| | Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum | |
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Invité Invité
| Sujet: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Ven 7 Mai - 15:35 | |
| Aux origines du musée de la musique: Les collections instrumentales du Conservatoire de Paris : 1793-1993 de Florence Gétreau Klincksieck, 1996, 798 p |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Ven 7 Mai - 17:40 | |
| Philosophies de la musique: 1752-1789 de Belinda Cannone Klincksieck, 1990, 310 p : 33 euros |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Jeu 10 Juin - 18:25 | |
| Charles-Hubert Gervais. Un musicien au service du Régent et de Louis XV de MONTAGNIER JEAN-PAUL C. . Paris, CNRS Éditions, 2001, 325 p. (Coll. " Science de la Musique ".) |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Jeu 10 Juin - 23:12 | |
| Joseph Bodin de Boismortier, 1689-1755. Un musicien lorrain-catalan à la cour des Lumières de PERREAU STEPHAN. Montpellier, Les Presses du Languedoc, 2001, 239p. (Coll. " Musique et Patrimoine en Languedoc ".) |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Jeu 17 Juin - 12:47 | |
| -Les ménétriers français sous l'ancien régime de Luc Charles-Dominique Klincksieck , 2000, 335 p : 27,50 euros |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Mar 31 Aoû - 17:00 | |
| Marc-Antoine Charpentier : Un musicien retrouvé de Catherine Cessac Mardaga Editions , 2005, 414 p : 55 euros
Résumé Amazone :
"Marc-Antoine Charpentier (1643-1704) est reconnu aujourd'hui comme l'un des plus grands compositeurs français. Ayant principalement exercé son art à Paris, il a occupé des postes prestigieux chez Mademoiselle de Guise, auprès de Molière et de ses successeurs de la Comédie-Française, à l'église Saint-Louis et au collège Louis-le-Grand de la puissante Compagnie de jésus, enfin à la Sainte-Chapelle. Si Charpentier n'a jamais obtenu de poste officiel à la cour, il se fit néanmoins apprécier de Louis XIV Travailleur infatigable, il a laissé une œuvre considérable en nombre, en variété et surtout en qualité, cette dernière s'avérant tout à fait exceptionnelle. Ayant séjourné à Rome, il demeura toute sa vie influencé par le style italien dont sa musique retire une grande part de son originalité. Réunissant les principaux articles parus dans le Bulletin de la Société Marc-Antoine Charpentier de 1989 à 2003 et dont certains ont été réactualisés, cet ouvrage permet de mesurer les avancées de la recherche sur Charpentier durant ces quinze dernières années qui ont révélé des éléments de première importance : le seul portrait du compositeur, des apports essentiels sur son environnement familial et social, sur l'histoire des manuscrits musicaux, la mise à jour de pièces et de sources nouvelles. Ces études s'accompagnent d'autres ayant trait à la manière de composer de Charpentier, aux circonstances d'exécution, à l'interprétation et à l'analyse des œuvres. " |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Mar 14 Sep - 17:46 | |
| Henry Madin (1698-1748) : Un musicien lorrain au service de Louis XV de Jean-Paul Montagnier Dominique Guéniot , 2008: 28,50 euros |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Mer 15 Sep - 8:24 | |
| L'opéra seria ou le règne des castrats de MOINDROT (Isabelle Fayard, 1993, 323 p
En quatrième de couverture :
" Genre lyrique extrêmement en vogue durant tout le XVIIIe siècle, l'opéra séria (« l'opéra sérieux » par opposition à l'opéra buffa) constitue l'un des grands moments de l'histoire de l'opéra. Né et développé en Italie, son rayonnement s'étendit à toute l'Europe, à l'exception de la France demeurée fidèle à la tragédie lyrique de Lully et Rameau. Divertissement majeur du « siècle des Lumières », servi principalement par un important bataillon de compositeurs plus ou moins oubliés, spécialistes exclusifs du genre, l'opéra séria, après une éclipse de près de deux cents ans, connaît de nos jours un fort regain de faveur grâce aux chefs-d'œuvre, récemment remis à l'honneur, que, parmi beaucoup d'autres, lui consacrèrent des créateurs aussi importants que Haendel, Vivaldi, Pergolèse, Mozart ou Gluck. Livrets politiques souvent inspirés des tragédies classiques françaises de Corneille ou Racine ; sujets puisés dans l'histoire ancienne ou la mythologie, et traités toujours avec noblesse et dignité, thèmes exaltant la justice et la clémence des dieux et des souverains, tels sont les ingrédients de ces drames musicaux où alternent récitatifs et airs. Mais tout codifié qu'il fut, ce genre embrasa un continent durant tout un siècle par la somptuosité ornementale, la liberté et la virtuosité de l'art vocal auquel il donna naissance, et que servit avec une prouesse technique inégalée une race de chanteurs aujourd'hui disparue : les castrats. Premier ouvrage de synthèse jamais consacré à cet empire dramatique que fut l'opéra séria, qui recouvre à lui seul un quart de toute l'histoire de l'opéra, ce livre tente de cerner ce genre lyrique sous ses aspects politiques, économiques, littéraires, philosophiques, dramaturgiques, musicaux, vocaux et esthétiques." |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Mar 5 Oct - 19:55 | |
