Aile centralehttp://versablog6.skyrock.com/
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Appartement de la Reine
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Couloir 2
Pièce attribuée à Axel de Fersen Cette pièce, ainsi que la suivante, était attribuée, sous Louis XIV et Louis XV, au premier valet de chambre de service.
(commentaire de Matthieu) 3
Pièce attribuée à Axel de Fersen 5
Salle du billard ou salon de compagnie
http://versablog6.skyrock.com/3006568573-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-Salle-du.html 7
Corridor de liaison
http://versablog6.skyrock.com/3007212675-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-7-Couloir-de.html 8
Salle à manger
http://versablog6.skyrock.com/3007215109-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-8-Salle-a.html 9
Boudoir
http://versablog6.skyrock.com/3008214407-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-9-Boudoir.html 10
Salle des buffets
http://versablog6.skyrock.com/3012772025-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-10-Salle-des.html 11
Salle du collier de la Reine
http://versablog6.skyrock.com/3015072969-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-11-Salle-du.html 12
Pièce des femmes de chambrehttp://versablog6.skyrock.com/3017876297-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-12-Piece-des.html 13
Pièce des dames d'atours
http://versablog6.skyrock.com/3017878433-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-13-Piece-des.html 14
Couloir des femmes de chambre
http://versablog6.skyrock.com/3018663565-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-la-reine-14-Couloir.html
L'appartement de la Femme de Chambre de Veille de Nuit
https://maria-antonia.forumactif.com/t18319-l-appartement-de-la-femme-de-chambre-de-veille-de-nuit
Au temps de Marie-Antoinette, il était attribué à la Femme de Chambre de Veille de Nuit. Celle-ci était susceptible d'être appelée par la reine, par le cordon qu'elle avait dans sa chambre.
Cet appartement a beau avoir l'air écrasé, comme ça, il disposait de plusieurs pièces et d'un couloir.
Appartement du Roi Placés dans les combles au dessus des appartements du roi, sur des niveaux différents,
ouvrant sur la cour de Marbre par des mansardes et sur des cours intérieures par de petites fenêtres, cette enfilade est constituée d'une série de petites pièces.
Le talent des décorateurs y est pour beaucoup car ils ont su faire oublier les proportions des pièces du premier étage par un décor de boiseries parfaitement harmonieux et élégant.
Ces pièces avaient d'abord été partagées entre des courtisans et des domestiques du Roi, comme Lazur, le cuisinier de Louis XV.
Puis, celui-ci, en raison de la facilité de communication avec son appartement par des escaliers intérieurs, trouva commode de s'y réserver des cabinets de détente volières, salle de bains, petite salle à manger...)
Les maitresses du roi y avaient également leur appartement depuis Madame de Mailly, jusqu'à la dernière, Madame Du Barry.
Après la mort de Louis XV, Louis XVI exila Madame Du Barry de la cour et donna son appartement au duc de Villequier, à Maurepas et à d'autres personnes et se réserva dans le reste un cabinet de géographie et un autre de menuiserie.
On peut remarquer, notamment dans le Cabinet d'angle l'art avec lequel l'architecture a su dissimuler la pente du toit grâce à de profonds ébrasements de fenêtres et la manière dont il a allongé la proportion des fenêtres en plaçant de petits panneaux de boiserie entre le chapeau des lucarnes et la vitre Les peintures et les dorures si délicates des boiseries ont été entièrement restaurées ces dernières années, et l'on s'efforce de retrouver des meubles pour toutes ces pièces, tâche rendue difficile par les proportions exceptionnellement basses des panneaux inférieurs des boiseries
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Cabinet de physique
http://versablog6.skyrock.com/3050081915-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-du-roi-18-Cabinet-de.html 20
Cabinet de menuiserie
http://versablog6.skyrock.com/3050930965-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-du-roi-20-Cabinet-de.html 21
Galerie de géographie Louis XV y eut des cartes et tableaux chronologiques enroulés sur des stores
(conservés à la bibliothèque municipale de Versailles)Cette partie de l'appartement intérieur du roi fut ensuite affectée à Marie-Josèphe de Saxe qui ne pouvait conserver l'appartement de Dauphine du rez-de-chaussée.
