yann sinclair
Nombre de messages : 26590 Age : 66 Localisation : Versailles Date d'inscription : 10/01/2016
| Sujet: 1er juin 1702: François Chicoyneau Jeu 1 Juin - 9:11 | |
| François Chicoyneau
médecin et botaniste français membre de la Société royale des Sciences de Montpellier, 1731 (Botanique I) Né le 1er juin 1702 à Montpellier (Hérault) Décédé le 10 juin 1740 à Montpellier (Hérault) à l'âge de 38 ans (Pour lui succéder, Louis XV choisit son fils, âgé de deux ans)
Parents François Chicoyneau Médecin français, né à Montpellier le 23 avril 1672 et mort à Versailles le 13 avril 1752 l'âge de à 79 ans ( issu de la noblesse de robe)
Catherine Fournier (fille d'un bourgeois de Montpellier) Elle décède en 1704 - Marié le 25 septembre 1736 à Montpellier (Hérault) avec Marie Rouzier de Saint-Estève, (fille d'un conseiller à la cour des comptes, aides et finances de Montpellier)
- dont
- Jean-François Chicoyneau, Docteur en médecine. né le 18 août 1738, baptisé le 20 en l'église Saint-Pierre de Montpellier. Décédé en octobre 1759 à Souvignargues (Gard)à l'âge de 21 ans
Élevé par sa belle-mère, Marie Chirac. Il suit son père à la Cour et entreprend ses études secondaires à Paris. Il est reçu médecin, le 24 août 1722. Il remplace son père comme titulaire de la chaire d'anatomie et de botanique à Montpellier. BiographieSon père est son premier maître. Puis son grand-père maternel Pierre Chirac lui enseigne à Paris les principes de la médecine. Du Verney et Winslow lui apprennent l’anatomie et Vaillant la botanique. Doué, il progresse vite. Il remplit avec succès sa fonction d’intendant du jardin des plantes de Montpellier, le plus ancien du royaume, qu'il renouvelle entièrement et en peu de temps. Passionné de botanique, il possède en ce domaine des connaissances étendues.
Il occupe, comme cinquième membre de sa famille, la charge de professeur et chancelier de la Faculté de médecine de Montpellier. Il enseigne au cours public d’anatomie.
Membre de l’Académie de Montpellier, il produit deux mémoires: l'un sur l’Irritabilité des étamines de certaines plantes, l'autre sur les Mouvements particuliers que présentent les fleurs des chicoracées. Il s'y montre observateur exact et écrivain élégant.
À la demande de son père, il occupe également la charge de conseiller à la cour des aides. De ce fait, il pratique le droit avec aisance, bien qu'avec moins de goût que pour la médecine. En 1736, il épouse Marie Rouzier de St Esteve, fille d'un conseiller à la cour des comptes, aides et finances de Montpellier. Sources- Joseph-François Michaud, Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle, ancienne et moderne ou, Histoire, par ordre alphabétique de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes, vol. 8, Paris, Michaud frères, 1854, p. 136-7.
- François-Xavier de Feller, Dictionnaire historique, t. 2, Ausbourg, Mathieu Rieger fils, 1782, p. 293.
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