pimprenelle
Nombre de messages : 40563 Date d'inscription : 23/05/2007
| Sujet: Le XVIIIe se porte bien, que diable! Jeu 6 Nov - 13:12 | |
| Stoppons les « snippers » qui tirent à tout va sur les arts décoratifs du XVIIIe siècle.Paire de vases formant pots-pourris, XVIII s., onyx, monture de bronze doré, 33 x 35 cm, détail, estimée 80 000 € à 120 000 €, mise en vente par Sotheby’s le 5 novembre.Le beau XVIIIe se porte bien, comme en témoigne cette collection présentée par Sotheby's, rassemblée par un amateur ces vingt dernières années, qui réunit le meilleur des époques Louis XV, Transition et Louis XVI. Le collectionneur appréciait les objets et les pendules en bronze doré ni usés ni redorés, qu'il achetait chez de grands marchands tel Pascal Izarn. Certains sont faciles à intégrer dans un intérieur moderne, comme cette paire de vases montés en onyx d'époque Louis XVI (estimée de 80 000 EUR à 120 000 EUR) ou un grand vase en porcelaine de Chine en céladon craquelé, monté en bronze doré, d'époque Louis XVI (60 000 EUR à 100 000 EUR). Deux pendules exceptionnelles sont signées du grand bronzier Jean-Joseph de Saint Germain, le fameux modèle à l'éléphant (40 000 EUR à 60 000 EUR) et celui aux enfants sauvages (60 000 EUR à 90 000 EUR). Les meubles sont de la même eau, tel ce secrétaire violonné de Jean-François Dubut d'époque Louis XV (200 000 EUR à 300 000 EUR) ; d'autres sont signés des noms mythiques de Topino, BVRB ou RVLC.http://www.connaissancedesarts.com/marche_art/actus/le-grand-xviiie-a-l-honneur-108730.php _________________ rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer
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madame antoine
Nombre de messages : 6891 Date d'inscription : 30/03/2014
| Sujet: Re: Le XVIIIe se porte bien, que diable! Jeu 6 Nov - 18:42 | |
| Il est vrai qu'on ne sait plus que penser, à force d'entendre sur ce sujet des informations contradictoires. Certains antiquaires disent que le XVIIIème siècle ne se vend plus, d'autres au contraire, qu'il séduit toujours les foules.
madame antoine _________________ Plus rien ne peut plus me faire de mal à présent (Marie-Antoinette)
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