Le Boudoir de Marie-Antoinette

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 Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne

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de Neubourg

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MessageSujet: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeMar 18 Jan - 9:10

Y assister absolument Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne 27992

  • Artcurial nous plonge au coeur du XVIIIe siècle, avec la mise aux enchères de 100 portraits d'époque, patiemment rassemblés par un minutieux collectionneur. Toute la splendeur des Lumières y est réunie, la cour de Versailles occupant une place d'honneur. Louis XV, Louis XVI, la reine Marie-Antoinette (peinte par Elisabeth Louise Vigée-Le Brun), voisinent avec les maîtresses officielles comme la comtesse du Barry, par François-Hubert Drouais, mais aussi des prélats ou encore de simples paysans. Les moult détails de ces oeuvres constituent une somme quasi documentaire et proposent un panorama fidèle de ce qu'était la société, au moment où l'Ancien Régime vivait ses dernières heures. Quand l'art mondain du portrait vous invite au voyage ! Artcurial (Paris VIIIe), le 15 février.


Exposition

11 février, de 11h à 19h
12 février, de 11h à 18h
13 février, de 14h à 18h
14 février, de 11h à 19h



https://www.artcurial.com/fr/vente-4208-cent-portraits-pour-un-siecle
https://votreargent.lexpress.fr/
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herodias

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MessageSujet: Re: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeMar 18 Jan - 9:17

Merci je cherchais des informations sur cette vente exceptionnelle Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne 49856 Wink
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Deferre

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MessageSujet: Re: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeMar 18 Jan - 9:28

La gazette Drouot parle de cette collection :


  • La marche du musée au marché

    Le 13 janvier 2022, par Vincent Noce

    La légitimité, si elle fait défaut, peut toujours se construire. C’est ainsi qu’a procédé le propriétaire d’une collection de portraits qu’Artcurial s’apprête à disperser en février. Cet amateur a pris pour coutume d’acheter à prix modique des portraits anonymes de l’Ancien Régime dans des ventes courantes, à Drouot notamment,…

    Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne 9333010

    "L’exemple le plus parlant de cet exercice d’équilibre est le portrait de Marie-Antoinette (reproduit ici) donné à Élisabeth Vigée Le Brun."
    © Artcurial


La légitimité, si elle fait défaut, peut toujours se construire. C’est ainsi qu’a procédé le propriétaire d’une collection de portraits qu’Artcurial s’apprête à disperser en février. Cet amateur a pris pour coutume d’acheter à prix modique des portraits anonymes de l’Ancien Régime dans des ventes courantes, à Drouot notamment, et de tenter avec plus ou moins de succès d’en retrouver les auteurs et les personnages. Ce passe-temps est longtemps resté privé. Il est sorti de l’ombre il y a deux ans, quand ce collectionneur, qui s’appelle Jean-Jacques Petit, a exposé au musée Lambinet de Versailles cent de ces échantillons en proposant de nouvelles attributions, sous l’autorité du directeur du département des Arts graphiques au Louvre, Xavier Salmon. Nous nous étions alors étonné auprès de ce conservateur de la valorisation prêtée à une collection privée, d’autant qu’elle a été formée par celui qui fut longtemps un ami intime. Il a reconnu en toute sincérité un compagnonnage de trente ans, initié par leur passion commune pour cet art. «Ces œuvres n’ont certes pas le brillant de celles des maîtres les plus célèbres, mais il ne me semble pas pour autant qu’il faille les négliger», nous faisait-il observer, en estimant que son catalogue «permettait souvent pour la première fois d’apporter des éléments sur leur carrière et leur clientèle.» Dans ce catalogue, Xavier Salmon est pratiquement le seul à fixer les attributions, sur la foi de considérations générales sur les peintres ou leur modèle supposé. L’exposition a été suivie d’un accrochage de quinze mois au palais Lascaris de Nice, sous la conduite d'un conservateur général du patrimoine, qui se dit «ami de vingt-cinq ans du collectionneur», Laurent Hugues.

