Celle-ci, rien à dire !
Mardi 6 octobre 1789, ) la fin d'une lettre de Vaudreuil au comte d'Artois :
Je ne veux pas laisser partir la lettre sans dire à mon cher prince combien je l'aime, et combien je serai aise de le revoir et de l'embrasser. Nous espérons arriver pour dîner, je ne sais où; mais nous nous flattons bien de vous voir beaucoup le temps que nous resterons à Turin, d'autant qu'en vérité nous n'y serons que pour vous y voir.
Remerciez pour nous le baron de la magnifique réception qu'il nous a faite à Carouge; son chargé d'affaires est fort aimable et a fort bien rempli ses intentions