Elizabeth II

Yes !   J'ai trouvé un récit de la mésaventure verstimentaire rapportée plus haut :

http://www.dailymail.co.uk/femail/article-2178246/In-blue-corner---fashion-face-Downing-Street-Samantha-Cameron-makes-royal-fashion-faux-pas-wearing-cornflower-colour-Queen.html

C'est assez délicat, comme truc... En fait, l'article explique que la femme de Cameron a commis un faux pas en apparaissant en bleu, comme la reine. Or, la reine ne communique pas à l'avance ses choix de tenues. Pas évident, donc, de s'adapter.  

Mais, c'est clair, Lilibeth n'a pas l'air d'apprécier.  



Le site de relater alors une mésaventure similaire qui survint lors de la première rencontre de Margaret Thatcher premier ministre avec la reine :

According to Windsor spies Margaret Thatcher once suffered a withering wardrobe put-down at the hands of Elizabeth II, or rather her office.
Having splashed out on a bespoke electric blue dress for one of her first meetings with the Queen after being elected as Prime Minister Thatcher was mortified to arrive and realise she was wearing almost a carbon copy of the Queen's outfit.
The next day she sent a handwritten letter to the Palace apologising and suggesting the two women colour co-ordinate in the future to avoid embarrassment.
The reply from Palace aides was swift, and cutting, reading simply: 'The Queen does not notice what anyone else is wearing.'

Elle portait en fait presque la même robe que sa nouvelle patronne et souveraine ! Enfer et stupéfection !   D'où Maggie se fendit du petit mot dont on parlait plus haut, pour appeler à une coordination future. Et la réponse des assistants du Palais, littéralement : "La reine ne remarque pas ce que porte quelqu'un d'autre".

C'est très drôle, mais l'article précise que l'anecdote est rapportée per des "espions de Windsor" et que la réponse vient des bureaux du Palais, non de la reine. Moi, je traduirai par "La reine ne fait pas attention à la tenue des autres".

C'est très drôle....... comment on peut conquérir les gens ou les décevoir par notre tenue

Queen Elizabeth II, fashion queen !



Do you want to learn more about her dressing ?
http://madame.lefigaro.fr/style/elizabeth-ii-veritable-fashion-queen-200416-113812

The queen nous la joue Marilyn



poupoupidou

new zealand fashion

LOL

Gros choc des cultures là

pimprenelle a écrit:

J'ai la plus grande admiration pour Elisabeth II, qui exerce sa fonction avec une conscience plus que professionnelle. Elle est à sa place, elle incarne à la fois la monarchie et l'esprit britannique. Elle est la Grande Bretagne à elle toute seule, et ce depuis si longtemps, car elle en porte aussi la mémoire. N'était-elle pas aux côtés de Churchill ?

Et que direz-vous de cela ??

Que ce bleu sied merveilleusement au teint de Sa Majesté !

Qu'Elizabeth The Second est europhile, pardi!

Je sais, on ne peut pas dire ça, Sa Majesté respecte un scrupuleux devoir de réserve, elle est strictement neutre.

Mais tout de même, elle a fait fort, dans le choix vestimentaire, non?!  



C'est pas que du bleu et jaune, pas même que des points jaunes sur fond bleu, c'est carrément des pépites qui gravitent en cercle dans un ciel bleu. De là à y voir le drapeau étoilé de l'Europe, il n'y a qu'un tout petit pas, nan?

... qu'il serait impossible de ne pas franchir quand on sait l'importance des symboles et la maîtrise qu'en a cette experte en politique et en diplomatie. La reine est ce qu'elle affiche, elle le sait. Donc, si elle arbore cette tenue précisément pour annoncer en public la très officielle déclaration de son gouvernement, devant les caméras du monde entier, ce n'est certainement pas un hasard.

Sans doute aussi faut-il y voir une réplique aux eurosceptiques qui l'avaient si maladroitement instrumentalisée. Une sorte de réponse du berger à la bergère, quoi.

