Le tulipier de Marie-Antoinette

Livre à paraître, cette étude au propos original.

Le tulipier de Marie-Antoinette

Auteur : Michel Guiard
Pas encore de visuel.

• Résumé :
  Jean-Louis Levallois, narrateur et personnage central, relate son enfance et ce père disparu au cours de la Seconde Guerre mondiale, dont l'absence pèse si lourd dans sa vie.
  
  Se remettant d'une crise cardiaque et vivant dans une grande solitude, il se lance à la recherche de ses racines paternelles, tandis qu'il se promène régulièrement dans les jardins de Trianon, parmi les arbres centenaires intimement liés aux dernières années de la vie de Marie-Antoinette.

Oui, le scénario est original.

En effet.

Ok c'est entendu. On va suivre.

Infos sur le tulipier de Virginie.

https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Tulipier-de-Virginie.html

La reine Marie-Antoinette restera à jamais associée à cet bel arbre.

... L'arbre a été introduit en Europe en 1663 et il est depuis courant dans les parcs du continent. Il a été introduit en France à partir du début du XVIIIe siècle, notamment par La Galissonnière. Le plus connu fut planté au Petit Trianon de Versailles pour la Reine Marie-Antoinette en 1771 et abattu par la tempête de décembre 1999. L'année d'après l'arbre a été acheté par monsieur Vialis coutelier à Sauveterre-de-Rouergue dans l'Aveyron afin de fabriquer avec son bois des couteaux numérotes de 1 à 1755. La souche de l'arbre peut être vu dans le village de Sauveterre...

Si vous voulez admirer des tulipiers, il y en a au domaine de La Motte-Feuilly.



Ils y prospèrent en puisant l'eau des douves et, pas de panique, votre reine adorée reste attachée à leur histoire.

• La plus célèbre propriétaire de ce château, Charlotte d’Albert, épouse oubliée du mystérieux César Borgia et sœur de Jean III, roi de Navarre, semble encore hanter ces lieux. Dans le jardin à la française du château de La Motte-Feuilly, l’air se remplit du parfum délicat des fleurs. Une fragrance douce et apaisante. Le vent caresse les feuilles des tulipiers de Virginie, plantés il y a 250 ans, comme un écho des siècles passés.
  
  Ces majestueux arbres sont reconnus comme arbres remarquables depuis 2021. Ils sont enveloppés d’une légende les reliant à une histoire ancienne. En 1771, selon la tradition, ces arbres ont été plantés à la même époque que ceux du château de Versailles. La légende raconte que c’est Marie-Antoinette elle-même qui les aurait offerts au château de La Motte-Feuilly. « Ce sont des arbres de la même essence que ceux de Versailles », rapporte Thomas Vincent, jardinier et directeur général du site historique du château de La Motte-Feuilly. Tous ceux de Versailles ont malheureusement été abattus lors de la tempête dévastatrice de 1999.
  
  Dans le bosquet de la Reine à Versailles, près de 20.000 arbres sur les 200.000 présents ont été détruits. C’est alors dans cette vision mythique qu’un jeune arbre du château de La Motte-Feuilly a été replanté dans les jardins du château des Yvelines, et dans le domaine du Désert de Retz, à Chambourcy. « La boucle est bouclée », se réjouit Thomas Vincent. Historiquement, ce geste revêt alors une grande importance : « L’hiver dernier, nous avons rendu à Versailles ce qui appartient à Versailles. »
  
  L’un des atouts du château réside dans sa fondation sur l’eau, qui reste toujours humide. Pour les huit tulipiers de Virginie, « nous ne leur apportons aucun soin particulier, car leurs racines baignent dans les douves », explique Thomas Vincent. Il est pratiquement impossible que les fosses manquent d’eau, même lors de fortes canicules. « Leur niveau ne baisse jamais, même en plein été, malgré des températures atteignant 40 °C pendant deux semaines. »
  
  Au château, on s’efforce de les préserver et de vendre des jeunes baliveaux aux particuliers. Seul bémol de ces irréductibles feuillus : « Ils ont peut-être été plantés trop près les uns des autres », constate le jardinier. Cette proximité les empêche de déployer tout leur potentiel. Thomas Vincent craint le jour où ces arbres finiront par tomber sous le poids de l’âge, ou d’un épisode météorologique. « Je préfère ne pas être là, ou ne plus être là, quand cela arrivera. » Ces tulipiers culminent à environ 35 mètres de haut, le plus gros ayant une circonférence de 1,30 m. « S’ils devaient chuter, ce serait directement sur la façade du château », conclut-il.
  

Source :
https://www.lanouvellerepublique.fr/

Chère Note For Later,

Je vous remercie de nous avoir signalé un nouveau lieu de promenade très intéressant.

Bien à vous

madame antoine