Les placards furent alors installés pour y ranger sa garde-robe.
Mme du Barry régna sur ces lieux mais Louis XVI récupéra cette galerie tout en affectant le reste de l'appartement à son 1er valet de chambre Thierry de Ville d'Avray et au duc de Villequier, 1er gentilhomme de la chambre
(Texte et illustration: Alain Roger-Ravily)
Appartement Madame du Barry
Madame la Comtesse du Barry (1743-1793)Jeanne Bécu, dite de Cantigny, dite aussi Mlle de Vaubernier, est née le 19 août 1743 à Vaucouleurs. Elle était issue par sa mère d'une famille de haute domesticité attachée à la cour de Lorraine à Lunéville.
Une de ses grands-mères, Anne-Jeanne Husson, avait elle-même vécu à Versailles où, avec son mari Fabien Bécu, dit de Cantigny, ancien "maître-rôtisseur", fut au service de la "belle Ludres", une des maîtresses de Louis XIV.
Appelée à Paris auprès de familles de la haute aristocratie, Anne Bécu, la mère de la future favorite, entra vers 1742 au service de Claude-Roch Billard du Monceau, receveur des finances de Lorraine, lequel pourrait véritablement avoir été le père de Jeanne, mais refusa formellement d'endosser cette paternité.
Cependant, à son mariage avec le comte Guillaume du Barry , Jeanne dut justifier de ses origines paternelles, aussi fut-il suggéré de la déclarer fille d'un certain "sieur de Vaubernier" où chacun voulut reconnaître Jean-Jacques-Casimir Gomard, soi-disant "de Vaubernier", dit aussi Frère Ange, moine du couvent de Picpus à Paris, qui fut en effet témoin au mariage.
La jeune Jeanne Bécu bénéficia d'une éducation soignée chez les dames de Saint-Aure à partir de 1753 grâce à Billard du Monceau ou à son beau-père Nicolas Ranson de Montrabé, Receveur des gabelles, que sa mère épousa en 1749. Elle sortit de ce couvent vers 1758 pour entrer au service d'une famille de Lagarde issue de la Ferme générale. Elle acquit peu à peu l'aisance et la distinction de manière qui la feront remarquer.
A dix-sept ans, elle devint vendeuse dans une luxueuse boutique de mode située rue Saint-Honoré à Paris, - "les traits galants" - appartenant à un notable parisien, Jean-Baptiste Buffault, échevin, qui a laissé un nom de rue à Paris. Ce personnage dont un des fils fut plus tard co-fondateur et régent de la Banque de France, fut aussi administrateur de l'Opéra puis devint plus tard l'homme d'affaires et le confident de la comtesse du Barry
La beauté de la jeune fille la firent remarquer et elle fut reçue dans divers salons dont certainement le "bureau d'esprit", fort connu, de Mme Buffault, née Barbe Peeters, où, probablement, Jean Baptiste du Barry l'aperçut.Jean-Baptiste du Barry, dit Le Roué, gentilhomme toulousain, connu dans les milieux de la galanterie parisienne, la remarqua alors qu'elle n'avait que 19 ans. Il en fit sa maîtresse et, pendant un temps, elle fit les honneurs de l'hôtel du Barry à Paris où, selon Fabre de l'Aude, venaient beaucoup de personnages remarquables, appartenant au monde de la littérature et des arts. Du Barry était en effet un amateur de musique et surtout de peinture, doublé d'un mécène, et c'est à son contact que Jeanne, dite Melle de Vaubernier dans le monde, se forma à la culture des beaux-arts.
Lors d'un dîner, Jean-Baptiste du Barry aurait fait l'éloge de la jeune femme au maréchal de Richelieu qui imagina de la présenter à Louis XV.
