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 02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France

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yann sinclair

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MessageSujet: 02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France   02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France Icon_minitimeLun 2 Sep - 12:26

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02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France Regent10

Le régent Philippe d'Orléans, par Jean-Baptiste Santerre, en 1717


02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France Signat10


Philippe d’Orléans



Maison d'Orléans


né le 2 août 1674 au château de Saint-Cloud
mort le 2 décembre 1723 au château de Versailles à l'âge de 49 ans

Inhumé dans la Nécropole de Saint-Denis

Petit-fils de Louis XIII

duc de Chartres
Duc d'Orléans (1701)
Duc de Valois
Duc de Nemours
Duc de Montpensier


Régent du Royaume de France
1er septembre 1715 - 15 février 1723
(7 ans, 5 mois et 14 jours)


Petit-fils de Louis XIII et fils de Philippe d'Orléans, duc d’Orléans, dit Monsieur,
 

La période de son gouvernement, qui dure de 1715 à 1723, est appelée la Régence




02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France 40337117




Le lendemain de la mort de Louis XIV, le 02 septembre 1715, conformément à l’usage, la lecture du testament royal est effectuée lors d'une séance solennelle au parlement de Paris, rassemblant toutes les cours souveraines, les princes du sang et les ducs et pairs, qui doit proclamer la régence.




Dans son testament, Louis XIV tente de limiter les pouvoirs du duc d’Orléans, et indique alors la composition du conseil de régence, véritable conseil de gouvernement.




Il confie ainsi au duc du Maine, un de ses bâtards légitimés, la garde et la tutelle du jeune Louis XV en le nommant régent du royaume, disposant également de la Maison militaire.




Philippe d'Orléans, adulte de la famille royale le plus proche du roi, qui dispose alors de la charge, purement honorifique, de « président du conseil de régence », s’efforce, et obtient, de faire casser un testament qui le prive de prérogatives qu’il juge dues à sa naissance.

(Jules Flammermont, « Procès-verbal de la séance tenue pour la régence, Remontrances du Parlement de Paris au XVIIIe siècle », sur http://flora.univ-cezanne.fr/, Bibliothèque de l’université Aix-Marseille III (consulté le 13 octobre 2008))




Le Parlement le reconnaît donc comme seul régent, ce qui lui permet de réorganiser le Conseil à son gré et d’évincer le duc du Maine, bientôt exclu de la succession au trône que son père lui avait accordée.




Toutefois, le Régent doit, pour rallier le Parlement de Paris à sa cause, lui restituer le droit de remontrance supprimé par Louis XIV, ce qui ne sera pas sans conséquence au XVIIIe siècle.




 le Parlement de Paris déclare Philippe d'Orléans Régent

Le testament royal a été rédigé le 02 aout et complété par deux codicilles le 23 avril et le 23 aout 1715.


Les lois fondamentales du Royaume désignent Philippe d'Orléans comme Régent.


Le problème est que les mœurs du neveu du Roi-Soleil sont scandaleuses.


Ses orgies et fêtes scabreuses ont fait de lui un personnage qui sent le soufre.

Pour respecter les lois fondamentales du Royaume, tout en contrôlant les actes politiques de son neveu, le Roi trouve une solution originale.







Le Roi n'écarte pas Philippe d'Orléans, mais le nomme chef du conseil de Régence; il en nomme par écrit tous les membres et le Régent doit suivre la majorité sur les décisions prises.


Le fils légitimé du Roi, le Duc du Maine est le chef des armées.







Philippe d'Orléans prépare sa riposte le jour même de la mort du Roi en convoquant le Parlement et les Pairs de France, avec qui, il a d'avance négocié le titre de Régent.


Le Parlement de Paris annule donc le testament de Louis XIV et attribue la régence à l'oncle du jeune Louis XV, le duc Philippe d'Orléans, fils de Monsieur et de La Palatine.


