels ils servaient. D’autres ont même trouvé refuge chez les Indiens, découvrant des peuples qui vivent sans propriétés, sans travail, sans maîtres ni rois. Ils se sont regroupés, les Anglais à la Jamaïque et à la Barbade, les Français à l’ouest de Saint-Domingue (actuelle Haïti), mais aussi sur la petite île de la Tortue. C’est là qu’ils vont constituer, au début du XVIIe siècle, une société égalitaire, quasi révolutionnaire, appelée les Frères de la côte, et dont fera parti un Français du nom d’Alexandre-Olivier Exmelin.

  • En 1666, Alexandre-Olivier Exmelin embarque gratuitement pour le compte de la Compagnie des Indes occidentales

A seulement 20 ans, en 1666, le jeune homme prend le large. Ce fils d’un apothicaire protestant d’Honfleur a étudié aux Pays-Bas pour devenir médecin. Désespérant d’exercer ce métier en France où un récent décret de Louis XIV l’interdit aux Huguenots, il accepte la proposition de la Compagnie des Indes occidentales d’embarquer gratuitement pour les Caraïbes. A une condition : il doit servir la Compagnie pendant trois ans. Débarqué sur l’île de la Tortue, Exmelin se retrouve « exposé en vente » avec les autres « engagés » du bateau. Il n’a pas compris qu’être un « engagé », c’est être un esclave pendant trois ans (les Noirs d’Afrique ne sont pas encore arrivés). Soumis aux basses besognes et aux caprices d’un maître cruel, il est laissé pour mort au milieu des bois avant d’être recueilli par les boucaniers.

  • Les boucaniers sont de grands consommateurs de tabac et d’eau-de-vie et de redoutables tireurs

Ces pirates de la terre ferme chassent le bœuf sauvage, d’où leur nom. Ils dépècent ce gros gibier dans un foyer appelé « boucan » et font commerce de la viande et du cuir. Exmelin s’étonne de les voir à peine vêtus d’une simple chemise et d’un caleçon court imprégnés de sang. « Quelques-uns avaient des cheveux hérissés, d’autres noués, tous avaient la barbe longue et portaient un étui de crocodile dans lequel étaient quatre couteaux avec une baïonnette », racontera-t-il dans son Histoire des Frères de la côte, publiée dans les années 1690. Ces grands consommateurs de tabac et d’eau-de-vie n’en sont pas moins de redoutables tireurs. Qualité qui leur vaut la première place chez les flibustiers qu’ils finissent par rejoindre après la disparition du gibier sur l’île, trop chassé.

  • Selon Exmelin, la vie du flibustier est « brève mais joyeuse » et surtout démocratique

Exmelin, qui a contracté le virus de l’aventure, s’engage comme chirurgien sur un bateau de la flibuste. Il sait qu’il doit s’attendre à une vie mouvementée car il a connaissance du terrible destin d’un autre Français, Jean-David Nau (1630-1669), dit François l’Olonnais, un natif des Sables d’Olonne. Ce féroce flibustier avait pris et pillé les villes de Maracaïbo et de Gibraltar sur la côte de l’actuel Venezuela. Le butin vite dépensé dans les bouges de la Jamaïque et de Saint-Domingue en festivités où « la profusion et le dégât avaient plus de part que le plaisir », le pirate se vit contraint, pour se renflouer, d’organiser une nouvelle expédition – la dernière. Il fit naufrage au Nicaragua, fut capturé par les Indiens qui le découpèrent en quartiers, le firent rôtir et le mangèrent.

La vie du flibustier, selon les propres mots d’Exmelin, est « brève mais joyeuse ». Et surtout démocratique. Les Frères de la côte se réunissent à quinze ou vingt pour élire un capitaine qui peut être révoqué ou remplacé, et dont l’autorité cesse dès le retour du combat. Ces réprouvés ont aussi soif de justice. Le capitaine du bateau capturé est jugé sur le pont par son équipage. Si sa cruauté et ses abus sont avérés, il peut être fouetté ou même pendu.

  • Les « estropiés » ne sont pas oubliés. Ils perçoivent des indemnités d’accident du travail

S’il a bien traité ses hommes, il se voit libéré avec de l’argent et même des compliments ! La répartition du butin est réglée par des « chasses-parties » où il est spécifié que « celui qui ôtera le pavillon ennemi de la forteresse aura, outre sa part, 50 piastres ; les grenadiers auront, outre leur part, 5 piastres pour chaque grenade qu’ils jetteront dans un fort », etc. Le gouverneur qui a plus ou moins donné « commission » aux flibustiers perçoit 10 % du butin. Les « estropiés » ne sont pas oubliés. Ils perçoivent littéralement des indemnités d’accident du travail : « Celui qui aura perdu les deux jambes recevra 1 500 écus ou 15 esclaves, au choix de l’estropié ; celui qui aura perdu les deux bras, 1 800 piastres ou 18 esclaves, au choix de l’estropié. »

  • Le métier est extrêmement dangereux mais l'intrépidité des Frères de la côte est sans égale

L’image d’Epinal du capitaine Crochet n’est donc pas un mythe ! Le métier est extrêmement dangereux. Une partie du butin constitue un fonds commun réservé aux mutilés qu’il n’est pas rare de croiser à la Jamaïque ou sur l’île de la Tortue avec bandeau sur l’œil, jambe de bois ou crochet en guise de main. Le chirurgien Exmelin est bien placé pour témoigner à la fois de la férocité des flibustiers et de leur mépris pour leurs propres maux. Ainsi, dit-il, ce camarade venu lui demander de lui ôter la flèche qu’il vient de recevoir dans l’œil et qui, devant l’hésitation du médecin, se l’arrache lui-même… Leur intrépidité est sans égale. Au moment d’être rejoint par deux vaisseaux espagnols lancés à sa poursuite, avec chacun 60 canons, le capitaine Laurent De Graff (1653-1704) harangue ainsi ses hommes : « Vous êtes trop expérimentés pour ne pas connaître le péril que nous courons, et trop braves pour le craindre. Il faut ici tout ménager et tout hasarder, se défendre et attaquer en même temps. » Le capitaine et ses marins détruisent donc l’un des deux navires et échappent à l’autre, exploit qui retentit jusqu’en Europe.

