Pour info, l'épée d'académicien de Charles Kunstler est en vente.
Informations utiles et rappelsAcadémie des Beaux Arts Étonnante épée d'académicien de Monsieur Charles KUNSTLER (Pissos, 1887 - Paris, 1977) Élu à l'Académie des Beaux-Arts en 1954
Lourde monture en bronze doré, ciselé et gravé. Fusée à quatre pans.
Pommeau orné de d'une frise de dents de loup et de chevrons mêlés, émaillés noir. Elle est signée, au dos des quillons, «Arthus Bertrand Edit.» à gauche et «Quinqaud Sc.» à droite, représentant, de face, le profil de «la reine Marie-Antoinette» , de dos, le profil de «Watteau», sur les côtés, à droite dans une banderole, «François Villon», à gauche dans une banderole, «l'Impératrice Joséphine».
Garde à deux longs quillons en ruban inversés, enroulés, ciselée avec les inscriptions, au centre, «Marie Antoinette», à droite, «Fersen», à gauche, «Gauguin». Montée sur une embase pyramidale à motif décoré en suite du pommeau de stries et de dents de loup sur fond émaillé noir.
Lame droite à quatre pans. Fourreau en bois recouvert de maroquin granité noir, à deux grandes garnitures en laiton doré, à bourrelets. Bouton de chape ovale ciselé au chiffre «CK».
Longueur : 93 cm.
T.B.E. Dans un écrin en bois recouvert de maroquin gainé de moire noire.
Charles Kunstler, (Pissos, 1887 - Paris, 1977).
Historien de l'art, historien et poète français.
Carrière : - 1905-1909. Études de droit et de médecine à Bordeaux. - 1909-1913. École des Beaux-Arts de Bordeaux. - 1913. Installation à Paris ; participation au Salon des Humoristes.- 1943-1945. Président, puis président d'honneur de la Maison des Journalistes. - 1949-1957. Président du Syndicat de la Presse artistique française. - Membre du Pen-Club. - Membre de la Société des Gens de Lettres (vice-président). Officier de la Légion d'honneur ; Croix de guerre 1914-1918 ; Officier dans l'Ordre des Arts et des Lettres ; Médaille militaire. Élu, le 16 juin 1954, membre libre de l'Académie des Beaux-Arts, au fauteuil de Jean BOURGUIGNON (1956, section des membres libres).
Président pour 1974.
Marie-Antoinette d'Autriche (1755, décapitée à Paris en 1793), Reine de France.
Impératrice Joséphine de Beauharnais (Martinique,1763-Rueil Malmaison,1814). Impératrice des Français. Hans Axel Von Fersen (1755-1810). Comte suédois célèbre pour son rôle de favori auprès de la Reine Marie-Antoinette grâce à son physique avantageux, puis il devient un des familiers du couple royale. Participe à la guerre d'indépendance des États-Unis en 1780. En 1791, Fersen participe à la fuite à Varennes dont il est l'un des principaux organisateurs. En 1792, Fersen aide à la préparation d'une coalition européenne contre la Révolution française. C'est lui qui inspire, le «manifeste de Brunswick». Il croit fermement à la victoire rapide de la coalition et imagine même le rétablissement de la royauté. En 1793, après l'exécution de Louis XVI, il espère encore sauver la reine mais ne peut pas empêcher son exécution le 16 octobre 1793. François Villon, François de Montcorbier dit Villon, (Paris, 1431-1463). Poète français de la fin du moyen âge.
Watteau Jean-Antoine, (Valenciennes,1684-Nogent sur Marne,1721), peintre français, devenu célèbre par ses représentations de fêtes galantes, il est le créateur du mouvement «rocaille» inspiré par la commedia dell'arte. Deuxième prix de Rome en 1709 Paul Gauguin, (Paris, 1848-Martinique, 1909), peintre post impressionniste, chef de file de l'Ecole de Pont Aven, considéré comme l'un des peintres majeurs français du XIXè siècle.
Anna Quinquaud, (Paris, 1890-Fontenay Trésigny,1984), sculptrice française. Devenu 1er grand prix de Rome en 1924. Chevalier de la Légion d'honneur en 1932. Arthus Bertrand, médaillistes et joailliers, entreprise française créée en 1803 à Paris par Claude Arthus Bertrand. Elle conçoit et réalise des médailles et décorations civiles et militaires pour la France ainsi que des distinctions étrangères, ordres et mérites pour d'autres pays. Elle fournit la médaille de la Légion d'honneur et grave le grand collier de la Légion d'honneur porté par les présidents de la république française. Arthus-Bertrand fabrique également des épées d'académiciens, des trophées, des montres, des bijoux et des pièces d'orfèvrerie et emploie des procédés de fabrication historiques.