Guillaume Tronson-Ducoudray

Autant dire que c'était suicidaire ...

Pourtant, il défendra la reine pendant des heures.

Quel homme ! Un preux que dis-je !

Madame de Chimay a écrit:

Quel homme ! Un preux que dis-je !

....... un saint ?

Un type bien.

Bien casté, l'acteur dans l'Autrichienne !

En effet, très bon choix

Et en plus , physiquement , il est super mignon ...Waouh ! !!!

Moi aussi je le trouve pas mal physiquement.
Je ne me rappelle plus de l'acteur le jouant dans l'Autrichienne.

Le voici, ce bel homme :

Tout à fait !

Ah ! que ouiiiiii !!!

A ne pas confondre avec son pote Frédéric van den Driessche qui fait Chauveau.


Pas mal non plus.
A vrai dire, je suis bien incapable de savoir qui a fait quoi des deux.  

Pareil, pour moi ces deux petits gars-là, c'est bonnet blanc et blanc bonnet .
Tout ce que je vois, c'est qu'ils se sont mis en danger pour la défendre, elle .

Ils ont été commis d'office mais ils ont fait leur boulot jusqu'au bout. A tel point qu'au moment du plaidoyer ils ont été arrêtés. Preuve de l'état de la justice à cette époque.

Ils se sont chargé de deux aspects différents de la défense.

En effet, si mes souvenirs sont bons.

N'ai-je pas vu ces deux avocats du diable, non seulement se démener comme des diables dans un bénitier pour prouver l'innocence de la guenon, mais oser pleurer la mort du traître Capet et dire aux juges que c'était assez d'avoir puni le gros cochon, qu'il fallait au moins faire grâce à sa saloperie de femme !!!

( Hébert, évidemment ! who else ? )

Si je me souviens bien, il s'est concentré sur l'accusation de communication avec l'étranger, et Tronson Ducoudray sur l'intérieur. Non ?

Ah oui c'est vrai, ils se sont répartis ainsi la tâche.

Ah ce Hébert, toujours des termes mesurés !

Je ne sais pas non plus quelle a été leur répartition des tâches. Il faudrait avoir le script précis du procès en fait pour en juger

Le plaidoyer, présenté avec adresse et courage par ses deux défenseurs, accroît peut-être cette suprême illusion. Ils sont écoutés en silence dans la salle éclairée par quelques bougies et dont les extrémités, les plafonds restent pleins de nuit. Ils se sont partagé la défense. Tronson-Ducoudray doit répondre à l'accusation de complicité avec les ennemis de l'intérieur; son confrère doit défendre la reine du chef d'intelligence avec l'étranger. Chauveau-Lagarde surtout parle avec noblesse : « Rien, dit-il en achevant, ne saurait égaler l'apparente gravité de l'accusation, si ce n'est peut-être la ridicule nullité des preuves..."

Son confrère et lui seront arrêtés au sortir de l'audience.
http://www.diagnopsy.com/Revolution/Rev_059.htm

Merci

J'aime beaucoup la réplique de Chauveau-Lagarde...tu m'étonnes qu'il a été arrêté

C'est clair, il y est allé fort. Mais il avait le droit pour lui. Bon... on sait ce que les régimes dictatoriaux font du droit...