Mais, perso, je pense bien qu'il y a plus, et qu'Elizabeth, artisan depuis si longtemps du rapprochement avec le continent, est sincèrement attachée à la construction dont elle a suivi, couvé même, le processus. Comment pourrait-il en être autrement?

https://maria-antonia.forumactif.com/t5571-elizabeth-ii-a-paris-vive-la-reine

La Reine Elizabeth II revient sur les circonstances pratiques de son couronnement.

La reine Elizabeth II décrit un "horrible" trajet en carrosse lors de son couronnement en 1953, se plaignant du confort du véhicule dans une rare apparition télévisée, selon des extraits d'un documentaire de la BBC diffusés lundi.

"Horrible! Ce sont juste des suspensions en cuir. Pas très confortable", déclare la reine à propos du Gold State Coach, un carrosse utilisé lors du couronnement de chaque monarque britannique depuis George IV en 1821.

Ce carrosse a été construit au XVIIIe siècle et a été utilisé par la reine lors de son couronnement ainsi qu'à d'autres occasions comme son jubilé d'or en 2002.



Dans le documentaire, Sa Majesté évoque aussi les joyaux de la Couronne utilisés lors de son couronnement, déclarant: "Il y a quelques inconvénients aux couronnes. Mais ce sont des objets très importants".

Le documentaire, intitulé "Le couronnement", s'intéresse à la journée du 2 juin 1953 lorsque la reine a été couronnée, à la suite de la mort de son père, le roi George VI, l'année précédente. Aujourd'hui âgée de 91 ans, Elizabeth II est la doyenne des chefs d'Etat en exercice, et la monarque britannique au plus long règne.

"J'ai assisté à un couronnement et ai moi-même été couronnée, ce qui est assez remarquable", dit la reine dans les extraits diffusés, ajoutant: "c'est en quelque sorte, je suppose, vraiment le début d'une vie en tant que souveraine".



Le documentaire utilise des images d'archives de cette journée historique, montrant les enfants de la reine, le prince Charles et la princesse Anne, quatre ans et deux ans à l'époque, jouant avec la robe royale. "Quel amusement pour les enfants!", commente le présentateur, ce à quoi la reine répond rapidement: "ce n'est pas ce qu'ils sont censés faire".
https://www.lorientlejour.com/article/1093148/elizabeth-ii-raconte-un-horrible-trajet-en-carrosse-lors-de-son-couronnement.html

Bien à vous

madame antoine

Top, cette photo !

Royal scandal



Le golden piano de la reine !

• On Christmas Day 2018, Britain’s queen Elizabeth II addressed her “subjects.” She did this from Buckingham Palace, one of six royal homes, and chose a festive room, one of 775 in the humble abode, which is currently being renovated at taxpayers’ expense. The room she chose, known as the “white drawing room,” happened to house a lavish gold piano.
  
  The ridiculous instrument caused an internet frenzy. Until Elizabeth gave her Dec. 25 speech, calling on Britons to be austere in the face of Brexit, it appears no one realized she was in fact a monarch, heading a family of royals who favor crazy hats and fascinators worn at ridiculously expensive events, and who cost Britain more than $96 million this year through the Sovereign Grant.
  
  To be fair, the queen is out of touch. Most monarchs are; that’s why so many nations abolished their monarchies ages ago, occasionally by offing a head. It’s worth remembering that the queen is also 92 years old. At least she didn’t suggest the people of England eat cake. (Or brioche—though some now doubt that Marie Antoinette made this famous statement, there’s no question that her expensive 18th century tastes infuriated the French and fueled a revolution).
  
  Some on Twitter defended the royal, pointing out that the piano technically belongs to all Britons because some of the riches she enjoys are only for royal use, i.e. public property that the monarchy borrows indefinitely. But this distinction, too, highlights the monarch’s audacity. Elizabeth is independently rich as hell and gets public assistance in the form of absurd instruments.
  
  The queen’s gold piano is no surprise. But it is proof positive that delighting in royal weddings and fawning over babies with titles is a ridiculous and dated pastime that should have been abolished with monarchy itself.

https://qz.com/1507843/of-course-britains-queen-elizabeth-has-a-gold-piano/

Tempest in a teapot ou vrai problème de société ?
en plus de leur brexit je veux dire

Non, ce n'est pas n'importe quoi.