| Les contredanses du journal musical liégeois « L'Écho » (1758-1773) de VAN AELBROUCK (Jean-Philippe) Ministère de la Communauté Française de Belgique - Direction Générale de la Culture, 1986. 108 p
Table des matières :
"Préface, par Jean-Michel Guilcher. Introduction, par Jean-Philippe Van Aelbrouck. I. Le journal L'Écho. II. La contredanse à la fin du XVIIle siècle. III. Analyse des pas. - Remarques sur les contretemps, par Francine Lancelot. - Kinétogrammes. IV. Analyse des figures. A. La contredanse dite française. - Remarques sur la contredanse française dans nos régions. B. La contredanse dite anglaise. - Diagrammes. V. Orientation bibliographique. VI. Table des contredanses de L'Echo. Recueil des contredanses. Index des contredanses." |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Ven 19 Nov - 17:51 | |
| Lorenzo da Ponte : Le librettiste de Mozart 1749-1838 de Cyrille Piot L'Harmattan , 2008, 258 p : 23 euros
Résumé Amazone :
"Né dans une famille juive de la République de Venise en 1749, Lorenzo Da Ponte se convertit au christianisme, devient prêtre puis se livre à la débauche, ce qui lui vaut d'être banni de Venise. Da Ponte est célèbre pour avoir écrit le texte des trois opéras les plus connus de Mozart: Les Noces de Figaro, Don Juan et Cosi fan Tutte. Il fut, à la fin du XVIIIe, le meilleur librettiste de Vienne, sa collaboration était recherchée par tous les compositeurs. C'est ainsi qu'il écrivit pour Mozart, Salieri, Martin y Soler et bien d'autres encore... Protégé par Joseph II, l'empereur d'Autriche, il dut partir de Vienne à la mort de celui-ci et s'exiler à Londres où il put reprendre son activité de librettiste pendant onze ans. Mêlé à une vaste escroquerie financière, il fut une nouvelle fois contraint à l'exil en Amérique. Là, il se fit épicier, professeur, distillateur, commerçant en gros, libraire. Il fut l'un des fondateurs de l'Université de Columbia et le promoteur de ce qui deviendra le Metropolitan Opera de New York. Il meurt à New York en 1838 à l'âge de 89 ans."
Mémoires de Lorenzo Da Ponte, librettiste de Mozart de Lorenzo Da Ponte, Dominique Fernandez Mercure de France, 2000, 390 p : 7,47 euros |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Ven 19 Nov - 17:53 | |
| 1791, La dernière année de Mozart de H-C Robbins Landon Fayard, 2005, 320 p : 20 euros
Résumé Amazone :
"Mozart meurt le 6 décembre 1791 à l'âge de trente-cinq ans. Cette mort précoce, frappant un être en qui a été reconnu le plus grand génie de la musique, fait se poser de multiples questions. Pourquoi, alors qu'il avait connu le succès, sa dernière année a-t-elle été entourée de tant de misère ? Pourquoi un abandon tel que sa sépulture fut la fosse commune ? Quel rôle a joué sa femme Constanze ? Quel était le visiteur mystérieux qui lui commanda, quelques semaines plus tôt, un Requiem (qu'il n'acheva pas) ? Salieri, jaloux, l'a-t-il empoisonné ? Et ses frères francs-maçons n'avaient-ils pas de griefs contre lui ? H.C. Robbins Landon a exhumé et scruté toutes les archives possibles pour brosser le tableau de cette dernière année de Mozart, qui vit l'éclosion de chefs-d'œuvre tels que La Clémence de Titus, La Flûte enchantée et le Requiem. Ne négligeant aucun détail qui permette de comprendre la vie quotidienne du compositeur dans la Vienne impériale, il fait ainsi justice, par une démonstration rigoureuse, de toutes les suppositions qui ont fleuri à propos de ce qu'il appelle " la plus grande tragédie de l'histoire de la musique ". |
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| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Ven 19 Nov - 17:56 | |
| La Réception des opéras de Mozart dans la presse parisienne (1793-1829)de Belinda Cannone Klincksieck, 1991, 360 p : 33,50 euros
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Sam 20 Nov - 17:18 | |
| La Lutherie en France au XVIIIe siècle
http://www.lausanne.ch/Tools/GetLinkedDoc.asp?File=4657... - |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Aux origines du musée de la musique: Les collections instrum Ven 26 Nov - 20:03 | |
| La Musique Française au XVIIIème siècle
http://sites.univ-lyon2.fr/musiquefr-18/ |
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