Madame ma chère fille de
Marie-Thérèse d' Autriche
Mercure de France , 1996, 128 p
Quatrième de couverture
C'est à Marie-Antoinette, rien de France, que Marie-Thérèse adresse ses conseils de mère et d'impératrice. Tendre et rusée, cette correspondance, qui se défend de «politiquer», n'évoque cependant les robes, les coiffures, les amies, l'espoir d'enfant de la reine que pour mieux assurer le crédit de l'«Étrangère» auprès de Louis XVI, et, selon les ambitions maternelles, «sur le théâtre du grand monde».