The piano was built in London by the leading French piano-makers S&P Erard. Sébastien Erard (1752-1831) was a remarkable craftsman and technician. He built his first piano in 1777. He subsequently produced instruments for Louis XVI and Marie Antoinette, and for many of the great composers including Chopin and Liszt. Erard was also responsible for a host of important innovations in piano design—many of which are still utilised today.

In 1791 Erard had to move from Paris to London to escape the French Revolution. On this death, his nephew, Pierre, continued his pioneering work, and the company renamed S&P Erard, produced many of the finest pianos of the 19th century.


The 1856 S&P Erard Grand Piano in the Queen’s Gallery, Buckingham Palace. Photo: The Royal Collection

The 1856 gold piano was ordered by Queen Victoria to be placed in the State Rooms of Buckingham Palace. Both Queen Victoria and Prince Albert played the piano and they had instruments installed in all their private residences. (Details of another piano owned by Victoria can be found here). This, however, was the grandest and most elaborate piano in the collection.

The piano is constructed using gilded painted and varnished mahogany, satinwood and pine, with brass and gilt bronze mounts. Three incurving cabriole legs with intricate carvings support the case.

The instrument is decorated in an early eighteenth-century French style. It features comical depictions of monkeys and cherubs playing musical instruments. These paintings are by François Rochard a French miniature painter. He used polychrome colours to provide a visually powerful impression. Parts of the case are taken from an earlier instrument owned by Queen Victoria. She so liked the imagery that she wanted it transferred to her new piano.

The 1856 Erard grand piano has the serial number 3985 and is inscribed ERARD P. ERARD fecit and F. ROCHARD PINXIT. It measures 95.7 x 142.2 x 243.8 cm.

The piano was restored in 2009 prior to a major exhibition held in The Queen’s Gallery celebrating the lives of Victoria and Albert.

The piano now forms part of The Royal Collection, one of the largest and most important art collections in the world. It includes nearly a million objects some of which are owned by the Crown (in effect the State) and others by the Queen as an individual.

The fuss about its appearance in the background of The Queen’s Speech begs the question, “How much is it worth?” Similar Erard instruments from that period have sold for around USD 150,000 (GBP 120,000), but with this instrument’s decorations and its provenance, the figure would undoubtedly be many times that sum.
https://www.worldpianonews.com/

Franchement, moi ça ne me choque pas que la reine d'Angleterre fasse son discours devant un piano historique. C'est la grandeur de son pays et le souci de la culture.

pimprenelle a écrit:

Qu'Elizabeth The Second est europhile, pardi!

Je sais, on ne peut pas dire ça, Sa Majesté respecte un scrupuleux devoir de réserve, elle est strictement neutre.

Mais tout de même, elle a fait fort, dans le choix vestimentaire, non?!  



C'est pas que du bleu et jaune, pas même que des points jaunes sur fond bleu, c'est carrément des pépites qui gravitent en cercle dans un ciel bleu. De là à y voir le drapeau étoilé de l'Europe, il n'y a qu'un tout petit pas, nan?

... qu'il serait impossible de ne pas franchir quand on sait l'importance des symboles et la maîtrise qu'en a cette experte en politique et en diplomatie. La reine est ce qu'elle affiche, elle le sait. Donc, si elle arbore cette tenue précisément pour annoncer en public la très officielle déclaration de son gouvernement, devant les caméras du monde entier, ce n'est certainement pas un hasard.

Sans doute aussi faut-il y voir une réplique aux eurosceptiques qui l'avaient si maladroitement instrumentalisée. Une sorte de réponse du berger à la bergère, quoi.

Mais, perso, je pense bien qu'il y a plus, et qu'Elizabeth, artisan depuis si longtemps du rapprochement avec le continent, est sincèrement attachée à la construction dont elle a suivi, couvé même, le processus. Comment pourrait-il en être autrement?  

https://maria-antonia.forumactif.com/t5571-elizabeth-ii-a-paris-vive-la-reine

Consommera-t-on le brexit ? Quoi qu'il en soit -

L'Angleterre et la France unies pour le meilleur ou pour le pire

Les deux pays, malgré leurs nombreux conflits et différences, ont une histoire commune que le feuilleton du Brexit ne pourra pas altérer.