  • Leur fraternité et leur liberté totale en font un mouvement précurseur de l’anarchisme

Ces « parias de toutes les nations », selon le gouverneur anglais de la Jamaïque, puisent leur audace dans leur indépendance même et dans une totale absence de complexes. Ils n’ont rien à perdre. La fraternité et la liberté totale dont font part les Frères de la côte en font un mouvement précurseur de l’anarchisme. Ces hommes refusent toute nationalité, ils déclarent à qui les questionne qu’ils viennent seulement « des mers ». L’un d’eux dit à Exmelin : « La région du monde où vit un homme ne signifie rien tant que cet homme vit bien. » Aussi le navire pirate est-il multinational, multiculturel, multiracial. Au tout début du XVIIIe siècle, l’équipage du pirate noir Sam Bellamy se compose de Britanniques, de Français, de Hollandais, d’Espagnols, de Suédois, d’Amérindiens, et d’anciens esclaves noirs. Si nombre de pirates ont contribué à la traite des esclaves, des centaines d’hommes d’origine africaine ont trouvé leur place dans l’ordre social de la flibuste. Ils constituent même un corps d’élite dans une armée si valeureuse qu’on se demande jusqu’où l’aurait conduite un vrai chef…

  • Les pirates rentrent dans le rang, plus rien ne sera comme avant

Celui-ci a bien existé – plutôt pour le malheur des flibustiers. Il est anglais et se nomme Henry Morgan (1635-1688), un Gallois renommé pour sa cruauté. On lui doit en 1670, après une série de triomphes, la formidable prise de Panama où transitent les galions espagnols chargés d’or du Pérou. L’amiral des boucaniers, comme on l’appelle, a mobilisé 37 navires, 2 200 hommes, tant anglais que français. Il a su arracher les flibustiers à leur individualisme, à leur habitude des coups expéditifs à visée modeste. Ce stratège hors pair l’est sans doute trop pour se satisfaire de sa condition. Il finit par voler le butin de ses hommes, s’incline devant la Couronne britannique et rejoint la Jamaïque pour en devenir le gouverneur adjoint – à l’écœurement de ses anciens camarades.

  • Au XVIIIe siècle, l’Angleterre déclare une guerre sans merci aux flibustiers

Les pirates rentrent dans le rang, plus rien ne sera comme avant. En 1697, la prise par les Français de Carthagène, sur la côte de l’actuelle Colombie, constitue la fin de l’âge d’or de la piraterie. Le siège et la prise de cette ville dirigée par la monarchie espagnole sont en effet réalisés par une flotte quasi officielle, partie du port de Brest, commandée par un officier du roi, le baron de Pointis. Il est appuyé sur place par onze vaisseaux de flibustiers qui se laissent encadrer, non sans rechigner, par ces « professionnels ». L’épisode marque le déclin des Frères de la côte. Le XVIIIe siècle ouvre une ère où les mercenaires n’ont plus le vent en poupe. Les Etats reprennent la main. La guerre de succession d’Espagne (1701-1713) porte sur le trône de ce pays Philippe V, un petit-fils de Louis XIV. Celui-ci interdit désormais les lointains coups de main contre la France. L’Angleterre, devenue la première nation esclavagiste du monde, déclare au même moment une guerre sans merci aux flibustiers dont les méfaits compromettent le commerce triangulaire, c’est-à-dire l’exportation d’esclaves de l’Afrique vers l’Amérique. Enfin, le monde entre dans une nouvelle ère, celle du sucre, une ère où les planteurs et leur commerce en plein essor s’accommodent mal des Frères de la côte et de leur dangereuse anarchie.

  • Les Mémoires d'Alexandre-Olivier Exmelin sont l'un des premiers récits modernes

Rentré en France (on ne sait ni quand ni où il est mort), Alexandre-Olivier Exmelin rédigea ses Mémoires, qui rencontrèrent un succès fulgurant. Il s’est contenté, dit-il, de « rapporter ce que j’ai vu de plus singulier, étant persuadé que dans un voyage, il ne s’agit pas d’en dire beaucoup, mais de dire vrai ». Il devint ainsi l’auteur d’un des premiers récits modernes, traduit en plusieurs langues, et qui irriguera pour toujours l’imaginaire maritime.
https://www.geo.fr/histoire/ile-de-la-tortue-freres-de-la-cote-la-veritable-histoire-des-pirates-des-caraibes-195004
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globule
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MessageSujet: Re: Pirates des Caraïbes   Pirates des Caraïbes Icon_minitimeMar 26 Mar - 8:12

Airin a écrit:
Et ceci, messeigneurs, en serez-vous fans aussi ?

Bien le topic. Pirates des Caraïbes 914132 On aurait pu carrément en faire un à part.

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