Les prisons revolutionnaires

Oui, je l'ai dans ma bibliothèque mais je ne l'ai pas encore lu...

Ah, mince, j'aurais voulu savoir si il valait le coup d'être lu????

Oui, je le pense . Je l'ai repris en main. Il s'agit d'une comtesse qui est favorable aux idées révolutionnaires. Puis cette personne voit sa vie basculer suite à une dénonciation . Elle côtoie beaucoup de prisonniers dans les prisons et échappe par hasard à la mort. C'est surtout un livre témoignage de ce qu'elle a vécu . Elle veut témoigner pour tout ceux qui n'ont pas eu la chance de survivre.

Je vous dis cela en me basant sur la quatrièeme de couverture et en feuilletant le livre. C'est un livre à lire et à avoir dans sa bibliothèque.

Merci Madame de Chimay!

Bonjour

Entre la rue du Roi de Sicile et l'hôtel de Lamoignon, du 12 au 22 de la rue Pavée, s'étend l'hôtel d'Henri Jacques Nompar de Caumont, duc de La Force.

Achevé vers 1559 et embelli au début du règne de Louis XV par des financiers, les frères Pâris, l'hôtel de La Force fut acheté en 1754 par le ministère de la Guerre et transformé en 1780 en maison de détention divisée en deux prisons : la Grande et la Petite Force, celle-ci, destinée aux femmes et contiguë à l'hôtel de Lamoignon.

La princesse de Lamballe y fut massacrée le 3 septembre 1792 en compagnie d'une centaine d'autres personnes.

Les deux prisons furent démolies en 1845, et il n'en subsiste qu'un pan de mur jouxtant la bibliothèque historique de la Ville de Paris.



Cordialement

merci pour ces renseignements !

Je vous conseille la lecture de ce livre : il se lit vite, et quoiqu'il ne soit pas d'un très grand intérêt historique, le témoignage sur la (sur)vie en prison, durant cette terrible période, reste instructif...

Bon, je vais y songer mais j'ai tellement en tête d'autres bouquins à lire.....

Description sommaire des conditions à l'arrivée de la Reine :

Dès le matin, la présence de deux hommes lui avait été imposée : celle du « gendarme national » Jean Gilbert et de son chef, le maréchal des logis François Dufresne. Un paravent séparait la pièce en deux parties afin qu’elle puisse s’habiller et s’isoler sans être vue de ses deux gardiens.

Mr Richard lui avait envoyé, dès ce matin, la femme Larivière, ancienne concierge de l’Amirauté. Elle avait près de quatre-vingt ans et lui avait fait bonne impression. Pendant trente années, elle avait été attachée à la Maison du Duc de Penthièvre pour lequel Sa Majesté avait une haute estime.