Par Arthur Chevallier



Theresa May est devenue le Monsieur Loyal du Britannia Circus où, malheureusement, les clowns jouent tous les numéros. En refusant pour la énième fois le traité de retrait de l'Union européenne, les représentants de la Chambre des communes se livrent à des pitreries d'autant plus regrettables qu'elles sont le fait d'un pays célèbre pour son légalisme, sa retenue et sa dignité. L'Angleterre n'avait-elle pas fait sienne la maxime de la reine Victoria : « Never complain, never explain » ? Londres est, depuis trois ans, l'idiote du village européen ; mais c'est aussi la capitale d'une nation avec laquelle nous partageons le privilège de l'ancienneté. L'Angleterre et la France sont les premiers pays à avoir entrepris, dès la Renaissance, une unité administrative et politique pour se constituer en État. En comparaison, l'Italie, l'Allemagne ou encore l'Espagne ressemblent, aujourd'hui encore, à des champs de foire régionalistes. Douairières du Vieux Continent, la France et l'Angleterre partagent une histoire où le fracas de guerres entreprises au nom des nations dissimule, en fait, une amitié entre des individus. Dans son Londres, Paul Morand résumait l'affaire en une sentence : « La mère de Guillaume le Conquérant est la fille d'un tanneur de Falaise. » Et cela, Brexit or not.

Dès la fin du Moyen Âge, la dynastie des Plantagenêts combat les Capétiens pendant la guerre de Cent Ans. Par un jeu de traité, le roi Henri V (Angleterre) devait succéder au roi Charles VI (France) et ainsi rassembler les deux couronnes. Il meurt trop tôt pour réaliser son dessein, mais son fils est proclamé à l'âge d'un an « roi de France et d'Angleterre ». Ce qu'il aurait pu devenir si Charles VII (France), aidé par Jeanne d'Arc, n'avait pas chassé l'ennemi venu d'Albion. Cette histoire commune est rappelée par Bernard Cottret dans son dernier livre consacré aux Tudors – Les Tudors – et publié aux éditions Perrin. Comme est impressionnante la souplesse avec laquelle l'historien navigue entre les historiographies ; comme est agréable ce ton d'aimable promeneur ; comme est confortable ce voyage dans le décor des pièces de Christopher Marlowe et de William Shakespeare.

• Je t'aime... moi non plus

De 1485 à 1603, les souverains Tudors intriguent, résistent et assouvissent leur vraie passion : le meurtre. Opposants, intrigants, contradicteurs et détracteurs sont exécutés. Entre deux timbales de sang, les Tudors prennent le temps de combattre, d'épouser ou d'envahir la France. Henri VII, fondateur de la dynastie, a grandi en Bretagne et n'est autre que l'arrière-petit-fils d'un roi de France. Sa fille, Marie-Rose, épouse en première noce un autre roi de France, Louis XII ; son, fils Henri VIII, le fameux « barbe bleue », n'aura de cesse de convoiter le royaume de François Ier, avec qui il organise, en 1520, une des rencontres diplomatiques parmi les plus mémorables, celle du camp du Drap d'or, dans la région de Calais. Henri et François adorent, protègent et favorisent la littérature, les arts, les humanités ; ils veulent tout : les femmes, la guerre et la beauté. La Renaissance, c'est eux. Cette élégance, ce panache et cette profusion, qui caractérisent encore la France et l'Angleterre, s'opposent à l'austérité calculatrice d'un prince Habsbourg, Charles Quint, qui deviendra empereur du Saint-Empire en 1519. Plus tard, d'autres conflits surviennent, comme la guerre de Sept Ans ou les guerres de la Révolution, prolongées par les campagnes napoléoniennes. Si l'Angleterre ne laisse passer aucune occasion de nuire à la France, elle ne rate pas non plus une occasion d'accueillir ses princes déchus. Pendant les années 1790 et 1800, les aristocrates émigrés, y compris les frères de Louis XVI, sont accueillis en Grande-Bretagne. Quant à Louis-Philippe et Napoléon III, ils y passèrent une partie de leur jeunesse, s'y réfugièrent après leur abdication pour, enfin, y mourir. Quoi d'étonnant à ce que Winston Churchill propose, pour sauver la France de la débâcle en 1940, de réunir les deux pays sous l'autorité d'un seul gouvernement afin d'affronter l'Allemagne ?