La rencontre se fit par l'intermédiaire de Lebel, premier valet de chambre du roi. Cette opération n'était pas indifférente à Richelieu qui voulait contrer le projet que le clan du premier ministre. En effet, élevé au ministère par la grâce de la défunte marquise de Pompadour, le duc de Choiseul caressait l'espoir de placer auprès du roi sa sœur, la duchesse de Grammont, ou toute autre femme à leur dévotion. La déconvenue et le ressentiment des Choiseul à l'égard de Mme du Barry qui leur fit perdre une part d'influence auprès du roi, fut immense. Car en peu de temps, Louis XV s'était épris de Jeanne qui avait à ses yeux un charme infini et certains talents qui lui donnaient une nouvelle jeunesse.Le roi, Louis XV,âgé de 58 ans, ayant souffert dans les années précédentes de la mort de ses proches dont son fils le dauphin Louis-Ferdinand, sa femme la reine Marie Lesczynska et sa favorite en titre, la marquise de Pompadour, désira faire de la jeune femme sa nouvelle favorite officielle, ce qui ne pouvait être sans une présentation officielle à la cour par une personne y ayant ses entrées et sans qu'elle fût mariée.
L'inconvénient était que le chevalier Jean-Baptiste du Barry était déjà marié (à une Mlle Dalmas de Vernongrese), aussi tourna-t-on la difficulté en mariant Jeanne au frère aîné de Jean-Baptiste, le comte Guillaume du Barry, qu'elle épousa en effet le 1er septembre 1768 (et qui fut immédiatement renvoyé dans son foyer). Quant à la marraine, on dégota la comtesse de Béarn, très endettée, qui accepta la "besogne" (contre paiement de ses dettes) au grand dam des bien-pensants. Jeanne pouvait désormais être officiellement présentée à la cour, ce qui fut fait en avril 1769.
Notons que l'année suivante, une fille du roi, Madame Louise quitta cette cour de Versailles pour entrer au carmel et prier pour le salut de son père.
A la différence de Madame de Pompadour, Jeanne du Barry ne chercha pas à jouer un rôle politique par elle-même. Elle fut l'intermédiaire d'une coterie, celle du duc d'Aiguillon et de Richelieu, mais quoiqu'on en dise, elle n'a pas été sans influencer discrètement telle ou telle décision, obtenant ainsi la grâce de plusieurs condamnés à mort. Elle bénéficiait pour son train de vie de revenus comparables au budget d'un ministre de la culture, et reçut des bijoux somptueux ainsi que des domaines : ("Louveciennes", près de Marly-le-Roi, et Saint-Vrain), mais assez peu de choses en comparaison de ce que Mme de Pompadour s'était fait octroyer.
Malgré les coups bas de la duchesse de Grammont et d'autres femmes jalouses de sa position à la cour, elle s'efforça d'être agréable à tous, et Voltaire, à qui elle avait envoyé deux baisers par la poste, lui adressa ce célèbre quatrain par retour de courrier :
Quoi, deux baisers sur la fin de la vie !
Quel passeport vous daignez m'envoyer !
Deux, c'est trop d'un, adorable Égérie,
Je serai mort de plaisir au premier.
Cependant, le clan Choiseul n'avait pas désarmé et c'est à une de ses créatures, Pidansat de Mairobert qui fut le rédacteur des Mémoires secrets après la mort de Bachaumont que l'on doit les premières attaques, souvent triviales, dont Mme du Barry fut l'objet pendant sa vie entière. Il diffusa (il tient la Surintendance des Postes) ou suscita des chansons grivoises et même des libelles pornographiques (L'Apprentissage d'une fille de modes, ou L'Apothéose du roi Pétaud). Par la force des choses, Mme du Barry se retrouva soutenue par le parti dévot, par le fait même qu'il était hostile à Choiseul qui, pour avoir conclu le mariage du nouveau Dauphin Louis-Auguste et de l'archiduchesse Marie-Antoinette d'Autriche, semblait encore intouchable.