En échange le Parlement obtient un accroissement de certains de ses droits…






Les jeunes années








Petit-fils de France, Philippe d'Orléans est le fils de Philippe, précédent duc d'Orléans (dit Monsieur, frère unique du Roi) et de sa seconde épouse la Princesse Palatine Élisabeth-Charlotte de Bavière, et le neveu du roi Louis XIV.
Ses deux sœurs aînées ne joueront pas un grand rôle dans sa vie : Marie-Louise épouse dès 1679 Charles II, roi d'Espagne, et meurt en 1689, Anne-Marie d'Orléans épouse en 1684 Victor-Amédée II, duc de Savoie. Sa cadette de deux ans Élisabeth-Charlotte attendra jusqu'en 1698 pour épouser Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar.
Philippe d’Orléans est d'abord titré duc de Chartres. Il reçoit une éducation soignée, principalement tournée vers la fonction militaire et diplomatique, comme il sied à un petit-fils de France. Il s'intéresse particulièrement à l'histoire, la géographie, la philosophie et aux sciences. Contrairement à son oncle et à son père, il monte mal, se montre mauvais danseur et n’aime pas la chasse. En revanche, il a la prodigieuse mémoire de son oncle : très tôt, il connaît sur le bout des doigts les mémoires et généalogies des grandes familles de la cour. Il a aussi une grande capacité de travail et de l'intelligence.


Le mariage










Néanmoins, tout à sa volonté d’abaisser les grands du royaume, Louis XIV donna pour époux à Françoise-Marie, le 18 février 1692 (Archives des Yvelines, registres paroissiaux de Versailles (1080399 - BMS 1691-1692, page 125)), son neveu Philippe d’Orléans, duc de Chartres, futur Régent.

Il lui attribua une dot énorme de deux millions de livres, qui ne suffit pas à vaincre les préventions des Orléans, et particulièrement de la princesse palatine, scandalisée par cette mésalliance.

Ce mariage arrangé, non désiré, ne fut guère heureux.

Parlant de son futur époux, la jeune fille de 14 ans, disait avec cynisme: « Peu m'importe qu’il m'aime, pourvu qu'il m’épouse ! » quant au promis, il surnomma bientôt sa femme Madame Lucifer.

Philippe, devenu duc d'Orléans en 1701 à la mort de son père,

Ils eurent cependant huit enfants mais un seul fils :

02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France 300px-11
Françoise Marie de Bourbon

02 septembre 1715: Philippe d'Orléans devient Régent de France Signat12



  1. N... d’Orléans, Mademoiselle de Valois (17 décembre 1693 – 17 octobre 1694)

  2. Marie-Louise-Élisabeth d'Orléans (20 août 1695 – 21 juillet 1719), surnommée « Joufflotte » épouse (1710) Charles, duc de Berry

  3. Louise Adélaïde d’Orléans (13 août 1698 – 10 février 1743), Mademoiselle d’Orléans, abbesse de Chelles en 1719

  4. Charlotte Aglaé d’Orléans (20 octobre 1700 – 19 janvier 1761), Mademoiselle de Valois, épouse (1720) François Marie d’Este-Modène, duc de Modène

  5. Louis Ier d’Orléans, duc de Chartres, puis duc d’Orléans (1723), surnommé « le Pieux » (4 août 1703 – 4 février 1752)

  6. Louise Élisabeth d’Orléans (11 décembre 1709 – 16 juin 1742), Mademoiselle de Montpensier, épouse (1723) Louis Ier, roi d’Espagne

  7. Philippine Élisabeth Charlotte d’Orléans (18 décembre 1714 – 21 mai 1734), Mademoiselle de Beaujolais

  8. Louise Diane d’Orléans (27 juin 1716 – 26 septembre 1736), Mademoiselle de Chartres, épouse (1732) Louis François de Bourbon-Conti, prince de Conti.



Certes, Philippe trompait son épouse, mais celle-ci, imbue de sa naissance « royale » ne s’en souciait pas plus que de ses enfants.

Elle cherchait à compenser le « vice » de sa naissance en traitant son entourage avec hauteur y compris sa jeune belle-sœur Élisabeth-Charlotte, future duchesse de Lorraine qu’elle voulait traiter « en servante »

Il eut également plusieurs enfants naturels dont:


  • Charles de Saint-Albin (1698-1764), né de Florence Pellerin, qui fut évêque-duc de Laon (1721) puis archevêque-duc de Cambrai (1723)

  • Jean-Philippe d'Orléans (1702-1748), né de Marie-Louise Le Bel de La Boissière de Séry, dite la comtesse d’Argenton, qui fut légitimé en 1706 et fut Grand-Prieur de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem en France (dit « le chevalier d’Orléans » ou « le Grand-Prieur d’Orléans »)

  • Angélique de Froissy (1702-1785), née de Charlotte Desmares (1682-1753), qui fut légitimée en 1722 et épousa le comte de Ségur.



Avec la naissance des trois fils du Grand Dauphin, fils aîné de Louis XIV — le duc de Bourgogne en 1682, le duc d'Anjou en 1683, le duc de Berry en 1686 —, le duc de Chartres se retrouve sixième dans la ligne de succession au trône, ce qui ne lui laisse que bien peu d’espérances de régner et ne le place pas dans la meilleure situation pour faire un mariage avantageux.