Le Brexit est une décision tapageuse dont les idéologues, de toutes sortes, profitent pour asséner leurs théories : le peuple, l'élite, Bruxelles, etc. Les conséquences, aussi graves soient-elles, seront d'ordre économique ; et l'économie n'est rien d'autre qu'une épicerie d'ampleur. Le commerce ne déroge pas aux droits conférés par une relation de plusieurs siècles.
https://www.lepoint.fr/

Les animaux et la reine

Cavalière assidue et passionnée, Élisabeth II retrouve dès qu’elle le peut ses chevaux, des pur-sang de haut niveau qu’elle prépare aux meetings hippiques les plus prestigieux, comme celui de Royal Ascot. Pendant dix-huit années consécutives, elle monte sa jument noire Burmese, offerte en 1969 par la Gendarmerie royale du Canada, lors de la parade militaire du Trooping the Colour –son anniversaire officiel. Mais c’est surtout au calme, et en privé, qu’elle aime se retrouver seule avec ses bêtes. Comme du temps de son enfance et de sa grande amitié avec Peggy, son premier poney (un Shetland), offert par son grand-père, le roi George V, et avec qui elle a grandi.


La jeune Élisabeth à cheval, au Royal Ascot de 1961.
Bentley Archive/Popperfoto via Getty Images/Getty Images


Mais ce sont, bien sûr, les corgis d’Élisabeth II qui jouissent d’une popularité planétaire, forts de leurs petites pattes et de leurs grandes oreilles. Une histoire d’amour fusionnelle qui remonte à 1933, lorsque les parents de Lilibet adoptent Dookie, le premier corgi de la future souveraine.

Pour son dix-huitième anniversaire, celle-ci reçoit en cadeau Susan, une femelle qui la suivra pendant sa lune de miel avec le prince Philip. Inséparables de son règne, les corgis –plus de trente sur quatorze générations, tous descendants de Susan– dorment dans une pièce voisine de la chambre de leur maîtresse au palais de Buckingham et, lorsqu’elle travaille, lui tiennent fidèle compagnie dans la solitude du pouvoir.


Les corgis d’Élisabeth II jouissent d’une popularité mondiale.
Ici, la reine à Balmoral en 1971. Lichfield Archive via Getty Images


En 2012, quatre d’entre eux –Monty, Cider, Candy et Vulcain– sont les vedettes surprises d’un clip tourné au palais à l’occasion des J.O. de Londres. Trois ans plus tard, la presse rapporte que sa Majesté n’élève plus de nouveaux corgis, ne souhaitant pas que ces derniers restent sans elle après sa mort. "Ils sont ma famille", a-t-elle dit un jour. Peut-être étaient-ils les seuls à ne pas voir en elle une souveraine. Juste une personne comme les autres, infinie source d’amour et de caresses…


D'autres têtes couronnées et d'autres histoires d'amour à quatre pattes : https://www.pointdevue.fr/familles-royales/couronnes-du-monde/les-animaux-de-compagnie-des-rois-des-amis-fideles_15078.html

Scoop ! La prof de français de la reine Elizabeth c'est Marie-Antoinette.



C'est pas elle à gauche, c'est Margaret.

Elle s’appelait Marie Antoinette, mais n’était ni française et encore moins reine de France. En revanche, c’est elle qui a permis à la reine Élisabeth II de maitriser la langue de Molière, que la souveraine britannique parle parfaitement. Marie Antoinette de Bellaigue est une aristocrate belge au destin romanesque, et l’une des jolies découvertes du livre que le journaliste Marc Roche consacre chez Albin Michel à la reine la plus célèbre du monde.



« On sait très peu de choses sur Madame de Bellaigue », confie celui qui fut, des années durant, le correspondant du journal Le Monde à Londres. « Il n’y a que deux, trois lignes qui apparaissent dans l’une des premières biographies consacrées à la reine, c’est tout ».