Prévenue contre Mme du Barry dès son arrivée en France, la dauphine, jeune et entière, lui voua d'emblée un mépris profond, moins parce qu'elle était favorite royale que parce qu'elle était non agréée par le parti Lorrain de la cour (1770). En effet, Marie-Antoinette était de la Maison de Lorraine. En 1771, à la suite d'humiliations répétées contre elle - entre autres au théâtre de Fontainebleau -, Louis XV décida le renvoi de Choiseul et des siens, et le fit remplacer par le duc d'Aiguillon, ce qui accrut la rancoeur de Marie-Antoinette à son égard.Désormais intouchable, Mme du Barry appuya son influence et organisa le mariage du comte de Provence avec une princesse de Savoie.
Mais c'est dans le domaine des arts que Mme du Barry a particulièrement brillé et mérite qu'on lui rende hommage, comme cela a été fait à l'occasion d'une exposition organisée à Marly en 1992. Elle a en effet véritablement joué le rôle de mécène, contribuant à développer et faire connaître l'artisanat d'art français.
A la mort de Louis XV (10 mai 1774), son petit-fils et successeur, probablement inspiré par Marie-Antoinette, fit délivrer toute affaire cessante une lettre de cachet contre Mme du Barry. Le duc de La Vrillière, sorte de ministre de l'Intérieur, la fit conduire de nuit au couvent du Pont-aux-Dames à Meaux ; puis il fit saisir ses papiers qui arrivèrent en partie entre les mains du clan Choiseul. Certains furent utilisés pour publier une correspondance apocryphe, mêlant le vrai et le faux, et qui parut quelques années plus tard: ainsi naquit la légende selon laquelle Mme du Barry serait sortie du bordel de Mme Gourdan, une légende que Mme du Barry, grande dame, eut la sagesse d'ignorer mais qui, malheureusement, a été reprise et amplifiée par erreur ou par calcul.
La comtesse du Barry put retourner chez elle à "Louveciennes" en octobre 1776 y menant désormais une vie paisible embellie par sa longue liaison avec le comte puis duc de Cossé-Brissac et les visites de Mme Vigée-Lebrun qui devint une amie et laissa d'elle trois superbes portraits.
Elle visita Voltaire sur son lit d'agonie, hommage rendu par elle à l'homme qu'elle admirait, mais aussi à la philosophie des Lumières. En 1777, l'empereur Joseph II, frère de la reine, en visite en France, n'avait pas hésité à lui rendre visite, au grand dam de la reine qui apprécia modérément cette initiative. On raconte que la comtesse voulant lui céder le pas, l'empereur l'aurait invitée à le devancer disant à la favorite disgraciée : "passez, madame, la beauté est toujours reine".Pourtant, en 1789, la bonne comtesse offrit ses services à la cour. A l'heure du danger, quand beaucoup de courtisans s'enfuyaient à l'étranger, Mme du Barry ne cessa pas de soutenir la contre-révolution de l'intérieur. Malgré ses bienfaits et sa charité active, son passé la rendait suspecte, et le 6 septembre 1792, la tête du duc de Brissac, assassiné à Versailles, fut lancée par la fenêtre du salon de Louveciennes.
Victime d'un vol de bijoux, Mme du Barry avait dû se rendre à Londres pour authentifier ceux de ses joyaux qui y avaient été retrouvés et qui étaient entre les mains du fameux espion Nathaniel Parker-Forth qui les conserva jusqu'à leur vente, à son profit, chez Christie, quelques années après l'exécution de la comtesse. Après la mort de Louis XVI, à la veille de la déclaration de guerre avec la Grande Bretagne, Mme du Barry revint de Londres en France pour éviter l'apposition des scellés sur sa propriété.
Elle fut dénoncée par un nommé Greive identifié plus tard comme étant un agent d'influence anglais en France. Cet individu, acharné à sa perte, semble avoir convoité ses papiers, notamment sa correspondance avec Brissac, qui donnait de précieuses indications sur les efforts des royalistes de l'intérieur pour sauver Louis XVI. Il est possible que Greive ait vendu cette correspondance à son gouvernement.
C'est moins ce qui restait de fortune à Mme du Barry que son ancienne condition de maîtresse royale qui en firent une cible parfaite pour les révolutionnaires. Malgré les nombreux témoignages des habitants de Marly et de Louveciennes en sa faveur, elle devint vite suspecte dès le vote de la loi de ce nom (17 septembre 1793), fut déclarée ennemie de la Révolution et, après un long procès prédéterminé, elle fut condamnée à être guillotinée.
