L'officier responsable de la première fusillade est arrêté afin d'apaiser les esprits.
(Jean Favier, Chronique de la Révolution 1788-1789. [archive])
Le même jour
Le colonel du Royal-Marine, le marquis d'Ambert, écrit au ministre Loménie de Brienne qu'il déplore 17 hommes à l'hôpital et que M. Boissieu, lieutenant-colonel du régiment d'Austrasie, a reçu un grave coup à la tête.
(Eugène Chaper, La Journée des Tuiles à Grenoble (7 juin 1788): Documents contemporains en grande partie inédits recueillis et publiés par un vieux bibliophile Dauphinois)
De leur côté, les parlementaires ne souhaitent pas résister aux ordres d'exil prononcés à leur encontre par le roi, et quittent Grenoble le 12 juin dès qu'ils peuvent échapper à la surveillance des habitants.
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