« C’est très certainement la Reine Mary, grand-mère de la Reine actuelle, qui a convaincu la Reine Élisabeth que ses deux filles avaient besoin d’une éducation plus poussée, et qui n’avait été jusque-là qu’assez sommaire. N’oubliez pas que la reine Élisabeth, la future Queen Mum, était francophile, francophone… Plus tard, elle adorera De Gaulle ! », explique Marc Roche, qui a eu l’occasion, une fois, d’échanger en français avec la Reine Mère.

Si le mystère reste entier, Marc Roche insiste sur ce job pas comme les autres : « elle devait non seulement enseigner aux deux petites princesses, mais aussi faire la conversation en français avec la reine, à la fin de la journée : c’était un plein temps ! ». Un plein temps qui marquera l’histoire de la future souveraine : « Nommer son fils conservateur des collections royales est une grande marque de confiance. » Et si madame de Bellaigue continuera d’enseigner à temps partiel dans l’après-guerre, accompagnant la jeune Élisabeth lors de sa visite officielle en France en 1948, elle sait aussi que son avenir n’est pas chez les Windsor. Et pourtant : divorcée en 1955, remariée à deux reprises, elle reviendra s’installer à Londres, où son ancienne élève désormais reine lui témoignera de son attention.

source https://www.vanityfair.fr/savoir-vivre/story/madame-de-bellaigue-la-professeure-de-francais-oubliee-de-la-reine-elisabeth-ii/12503
(tention, y a des phôtes d'ortografe ). J'ai corrigé pour le forum. Non non pas de merci, c'est tout naturel.

Nous apprenons dans Un mot, un destin – Dans l'intimité des femmes célèbres, de Clémentine Portier-Kaltenbach que la reine Elizabeth a bénéficié de deux permissions undercover (incognito). C'était à la libération de 1945 et la jeune princesse de 19 ans a pu se mêler à la liesse populaire. Ces escapades comptent paraît-il parmi ses meilleurs souvenirs.

Je découvre ( un peu, je l'avais déjà survolé) ce fil.....

Durant toute une partie de ma vie, je n'ai pas été folle folle d'Elisabeth II ..... et puis, ces derniers temps, j'avoue m'attacher à elle = devant la situation à laquelle elle est confrontée ( conflits familiaux, Brexit, pandémie jusqu'à ces derniers rebondissements, mutation du virus et re-confinement très dur, associé aux incertitudes des vaccins,) je trouve que vraiment pour une femme de son âge, elle est exceptionnelle !
Bon, bien sûr, elle est aidée, entourée, conseillée.... mais quand même !!!

RESPECT !!!!!

La nouvelle ( si on peut dire) vient de tomber = toutes les garden parties royales sont annulées pour l'année 2021......

Voilà ! inutile de brosser frénétiquement la ravissante capeline d'organdi achetée à grands frais pour le mariage de votre nièce Camomille de Pressensé avec son fiancé Aldebert Bourdon - Précé..... vous.ne.la.porterez.pas. invitée à une garden party royale en 2021 ( en dépit du Brexit ! ) c'est ainsi.....

En 2022, on verra.....

La réaction de sa très gracieuse Majesté a fait le buzz.....





HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE.......

Oh c'est vraiment elle ?

Non, non, cher Colibri ! rassurez-vous, c'est une comédienne ( confondante de naturel !) et il s'agit d'une publicité qui tentait de vanter les compétences en visio -conférence ( je crois ?? crois sans plus me souvenir) de sa très gracieuse Majesté;
Evidemment, la vidéo a scandalisé tout le monde et leurs auteurs ont du présenter des excuses !
L'on ne sait pas ce qu'en ont pensé les membres de la Royal Family......

On peut cependant se souvenir des exploits en hélicoptère de la VRAIE reine en compagnie de James Bond ( Daniel Craig) ! et la Reine avait accepté de bon coeur ! alors ?





Sacrée Lilibeth.... !!!

Quoi c'est la VRAIE reine dans James Bond

Ah, oui, oui ! tout à fait ! et cela a été très très apprécié ! il faut dire que c'était pour les Jeux Olympiques de 2012 !!! DONC un devoir DE REPRESENTATION ! et puis on ne voit rien d'inconvenant, et c'est plein d'humour !


ah, les Anglais !