1er janvier 1680: Attribution au Roi par la ville de Paris du nom "Louis le Grand"

Lundi 1er janvier 1680

Circoncision

Attribution au Roi par la ville de Paris du nom "Louis le Grand"



Circoncision


Accompagné des chevaliers de l'Ordre, le Roi entend la messe célébrée en la chapelle du vieux château de Saint Germain par l'archevêque d'Embrun, évêque de Metz (Georges d'Aubusson de La Feuillade), commandeur de ses ordres



Georges d'Aubusson

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   Évêque de Metz (1669-1697)
   Archevêque-prince d'Embrun (1649-1668)
   Né vers 1612
   Décédé le 12 mai 1697 à Metz (Cathédrale) à l'âge de 85 ans
   Inhumé à Metz (Cathédrale)

Parents

   François d'Aubusson, comte de La Feuillade +1632
   Isabeau Brachet, baronne de Perusse +1638

   Filleule: Anne Cappy 1694


Il est le frère de François III d'Aubusson, maréchal-duc de La Feuillade (1631-1691) et l'oncle de Louis d'Aubusson, duc de La Feuillade, dit le maréchal-duc de La Feuillade.


Il devint Archevêque d’Embrun (1648), de Gap (1649) puis de Metz (1668), il est le 91e évêque-prince de Metz, de 1669 à 1697, et conseiller d'État d'église.

Il fut ambassadeur en Espagne de 1661 à 1664.


Il fut très insistant à l'assemblée du clergé pour sévir contre les protestants (Assemblée de 1651)


En 1696, Dangeau: "On mande de Metz que M. l’évêque de Metz a perdu toute connoissance; on le croit mort présentement". Cet évêché vaut du moins 25 000 écus de rente. L'année, suivante, en 1697: "M. de Metz étoit mort à Metz le 12 de ce mois [de mai], outre cet évêché qui vaut 80,000 livres de rente, il avoit plusieurs abbayes et avoit une pension sur l'archevêché d'Embrun, qu'il garda quand il s'en démit; il étoit commandeur de l'ordre, de la promotion de 1662, et avoit une place de conseiller d'État d'Église; il laisse une grosse succession, et le duc de la Feuillade est son unique héritier."


Une sombre affaire est révélée en 1696: alors qu'il est sénile, son neveu le duc de la Feuillade pille ses coffres « de crainte que ses domestiques n'en profitent pour le faire »


Il prend plus de 80 000 livres. Saint-Simon décrit le prélat comme familier du roi, avare et plaisantant facilement de sa propre avarice.


Il était devenu sénile trois ou quatre ans avant sa mort.