    En principe, les conservateurs n’ont pas le droit de donner leur avis sur les œuvres circulant sur le marché


Matthieu Fournier, le commissaire-priseur spécialiste d’Artcurial, reconnaît qu’il s’agit d’une vente «sans tambour ni trompette, qui n’a pas la prétention d’atteindre les niveaux élevés du marché». L’épreuve est délicate pour la maison de ventes, entre la fidélité due à son client et sa responsabilité, éthique et juridique, envers les acheteurs. Tout en reprenant les noms avancés par le propriétaire, elle a instillé un peu de prudence dans les spéculations les plus chancelantes. Ce travail était d’autant plus indispensable que le portrait, à l’époque, était une petite « industrie», comme l'admet Matthieu Fournier. Les originaux des maîtres étaient repris par une légion de deuxièmes et troisièmes mains. «Ces exemplaires étaient l’équivalent de la photographie officielle aujourd’hui», souligne-t-il, en rappelant que «le cabinet du roi disposait d’une liste d’artistes qui multipliaient les reprises». 25 % des lots ont été réattribués à l’atelier ou du moins avec le concours de l’atelier. L’exemple le plus parlant de cet exercice d’équilibre est le portrait de Marie-Antoinette donné à Élisabeth Vigée Le Brun. Le catalogue ne mentionne pas l’avis négatif du grand spécialiste Joseph Baillio, pour lequel, vu sa faible qualité, «le caractère autographe du tableau est pour le moins douteux». En revanche, il est attribué à Vigée Le Brun «et collaborateurs». Presque tous les lots n’ont pour seule légitimité historique et critique que les expositions de Versailles et de Nice. Xavier Salmon avait obtenu l’autorisation d’assurer le commissariat de la première. En principe, les conservateurs n’ont pas le droit de donner leur avis sur les œuvres circulant sur le marché. Les règles semblent cependant assez floues, reposant sur la coutume plutôt que sur l’écrit. Alors même que les passerelles entre public et privé se multiplient, notamment dans l’art contemporain, peut-être serait-il temps pour les institutions publiques de renforcer leur propre légitimité en précisant leurs droits et leurs devoirs.
https://www.gazette-drouot.com/article/la-marche-du-musee-au-marche/31190
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de Neubourg

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MessageSujet: Re: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeMar 18 Jan - 9:31

Il n'est pas inutile de poster le portrait dans son intégralité. Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne 49856

Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Tzolzo29

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Deferre

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MessageSujet: Re: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeMar 18 Jan - 9:35

Avec son encadrement :

Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne 4208_110

  • Elisabeth Louise VIGÉE-LE BRUN et collaborateurs Paris, 1755 - 1842
    Portrait en buste de Marie-Antoinette, reine de France

    Huile sur toile (Toile d'origine), de forme ovale

    Portrait of Marie-Antoinette, queen of France, oil on canvas, by E. L. Vigée Le Brun and collaborators
    Hauteur : 80 Largeur : 64,50 cm

    Provenance : Acquis dans le commerce d'art à Chartres en 2000 ;
    Collection particulière, Paris


    Expositions : 'Créer au féminin. Femmes artistes au siècle de Madame Vigée Le Brun', Tokyo, Mitsubishi Ichigokan Museum, 1er mars - 8 mai 2011, p. 150-151, p. 247-248, n° 59 (notice par X. Salmon)
    'Cent portraits pour un siècle. De la cour à la ville sous les règnes de Louis XV et Louis XVI', Versailles, musée Lambinet, 6 novembre 2019 - 1er mars 2020 et Nice, palais Lascaris, 19 mai - 22 novembre 2021, catalogue par X. Salmon, p. 40-42, n° 13


    Commentaire : " A la première séance, l'air imposant de la reine m'intimida d'abord prodigieusement, mais Sa Majesté me parla avec tant de bonté que sa grâce si bienveillante dissipa bientôt cette impression. " C'est en ces quelques lignes qu'Elisabeth Vigée Le Brun relatera des décennies après dans ses Souvenirs sa première rencontre avec la reine Marie-Antoinette. Pressée par sa mère, l'impératrice Marie-Thérèse, de lui envoyer son portrait1, la jeune reine de France ne répondit pas immédiatement à cette requête, ne trouvant satisfaction auprès d'aucun portraitiste. Ce n'est qu'en 1778 qu'elle trouva enfin chez Elisabeth Vigée Le Brun le talent et la sensibilité qu'elle recherchait et l'artiste livra en 1778 ou au tout début de 1779 le grand portrait de Marie-Antoinette en habit de cour aujourd'hui conservé au Kunsthistorisches Museum de Vienne (fig. 1). Obéissant aux codes des représentations traditionnelles des souveraines, la jeune reine est représentée dans un intérieur palatial où l'on distingue un buste de Louis XVI, portant une grande robe de cour à paniers en satin blanc et une coiffe ornée de perles et de plumes, sa couronne placée à ses côtés sur un coussin de velours bleu fleurdelisé. Elisabeth Vigée Le Brun a respecté le désir de la reine d'avoir un portrait ressemblant, et l'on retrouve ici dans les traits de Marie-Antoinette la physionomie des Habsbourg.
    L'artiste tenait une liste de ses travaux dans laquelle figurent plusieurs répliques, dont une de grand format pour l'impératrice de Russie en 1779, et six versions en buste, parmi lesquelles sans doute celle que nous présentons. Le format ovale fait ici écho aux contours régulier du visage de Marie-Antoinette, dont la poitrine a été allégée de la palatine de dentelle présente sur le grand portrait en pied. Elle se détache sur un fond de ciel venant avantageusement souligner le bleu de ses yeux.