De plus, la France est en guerre avec la presque totalité de l’Europe, ce qui rend impossible un mariage étranger.

Aussi, dès 1688, Louis XIV fait allusion à Mademoiselle de Blois, bâtarde légitimée.




Ce mariage parachèverait la politique d’abaissement des branches cadettes de la maison de Bourbon voulue par le Roi Soleil, mais Monsieur et sa femme, la Princesse Palatine, jugent une telle union tout simplement scandaleuse, indigne et pour tout dire inimaginable.

Le duc de Chartres est plus hésitant, d’autant que l’idée est soutenue par son précepteur, l'abbé Dubois.




Au début de 1692, Louis XIV convoque son neveu et lui déclare qu’il ne peut mieux lui témoigner son affection qu’en lui donnant en mariage sa propre fille Françoise-Marie de Bourbon, ce à quoi le jeune homme ne sait répondre qu’en balbutiant un remerciement embarrassé.




La Palatine, apprenant l’issue de l’entrevue, jette les hauts cris mais ne peut affronter le roi, d’autant qu’elle sait ne pouvoir compter sur le soutien de son mari (qui ne se révolta que peu de temps avant sa mort, lançant à son frère que: « Sans tirer aucun profit de ce mariage, Chartres n’en gardera que la honte et le déshonneur »)




Elle borne l’expression de son mécontentement à tourner le dos au Roi après qu'il lui ait fait une profonde révérence; mais ensuite, comme seul le prétend le duc de Saint-Simon, elle donne à son fils une énorme gifle devant toute la Cour.




Le mariage n’en a pas moins lieu, le 18 février 16922.






Le militaire










L'année précédente, Chartres avait commencé la carrière des armes aux Pays-Bas, aux côtés de Louis XIV.




Très vite, il s’avère un bon officier, aimé de ses soldats, enchaînant les campagnes.




En 1693, il se distingue par une brillante conduite à Mons, à Steinkerque et à la bataille de Neerwinden.




Il se montre également très critique vis-à-vis de la stratégie de l’armée de Flandre.




Ses quelques initiatives, de portée certes modeste, s’avèrent en revanche des succès.




À la cour, les comparaisons fusent avec le Grand Condé, ce qui lui attire la jalousie des autres princes du sang.




Désireux de calmer le jeu, Louis XIV rappelle tous les princes en 1697.




Le duc de Chartres vit cette décision comme un camouflet personnel: on ne lui accorde aucun grand gouvernement, à la différence des bâtards, et on le prive de grand commandement.




Il sait que son oncle désapprouve sa conduite : depuis l’adolescence, il fréquente les milieux libertins et mène une vie dissolue, ce que réprouve le strict duc de Saint-Simon, son ami d’enfance, qui reste pourtant à ses côtés lors de cette période de disgrâce.




Il reçoit, à la mort de son père en 1701, le titre de duc d’Orléans.




Rappelé à l’armée lors des campagnes difficiles de la guerre de Succession d'Espagne, il prouve sa bravoure à Turin en 1706.




En mars 1707, il est nommé pour commander les armées françaises en Espagne.




Il accepte assez mal que le duc de Berwick ait précipité la bataille pour remporter un jour avant son arrivée, donc sans lui, une victoire3.




Philippe d’Orléans marche sur Saragosse qu’il prend, et fait de même avec Lérida.




Il rentre à Versailles et revient en Espagne en février 1708 pour entamer le siège de Tortosa (en), entreprise vouée à l’échec selon les jaloux Prince de Condé et Prince de Conti.




Le 11 juillet Tortosa capitule4. Condé et Conti envoient le marquis de Dangeau complimenter Madame, la mère de Philippe d’Orléans, persuadés que la nouvelle était fausse.




Ils en sont pour leurs frais et doivent constater la victoire de leur rival dans les faveurs du roi5.




Mais, l’ambition du duc d’Orléans le fait participer à des réunions où l’on évoque ce qui pourrait advenir, si le roi Philippe V d'Espagne venait à quitter son trône.




Un personnage agissant en son nom se fait repérer et la princesse des Ursins, intriguant contre la France de façon maladroite, réussit à convaincre la couronne d’Espagne qu’Orléans voulait le renverser6.




Ce dernier rentre en France et paraît à Versailles comme si de rien n’était.




Louis XIV, avant de mourir, certifiera qu’une enquête avait été menée et que rien ne justifiait les soupçons de la cour d'Espagne.




