Un fauteuil commandé par Marie-Antoinette pour le belvédère expertisé à une somme astronomique

La somme que pourrait atteindre un fauteuil commandé par la reine pour le belvédère !!

http://artwithoutskin.com/2015/05/27/un-fauteuil-commande-par-marie-antoinette-pour-le-belvedere-du-petit-trianon-en-vente-a-londres/
http://www.paulfrasercollectibles.com/news/memorabilia/marie-antoinette-1780-armchair-could-make-768-000/19529.page

Ouah !!
http://antiquesandartireland.com/tag/marie-antoinette/

Ouais...il faut jouer, et gagner, au loto avant donc

Du coup je vais jouer !!



Le 9 juillet à Londres. Christie's mettra en vente un fauteuil, dernier survivant d'une suite qui meublait le pavillon du Belvédère à Versailles. Signé de François II Foliot, d'après un dessin de Jacques Gondoin en 1780, celui-ci est recouvert d'un tissu aux motifs bucoliques, savant mélange de fleurs et de rubans comme cette grande dame de France, rebelle et insoumise, aimait tant porter dans ses boudoirs rose poudré.

Dans cette vente intitulée Taste of the Royal Court, l'estimation de 300.000 à 500.000 livres (de 421.000 à 702.000 euros) paraît justifiée pour ce joyau du mobilier royal, figurant parmi l'une des plus chères commandes de la reine pour le petit pavillon d'architecture octogonale. Dans cette fabrique du nouveau jardin du Petit Trianon construite par l'architecte Richard Mique entre 1770 et 170, la reine y tenait son salon de musique.

Depuis toujours, l'étiquette Marie-Antoinette suscite des batailles d'enchères royales. On se souvient de ces quatre appliques de Claude-Jean Pitoin commandées pour le cabinet de la méridienne à Versailles achetées en 1999 par le musée Getty au prix record de 1,8 million de dollars, chez Christie's à New York. Ou encore de ce gobelet à anses «étrusques» avec sa soucoupe faisant partie d'un service réalisé à Sèvres en 1788 pour la laiterie de la reine à Rambouillet qui fut acquis en 2000 par un collectionneur américain pour 1,16 million de francs, chez Piasa. Que dire encore de ses reliques qui flambent autant que celles de Napoléon. En octobre 2012, une paire de délicats souliers de soie, taille 36 et demi, qui avait été remis par la souveraine à Alexandre-Bernard Ju-Des-Rets (1752-1837), gentilhomme à son service à Versailles durant l'année 1775, s'était envolée à 62.460 euros, en 2012 à Drouot.

http://www.lefigaro.fr/culture/encheres/2015/05/29/03016-20150529ARTFIG00073-un-fauteuil-de-marie-antoinette-pourrait-faire-s-envoler-les-encheres.php

Fascinant ! Je suivrai l'affaire.

En effet

Jouons jouons, et gagnons!

Qui a acquis cette merveille ? Ce fauteuil bijou de notre patrimoine est parti à plus d'un million de Livres Sterling (donc genre la somme astronomique de 1 500 000 EUR ! ). Ce n'est malheureusement pas moi qui ai emporté l'enchère



Si ça ne vous fait pas trop mal de lire les détails

‘My highlight of 2015’ — Marie Antoinette’s chair

Of all of the wonderful works of art that the Private Collections department has had the privilege to handle this year, the object which holds most significance for me is the beautiful and very rare Louis XVI giltwood fauteuil en bergère — made for Queen Marie Antoinette — which was sold in July along with a small group of artworks from a private collection, all of incredible quality and with important provenance.

The magnificent armchair is the only known surviving fauteuil en bergère from the most expensive suite of seat furniture ever ordered by Marie Antoinette. Costing 20,000 livres, the set was made in 1780 for the circular salon of the Pavillon du Belvédère, one of her most personal retreats, set in the Jardin Anglais of the Petit Trianon, Versailles. I find it fascinating to imagine her sitting in this chair after the suite was delivered in late 1781, when she was heavily pregnant with the dauphin, in a space that was intended purely for her and her closest confidantes.

Unsurprisingly, the chair garnered a huge amount of interest and attention in the lead up to the auction, from international press, collectors and museums; on the day of the sale itself there were several bidders who chased the price up to what was eventually a world record figure (£1,762,500) for a single 18th-century chair. However, you can’t prepare for everything and, at a critical moment, the phone of the client with whom I was telephone bidding cut out. After a few minutes of the auctioneer being very patient with me, I finally got him back on the line — which was lucky as the price rose by a further £1 million, with my client the underbidder!
http://www.christies.com/features/Marie-Antoinette-chair-6906-1.aspx

Ah ... toucher ainsi du doigt les merveilles de ce monde ...