Les curiosités de la famille Louvel.

per a écrit:

Il est vrai que l'affaire est des plus curieuses. Réfléchissez.

C'est bien le problème : sa nébulosité décourage d'y réfléchir sérieusement .

Merci de répondre à ma place !  

Le détail est compliqué mais le résumé est simple. Robespierre, après avoir enlevé Louis XVII, l'a abrité en 1794 dans une famille de Versailles qu'il connaissait depuis 1789. Levrai Louvel, absent du foyer paternel depuis 1791, est sorti de son institution parisienne en 1795. Son père s'en est "défait" et Louis XVII est devenu Louvel Louis-Pierre, né le 7/10/1783 à Paris. Ceci est bien sûr une hypothèse, mais qui repose sur des constatations issues de documents d'époque (ou recoupées par plusieurs ouvrages).
Notons aussi que le secrétaire de Robespierre, Villiers, fit part des visites à Robespierre d'une jeune fille dans les années 1790-1791. Serait-ce Marie-Thérèse Louvel, demi-sœur du régicide (18 ans en 1789) et mercière de son état ?

Il faut qu'en plus la sœur s'appelle Marie-Thérèse ? Comme le monde est petit !

Marie-Thérèse et Françoise, la seconde sœur. Sinon, il y avait Jean-Pierre, un frère installé à Fécamp. Devenu à moitié fou à cause de l'alcool. Avec le régicide, cela faisait quatre survivants sur onze enfants; nés de deux lits du père Louvel, le mercier de Versailles.
Saviez-vous que le confesseur de la duchesse d'Angoulême fut chargé par le Roi Louis XVIII de tirer les vers du nez de Louvel, emprisonné à la Conciergerie. Ce confesseur, l'abbé Arnoux, mourut curieusement 24 ou 48 heures avant l'exécution du sellier des Tuileries.

Concrètement per où en êtes vous dans vos recherches? C'est une vraie question que je pose

A l'arrêt. Aucune piste à suivre. Je vais essayer de faire éditer un livre dans une grande maison d'édition. Laquelle ?

Ah c'est franc au moins, et honnête c'est tout à votre honneur
Si seulement tous les survivantistes étaient capables d'une telle auto-critique je les lirais avec bien plus de plaisir.

Quant à une maison d'édition je n'y connais rien désolé