La reine Marie Leszczynska

En ce qui concerne les enfants je vous rappelle sa phrase " toujours couchée, toujours grosse, toujours accouchée " à la naissance de Madame LOUISE - la carmélite, on demande au ROI "comment va-t-on appeler cette petite princesse.........MADAME SEPTIÈME, NON MADAME DERNIÈRE !!!" en réalité elle était le numéro 8 car il y avait eu quelques mois avant elle une fausse-couche.

La REINE aimait le jeu, elle perdait régulièrement de belles sommes !!!! cela ne lui a jamais été reproché !!!!!!!!et elle commandait de beaux atours fort chers !!!!!!!!!
La rencontre avec le Roi s'est passée sur la route menant vers FONTAINEBLEAU - desservant la ville de MORET S/LOING . la colonne se trouve près de ce carrefour !!!!
MORET S/LOING, ville des peintres et surtout par l'affaire sous LOUIS XIV de LA MORESSE DE MORET sans oublier les délicieux sucres d'orge !!!!!

Je vous informe que l'auteur sera présente au SALON DE L'HISTOIRE DE VERSAILLES fin novembre avec une belle brochette d'auteurs dont MICHELLE SAPORI entre autres.

C'est une amie et depuis de nombreuses années elle a sur sa table un projet déjà bien commencé sur MADAME ROYALE !!!!!! je vais la relancer sur le sujet .....


amicalement MARIE ANTOINETTE

Je crois Madame Louise Madame Huitième/Septième/Dernière parce qu'il y a une fille morte jeune entre les jumelles et le Dauphin. Elle s'appelait également Louise.
De ce fait, Madame Adélaïde est madame Quatrième/Troisième, etc. L'ordre de numérotation est tout chamboulé ! Savait-on pour une fausse couche le sexe de l'enfant ?
Une autre fille morte en bas-âge à Fontevrault s'appelait Thérèse-Félicité et est située entre Madame Sophie et Madame Louise.

Voici un portrait de la reine Marie
Fleurdelys

D'accord avec votre histoire Elle a connu Wissembourg en Alsace Bossue mais elle a aussi connu le Palais épiscopal de Saverne, et il se trouve que l'Alsace est toujours une des régions les plus pieuses de France.

source :

http://maisondelorraine.org/actualites2.php -

Merci. Je ne connaissais pas ce peintre.

Je l'ais souvent entendue décrite comme "pas très belle" voir même "laide" alors qu'en regardant les tableaux je la trouve douce avec un petit quelque chose intelligent dans le regard ... les peintres embelliraient-ils un peu leurs tableaux? En tous cas ceux ci-dessus sont des merveilles

L'inquisitrice du XVIIIe a écrit:

les peintres embelliraient-ils un peu leurs tableaux?

Cela vous étonnerait-il donc?
On photoshope bien , de nos jours, ce qui devrait être une photographie fidèle à l'image du sujet....alors...

Bien à vous.

Non, ça ne m'étonnerait pas du tout, mais j'ai cru comprendre que certains s'attachaient à donner à leur tableaux un maximum de réalisme contrairement aux autres, qui à ce que ceux-ci ne plaisent pas à la personne qu'ils représentent ...

En général avec les personnalités royales les peintres avaient l'habitude d'enjoliver histoire de minimiser les risques d'une déception qui pourrait être fatale pour leur carrière

Oui c'est sûr qu'il valait mieux les caresser dans le sens du poil

On sait que Louis XV en tombe subitement amoureux et lui reste fidèle plus de dix ans. Donc elle avait certainement de la beauté et du charme.

Elle devait être tout simplement normale : pas le canon du siècle mais pas non plus la femme la plus laide du monde. Entre les deux.

Les parents de cette reine de France



Le roi Stanislas




Catherine Opalinska

La sœur de la reine de France, celle dont on ne parle jamais. A vrai dire, j'ignorais même le fait qu'elle avait une sœur !



Anne Leszczynska

Voici ce que dit wikipédia sur sa soeur :

"Anne Leszczynska, en polonais Anna Leszczyńska, née le 25 mai 1699 à Trzebnica en Silésie, décédée le 20 juin 1717 au cloître de Gräfinthal en Sarre-Palatinat, est une princesse polonaise de la maison Leszczyński[1].

Filiation

Première fille de Stanislas Leszczynski, roi de Pologne et futur duc de Lorraine, et de son épouse la reine, née comtesse Catherine Opalinska, elle est de deux ans l'aînée de Marie Leszczynska, sa sœur qui épousera en 1725 le roi de France Louis XV. Des deux sœurs, Anne semble la préférée de son père[2]. Elle reçoit une éducation soignée.


Décès prématuré

Elle meurt d’une pneumonie à l'âge de dix-sept ans, le 19 décembre 1718, au monastère de Gräfinthal où elle sera enterrée. Les nombreux médecins appelés à son chevet par le roi Stanislas ont vraisemblablement accéléré le décès, multipliant les purges et les saignées[3].

Cette mort plonge la famille Leszczynski dans un profond désarroi. De douleur, le roi Stanislas demande à sa seconde fille Marie de ne plus jamais prononcer le nom d'Anne devant lui et Marie Leszczynska intègre si bien la consigne que le roi Louis XV, son époux, sera un jour étonné d'apprendre qu'elle avait une sœur[4].


Notes et références


1.↑ Edmund Cieślak, Stanisław Leszczyński, pp. 45-46, Zakład Narodowy im. Ossolińskich, Varsovie 1994 (ISBN 978-8304036727)
2.↑ Sarah Coffin, Bodo Hofstetter Portrait Miniatures in Enamel : The Gilbert Collection, p. 87, Philip Wilson, Londres 2000 (ISBN 978-0856675133)
3.↑ André Rossinot, Emmanuel Haymann, Stanislas, le roi philosophe, p. 93, Michel Lafon, Paris 2004 (ISBN 978-2749902081)
4.↑ Bożena Krzywobłocka, Wielkopolskie damy (Grandes dames polonaises), p. 123, Krajowa Agencja Wydawnicza, Poznan 1986 (ISBN 83-921829-0-1)

Autre portrait d'elle ( source : Google image )

Marie Leszczynska en 1725

Marie Leszczynska / le dauphin

Marie Leszczynska

Merci pour tous ces portraits. La princesse Anne était très jolie.

Je viens de tomber sur ce portrait ainsi intitulé :

anonyme ; SANTERRE Jean-Baptiste (d'après)
	MARIE LECZINSKA, REINE DE FRANCE (1703-1768) ; DITE AUTREFOIS LOUISE-ADELAIDE D'ORLEANS, ABBESSE DE CHELLES
	XVIIIe siècle
	Versailles ; musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
	MV 3725 ; INV 7841 ; B 1931

Correspond-il vraiment à sa nouvelle appellation?
N'est-ce pas confondre avec Ce portrait qui aurait été peint par la reine Marie Lezczinska tout exprès pour les carmélites de Compiègne?


Bien à vous.

Bonne question

J'ai lu qu'elle avait le désir de rentrer au Carmel après la mort de son fils. La mort la prendra trop tôt. Qu'elle se soit fait peindre en carmélite pourquoi pas.
Le fauteuil fleudelysé, la couronne fermée, ne peut que correspondre à une reine de France, pas une Orléans.
Et je trouve qu'on y reconnaît bien le visage de le reine.

Je ne me souvenais pas de ce désir de Carmel... Elle y aurait devancé sa fille, Madame Louise...

Bien à vous.