L'exécution eut lieu le 8 décembre 1793 après des retards pour enregistrer des révélations que Mme du Barry prétendait faire, au sujet de ses bijoux, pour obtenir sa grâce. Le courage qu'elle avait montré au moment de son procès l'abandonna sur la charrette. Ses derniers mots au bourreau, sans doute apocryphes, furent « De grâce, monsieur le bourreau, encore un petit moment. »
Laissons à Mirabeau le mot de la fin, le vrai celui-là: "Si ce ne fut pas une vestale, la faute en fut aux dieux qui la firent si belle".
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Salle de bain
http://versablog6.skyrock.com/3051417307-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-22.html 23
Première antichambre
http://versablog6.skyrock.com/3094857293-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-23.html 24
Salle à manger
http://versablog6.skyrock.com/3094862935-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-24.html25
Cabinet de chaise
http://versablog6.skyrock.com/3095235969-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-25.html 25a
Couloir
http://versablog6.skyrock.com/3095217555-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-25a.html 26
Chambre de la femme de veille
http://versablog6.skyrock.com/3095236031-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-26.html 27 ?
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Chambre
http://versablog6.skyrock.com/3095226643-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-28.html 29
Salon de jeu
http://versablog6.skyrock.com/3095635681-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-29.html 30
Salon d'angle
Salon de compagnie
http://versablog6.skyrock.com/3103649619-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-30.html 32
Antichambre
http://versablog6.skyrock.com/3121589247-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-32.html 33
Bibliothèque
http://versablog6.skyrock.com/3143248222-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-de-Madame-du-Barry-33.html 34
Salle de liaison
Appartement Maurepas
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Ancienne chambre de Monsieur
http://versablog6.skyrock.com/3263620052-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-maurepas-33-Ancienne.html 37
Chambre de Madame
http://versablog6.skyrock.com/3264442126-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-maurepas-37-Chambre-de.html 38
Couloir garde robe
http://versablog6.skyrock.com/3264501278-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-maurepas-38-Couloir.html 39
Grand cabinet
http://versablog6.skyrock.com/3264561150-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-maurepas-39-Grand-cabinet.html 40
Verrière escalier Louis Philippe41
Antichambre ou salle à manger
http://versablog6.skyrock.com/3264620004-Second-etage-Aile-centrale-Appartement-maurepas-Antichambre-ou.html
Portrait allégorique du roi Louis XV représenté par les vertus – 1762.
Huile sur toile de Van Loo Charles Amédée Philippe (1719-1795)
Ce tableau est une anamorphose, le visage de Louis XV se trouvant dispersé "façon puzzle" dans le tableau.
Les éléments sont disposés en cercle. Hauteur: 0.67 m. Largeur: 0.56 m
Escaliers
1a
Escalier du billard
4
Escalier des dupes
15
Escalier Fleury
Disparition de l'escalier de Fleury
https://maria-antonia.forumactif.com/t13991-disparition-de-l-escalier-de-fleury
Il va être détruit et reconstruit autrement
https://www.facebook.com/versaillespassion/17
Escalier rouge
19
Escalier semi circulaire
31
Degré du Roi36
Escalier d'Epermon42
Escalier des combles
51
Escalier de stuc ou Chimay Divers6
Local technique16
Local technique41
43
44
45
46
47
48
49
50
52
Second étage Aile centrale Appartement de la reine 2 Pièce attribuée à Axel de Fersen3 Pièce attribuée à Axel de Fersen Nous avions déjà des photos des lieux
https://maria-antonia.forumactif.com/t2461-fersen-logements-et-femmesainsi que des discussions et débats
https://maria-antonia.forumactif.com/t6116-la-chambre-d-axel-de-fersen-a-versailles#328384Dans un genre plus rock 'n roll
https://maria-antonia.forumactif.com/t7366-le-lit-de-fersen-a-versaillesBourvil (le guide) dans « Si Versailles m’était conté » de Sacha Guitry