    1. Marie-Thérèse écrit en effet en juin 1777 : " Je voudrais avoir votre figure en habillement de cour, si le visage même ne sera pas si ressemblant. Pour ne vous trop incommoder, il me suffit que j'aie la figure et le maintien, que je ne connais pas et dont tout le monde est si content. Ayant perdu ma chère petite et enfant, ce désir de la connaître comme elle s'est formée doit excuser mon importunité, venant d'un fond de tendresse maternelle bien vive. ", cité par X. Salmon in cat. exp. 'Elisabeth Louise Vigée Le Brun', Paris, 2015, p. 150, n° 44.

    Estimation 40 000 - 60 000 €


https://www.artcurial.com/fr/lot-elisabeth-louise-vigee-le-brun-et-collaborateurs-paris-1755-1842-portrait-en-buste-de-marie
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de Neubourg

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MessageSujet: Re: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeMar 18 Jan - 10:08

Deferre a écrit:
Estimation 40 000 - 60 000 €

Nous attendrons donc le résultat avec impatience. Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne 549919
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Quantum

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MessageSujet: Re: Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne   Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Icon_minitimeJeu 10 Fév - 16:23

D'autres oeuvres méritent aussi notre attention.

  • Joseph DUCREUX
    Nancy, 1735 - Paris, 1802
    Portrait de Marie-Adélaïde de France (1732 -1800), dite Madame Adélaïde, fille de Louis XV

    Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Tzolzo20

    Huile sur toile
    Annotée 'MISS BURROWS / BY ALLAN RAMSAY' au verso

    Expositions : 'Cent portraits pour un siècle. De la cour à la ville sous les règnes de Louis XV et Louis XVI', Versailles, musée Lambinet, 6 novembre 2019 - 1er mars 2020 et Nice, palais Lascaris, 19 mai - 22 novembre 2021, catalogue par X. Salmon, p. 31-32, n° 8

    Bibliographie : Laurent Hugues, " Mesdames de France, tantes de Louis XVI, par Anne Vallayer-Coster ", in cat. exp. 'Anne Vallayer-Coster. Peintre à la cour de Marie-Antoinette', Washington, Dallas, New York, Marseille, 2002-2003, p. 97, fig. 2

    Laurent Hugues, " La famille royale et ses portraitistes sous Louis XV et Louis XVI ", in X. Salmon (dir.), 'De soie et de poudre. Portraits de cour dans l'Europe des Lumières', Versailles, 2004, p. 147, repr. p. 145, fig. 3

    Xavier Salmon, 'Pastels du musée du Louvre. XVIIe-XVIIIe siècles', Paris, 2018, p. 116

    Commentaire : En 1768, l'administration des Menus-Plaisirs commandait à Joseph Ducreux, reçu à l'Académie de Saint Luc en 1764, les portraits de Mesdames Adélaïde, Clotilde et Elisabeth, afin de confirmer qu'il était suffisamment talentueux pour être envoyé à Vienne portraiturer la future dauphine Marie-Antoinette. Ceux de Madame Clotilde et de Madame Elisabeth, exécutés au pastel, se trouvent aujourd'hui très vraisemblablement au musée du Louvre (inv. 34902 et 34903). Quant à Madame Adélaïde, son seul portrait de la main de Ducreux identifié à ce jour est celui que nous présentons, réalisé sur toile.


