Jean-Paul Marat

.....    burp !

Boire, comme fumer, nuit gravement à la santé .    La preuve, Marat a bu la tasse !

Au fait, que dit la lettre qu'il tient encore serrée entre ses doigts, ce petit mot de Charlotte sur quoi il a accepté de la recevoir ? .......
Zoomons ! ....... voici :

Alors lui... La pourriture à l'état pur (avec Hébert).
Rien que voir sa gueule me donne envie d'aller hurler dans les toilettes...

CALONNE a écrit:

Alors lui... La pourriture à l'état pur (avec Hébert).
Rien que voir sa gueule me donne envie d'aller hurler dans les toilettes...

Il ne faut pas oublier que Marat est un petit suisse.
Mais dans la famille Marat, il y a Jean-Paul mais il y a aussi les autres...

http://histoire-education.revues.org › Numéros › 93 › Notes critiques


La saga des Marat, le grand souffle de l'histoire ! Oufti !!!

GOËTZ (Charlotte). – Marat en famille. La saga des Mara(t). Tome I : Sardaigne-Suisse. Tome II : Suisse-Grande-Bretagne-Hollande-France-RussieBruxelles : Pôle Nord, 2001. – 271 p. et 235 p. (Chantiers, 7 ; .>> http://histoire-education.revues.org/923

Dans la famille Marat, le plus demandé est Jean-Paul, le Conventionnel assassiné dans sa baignoire. Son frère David jouit aussi d’une petite notoriété comme professeur au lycée impérial de Tsarskoïe-Selo, où il eut notamment Pouchkine pour élève. Le père Jean, enfin, Sarde émigré en Suisse, n’ai laissé que des traces éparses d’une vie dont Charlotte Goëtz s’est attachée, pour la première fois, à reconstituer le fil. Son livre se propose d’éclairer la biographie de ces trois personnages à partir de documents originaux, pour rectifier les jugements haineux ou simplement hasardeux qu’ils ont insp ...
Publication :
Type de publication : Revues • Type de document : Note critique
Auteur :
Pierre Caspard
Date de publication :
janvier 2002
Disponibilité du document :
Texte intégral disponible en accès libre

Au risque de décevoir ses détracteurs les plus vifs (et il y en a ici ! ), la relation de l'enterrement de Marat :

(Extraits du Correspondant, tome 71, publié en 1867)

Amusante, la représentation du meurtre de Marat par le Musée Grévin (ceci est la présentation d'origine, elle a été modifiée en 2001).
La baignoire est véritablement celle de Marat, témoin authentique de l'action...

C.F Chauveau-Lagarde a écrit:

Amusante, la représentation du meurtre de Marat par le Musée Grévin (ceci est la présentation d'origine, elle a été modifiée en 2001).

Comme vous dites, cher Chauveau-Lagarde !  Simone Evrard, la bonne amie de Marat, fait du sémaphore :




Ce qui est curieux, c'est que cette baignoire du musée Grévin ( dont la traçabilité établit l'authenticité ) ne ressemble pas du tout à celle que représente David  .
 Le peintre a pourtant rendu visite à Marat avec quelques députés jacobins deux jours avant son assassinat !  


En revanche la fameuse baignoire, dans le tableau de Jean-Jacques Hauer ( 1751 - 1829 ) , semble bien pouvoir être celle du musée Grévin .



C'est l'antique baignoire sabot, par excellence, qu'une simple tablette transforme en écritoire .

Projection du film: "David et la mort de Marat, un peintre en révolution" à l'auditorium de musée Lambinet, le 24 mars 2013 à 15h suivie d'une conférence avec le réalisateur à 16h.

La toile la plus célèbre sur l'assassinat de Marat est en voyage.
https://maria-antonia.forumactif.com/t9573-13-juillet-1793-25-messidor-assassinat-de-marat-par-charlotte-corday

Invité a écrit:

Je ne lui nie pas un certain humanisme quant à sa démarche de médecin. Humanisme qui disparaît totalement en politique.

C'est pourtant bien lui qui écrivait qu'en coupant 100 têtes, on en sauverait 100.000 ! Il me semble qu'il était visionnaire. En Histoire, il faut être objectif ou aller jouer aux boules plutôt que de s'y intéresser.

pilayrou a écrit:

Invité a écrit:

Je ne lui nie pas un certain humanisme quant à sa démarche de médecin. Humanisme qui disparaît totalement en politique.

C'est pourtant bien lui qui écrivait qu'en coupant 100 têtes, on en sauverait 100.000 ! Il me semble qu'il était visionnaire. En Histoire, il faut être objectif ou aller jouer aux boules plutôt que de s'y intéresser.

Quelle horreur et quel cynisme !

Scoop !
On sait pourquoi Marat passait sa vie dans sa baignoire.

• Le 13 juillet 1793, l'homme politique montagnard travaille dans son bain, en annotant son journal l'Ami du Peuple. Il accepte de recevoir Charlotte Corday, une révolutionnaire girondine. Elle le poignarde par surprise dans le poumon droit, l'aorte et le coeur, et le tue. Le journal se retrouve taché de sang, comme l'a immortalisé son ami Jacques-Louis David dans son célèbre tableau «La Mort de Marat».

Mort de Marat - Tableau de Jacques-Louis David (1793), conservé au Musée des Beaux-Arts de Belgique

• UN MYSTERE RESOLU ?
  
  Pour percer le mystère de sa maladie, une équipe de scientifiques biologistes de Barcelone s'est rendu à la Bibliothèque Nationale de France il y a un an. Elle a prélevé des échantillons de sang sur l'exemplaire du journal conservé.
  
  Les chercheurs ont récolté «plus de 500 millions de séquences d'ADN» dont 72 millions seraient humaines et appartiendraient à Marat. Selon le quotidien espagnol El Pais, ils seraient parvenus à trouver également de «l’ADN de virus, de bactéries et de champignons dans le sang de Marat.». Après avoir analysé ces ADN externes, ils auraient conclu que Marat aurait atteint par le champignon Malassezia restricta, qui aurait provoqué chez lui une maladie de peau appelée «dermatite séborrhéique».
  
  
  DES DOULEURS MASSIVES
  
  Comme l'explique le journal, la maladie s'était d'abord déclenchée dans l'aine, avant de se répandre «sur tout son corps, causant de terribles démangeaisons et des ulcères douloureux qu’il ne pouvait soulager que dans une baignoire». Marat pensait avoir été contaminé dans les égoûts de Paris, où il se réfugiait régulièrement pour échapper à ses ennemis politiques. Durant la période de la Terreur, de nombreux révolutionnaires ont été décapités ou assassinés sauvagement.
  
  
  UNE MORT PROGRAMMEE
  
  Selon le chercheur Carles Lalueza-Fox, «Il n'existait pas de traitement à l'époque contre cette infection.» Si le champignon avait déjà atteint le sang de Marat, le Révolutionnaire aurait pu mourir dans les semaines d'après d'une septicémie. Les résultats ont été publiés sur la plateforme scientifique Biorxiv. Ils n'ont pas encore été confirmés par d'autres équipes scientifiques.
  https://www.cnews.fr/

Beurk ça craint.

Marat tranquilou dans son bain