Grand-maître des cérémonies
À l'époque médiévale hérauts étaient en charge de la priorité et les cérémonies, mais dans les positions du 16e siècle spécifiques développés pour l'organisation des fonctions importantes.
Les ordres royaux de Saint-Michel (1465) et Saint-Esprit (1578) ont eu leur propre maître des cérémonies.
Dans la fin du 16ème siècle, comme des questions de préséance est devenu plus complexe, un poste permanent a été créé en 1585 sous l'autorité du Grand-Maître, celle de grand-maître des cérémonies (grand-maître de cérémonie), complété plus tard avec un maître et un aide.
Les cérémonies organisées par lui étaient nombreuses: mariages, baptêmes, serments, lits de justice (quand le roi a siégé au Parlement), les arrivées et les départs de sovereing et des princes, des réceptions des ambassadeurs et des légats, Te Deum et des réjouissances publiques, les processions, les couronnements, etc Son symbole de l'autorité était un personnel surmonté d'une bille d'ivoire et recouvert de velours noir.
Le dernier titulaire du poste était le marquis de Dreux-Brézé, dont la place dans l'histoire a été assurée par être sur l'extrémité de réception de l'art oratoire de Mirabeau, quand, le 20 Juin 1789, at-il dit en vain l'Assemblée nouvellement formé national à quitter le locaux.
La réception des ambassadeurs par le roi, la reine et des princes a été géré par une fonction spécialisée, celle de conducteur des ambassadeurs, d'abord subordonné à des cérémonies grand-maître des, mais par le règne de Louis XIV la position, maintenant appelé introducteur des ambassadeurs, devenu indépendant de lui.
Sainctot a occupé ce poste sous Louis XIV.
Il a été assisté par un ordinaire Secretary versez la Conduite des ambassadeurs. T
ous deux étaient sous le Grand-Maître de France
Gentilhommes ordinaires du Roi
Il y avait 26 gentilhommes du Roi (messieurs en attente), chaque portion pour une demi-année.
Ceux qui sont sur le devoir resté proche du roi, en tout temps afin de prendre ses ordres.
Leur fonction principale est d'effectuer des ordres ou des annonces.
Ils ont été envoyés à des tribunaux étrangers à notifier la naissance d'un prince royal, ou pour envoyer des condoléances ou de félicitations à un souverain étranger.
Ils ont été envoyés à la frontière pour recevoir et accompagner un souverain en visite étrangère.
Ils ont aussi servi comme aides-de-camp du roi en temps de guerre.