Son ambition mal déguisée et son goût pour la chimie le font soupçonner d’avoir contribué aux morts du dauphin et de sa famille7.




Louis XIV lui témoigne froideur et défiance et lui impose, par son testament secret, la présence des légitimés dans le Conseil de régence.




Ce testament sera cassé, de façon curieuse, par le Parlement.




Ces soupçons d'empoisonnement semblent d'autant moins justifiés que pour accéder à la couronne de France, Philippe d'Orléans aurait dû assassiner le nouveau dauphin et futur Louis XV, mais également Philippe V d'Espagne, qui venaient avant lui dans l'ordre de succession.




En fait, la famille avait succombé à une maladie virale (les morts sont espacées de moins d'un mois, ce qui serait peu habile et peu discret pour un empoisonnement). Ces rumeurs furent sans doute semées par les princes jaloux.


Le Régent








https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gence_(1715-1723)




À la mort de Louis XIV, le duc d’Orléans, adulte de la famille royale le plus proche du roi, devient le régent du royaume.


Louis XIV tente de limiter ses pouvoirs dans son testament, lequel indique la composition du conseil de régence, véritable conseil de gouvernement, et laisse au duc du Maine, l’un de ses enfants hors mariage, l’éducation du jeune Louis XV.


Philippe fait casser le testament par le Parlement3 qui le reconnaît comme seul régent, ce qui lui permet de réorganiser le Conseil à son gré et d’évincer le duc du Maine, bientôt exclu de la succession au trône que son père lui avait accordée.


Toutefois, le Régent doit, pour rallier le Parlement de Paris à sa cause, lui restituer le droit de remontrance supprimé par Louis XIV, ce qui n'est pas sans conséquence au XVIIIe siècle.

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Conseil du Régent au Palais-Royal

À droite, le cardinal de Fleury








Il tente de séduire les Français par une politique nouvelle: la paix est rétablie.




Il soutient les jansénistes, abandonne la cause des Stuarts, tente de rétablir les finances et l’économie avec les audaces de Law.




En entamant sa régence, il adresse, le 4 octobre 1715, une « Lettre à Mrs les intendans commissaires départis dans les provinces », dans laquelle il déclare que sa préoccupation majeure est le poids excessif des différentes taxes et annonce son intention d’établir un système d’imposition plus juste et plus égalitaire.




Sur le plan de l’organisation du gouvernement, le Régent entame la politique de polysynodie, sans doute sous l'influence de son ami Saint-Simon: le remplacement des ministres par des conseils rassemblant des grands seigneurs et des techniciens.




En 1718, le Régent renonce à la polysynodie et reprend le type de gouvernement en vigueur sous Louis XIV.




Il opère aussi un changement dans sa politique religieuse.




Après avoir soutenu le cardinal de Noailles et les ecclésiastiques opposants à la bulle Unigenitus, il constate avec déception l'inefficacité de sa loi du silence visant à réduire la fracture du clergé de France.




Avec le soutien des cardinaux Bissy et Rohan, il s'engage dans la voie de l'accommodement et la rédaction d'un corps de doctrine, sorte de synthèse des vues gallicanes sur la querelle janséniste, signé en 1720.




Le régent est particulièrement satisfait de sa politique et déclare avec son humour habituel: « J'ai bridé mes ânes !9 »




Sur les autres aspects de la politique, il s’impose aux parlements et aux légitimés (septembre 1718), prend les armes contre l’Espagne dans une alliance avec Londres et Vienne (janvier 1719)




La personnalité de l’abbé Dubois, son ancien précepteur, devenu archevêque, cardinal et ministre, s’impose de plus en plus auprès de Philippe, le fonctionnement de la polysynodie devenant de plus en plus difficile.




Le Régent réside au Palais-Royal qui devient, de 1715 à 1723, le cœur de la vie politique et artistique, supplantant Versailles.




Sur le plan personnel, Philippe d'Orléans n'a rien changé à sa vie frivole. Le Palais-Royal est le théâtre de ses abandons à la débauche en compagnie de ses « roués » (méritant le supplice de la roue), « fanfarons d’incrédulité et de crimes »; les petits soupers y tournent parfois à l’orgie10




Les chansons satiriques de l'époque lui prêtent une relation incestueuse avec sa fille aînée, Marie-Louise-Élisabeth d'Orléans qui, après la mort de son mari, accumule les amants et scandalise la cour tant par sa soif d'honneurs et de gloire que par ses coucheries et ses grossesses illégitimes11.




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Philippe II d’Orléans et Louis XV


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