Promenade sur les traces de la Révolution

Louis XVI, railleur, dit à son cousin : " Vous ouvrez boutique ! "

Ce qui n'était pas censé être un compliment royal!  

...... que non !

Cette quatrième galerie de bois se trouvaient de quel coté ? C'est celle qui est ajourée aujourd'hui ?

Exactement!

C’était une galerie en bois, recouverte de vitrages, comportant trois rangées de boutiques et d’attractions foraines réparties le long de deux allées. Elle se trouvait à l’emplacement des deux rangées de colonnes qui séparent la cour du jardin.
Lieu particulièrement mal famé, que décrit Balzac dans ses "Illusions perdues", auquel on donna le nom de "Camp des Tartares".
En 1828, cette construction provisoire fut remplacée par la galerie d’Orléans, couverte de verrières, dont il ne reste aujourd’hui que les colonnes.

La galerie de bois.



La galerie d'Orléans.



Aujourd'hui!

olivia a écrit:

Nikko de Chissay a écrit:

Chère Olivia

Je vous cite : Idem pour le journal de Marat...

Vos deux guides vous ont-il dit que lorsque retentissait une petite cloche, celui-ci quittait le Procope, car l'édition de son journal était prête ?

Je l'ignorais. Cela ne m'étonne pas tant les lieux sont proches.  

Je pense qu'ils ont dû le faire, car on en avait parlé en compagnie de notre chef, lors de l'un de nos trajets
pour la cantine    

Pour mieux situer cette ancienne galerie.

C'était un lieu de circulation reliant le pavillon de Valois (1827) au pavillon de Montpensier (1830).
Cette galerie subit de nombreuses modifications. Elle n'est plus constituée désormais que de deux colonnades orientées est-ouest à la jonction du jardin et de la cour d'honneur. Les terrasses de ces colonnades relient désormais le Conseil Constitutionnel et le Ministère de la culture ...

Citation :

Météo France prévoit de la pluie dimanche !!!  

Impossible ! Les Dieux ne peuvent pas me faire ça !  

Merci pour les images de la galerie, cher Diphildor !

J'aime bien l'architecte Victor Louis, depuis que je suis allé à Bordeaux ...