  • Lié Louis PÉRIN-SALBREUX
    Reims, 1753 - 1817
    Portrait de Marie-Joséphine Louise de Savoie (1753 -1810), comtesse de Provence

    Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Tzolzo21

    Huile sur toile, de forme ovale
    Annotée '(...) / Contesse de Polignac' au verso

    Collection particulière, Paris

    Expositions : 'Cent portraits pour un siècle. De la cour à la ville sous les règnes de Louis XV et Louis XVI', Versailles, musée Lambinet, 6 novembre 2019 - 1er mars 2020 et Nice, palais Lascaris, 19 mai - 22 novembre 2021, catalogue par X. Salmon, p. 44-45, n° 15

    Commentaire : Née à Turin en 1753, Marie-Joséphine Louise de Savoie est la fille du roi de Sardaigne Victor Amédée III et de l'infante d'Espagne Marie Antoinette. Elle épouse le comte de Provence, frère de Louis XVI, en 1771. Sur ce portrait peint par le rémois Périn-Salbreux, la princesse est coiffée d'une importante perruque à rouleaux, sommée de dentelles et de fleurs, et vêtue d'une robe ornée d'un nœud au corsage recouverte d'un manteau de fourrure blanche. Une autre version de ce portrait avec quelques variantes est conservée au château de Sassenage, tandis qu'une troisième présentant la princesse en robe de chemise, signée et datée 'Perin 1779'1, a permis de valider l'attribution de ces trois effigies à cet artiste, principalement connu pour sa production de délicates miniatures.

    1. Vente anonyme ; Tours, Hôtel des ventes Giraudeau, 2 mars 2019, n° 13.


  • Jean-Joseph ou Jacques DELORGE, dit le chevalier Delorge
    Aix-en-provence, 1733 - Dunkerque, après 1786
    Portrait de Marie-Thérèse de Savoie (1756 -1805), comtesse d'Artois

    Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Tzolzo22

    Pastel sur papier, de forme ovale
    Signé et daté 'Chev. Delorge / pictor Regine / 1781' à gauche

    Commentaire : Formé à l'Académie de Marseille, Delorge travailla pour le dauphin et eut également l'occasion de réaliser un portrait de la jeune reine Marie-Antoinette qui ne plut pas à son modèle et lui fut restitué. Cela n'empêcha pas le portraitiste de signer en se donnant le titre de " peintre de la reine ", comme en atteste le portrait que nous présentons.


  • Johann Heinrich SCHMIDT
    Hildburghausen, 1749 - Dresde, 1829
    Portraits d'Étienne François de Choiseul-Stainville (1719-1785), duc de Choiseul et de Louise-Honorine Crozat du Châtel (1735-1801), duchesse de Choiseul

    Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Tzolzo23

    Cent portraits pour un siècle. Une collection parisienne Tzolzo24

    Paire de pastels
    Porte le numéro '161' sur le montage au verso pour le portrait du duc

    Collection particulière, Paris

    Expositions : 'Cent portraits pour un siècle. De la cour à la ville sous les règnes de Louis XV et Louis XVI', Versailles, musée Lambinet, 6 novembre 2019 - 1er mars 2020 et Nice, palais Lascaris, 19 mai - 22 novembre 2021, catalogue par X. Salmon, p. 53, fig. 1 et p. 74-76, n° 31 et 32

    Bibliographie : Laurent Hugues, " En marge de l'Académie royale. Artistes étrangers et peintres non académiciens au service de la famille royale sous Louis XVI ", in cat. exp. 'Louis-Auguste Brun, peintre de Marie-Antoinette, de Prangins à Versailles', Lausanne, musée national suisse-château de Prangins, 2016, p.71, repr. p. 68-69, fig. 60 et 61

    Neil Jeffares, 'Dictionnary of pastellists before 1800', version en ligne, n° J.662.1181 et J.662.1182

    Commentaire : Ces deux délicats petits portraits au pastel sont caractéristiques de la production de Johann Heinrich Schmidt, dont les talents furent appréciés tant à la cour de Saxe qu'à Paris, ou encore à Turin et en Russie. L'artiste privilégiait les portraits en buste, exempts de mains, se concentrant ainsi sur les visages, avec une grande habileté à rendre avec beaucoup de ressemblance les traits de ses modèles qui fit son succès. Une autre version du portrait du duc de Choiseul-Stainville appartenant aux collections du Louvre est en dépôt au château de Versailles.

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