Architecture au XVIIIe siècle

Savez-vous le nom des bidules qui protégeaient les murs du frottement des roues ?

Ne sont-ce pas des gendarmes...pas couchés?
J'essaie cette solution sans vérification aucune...

Bien à vous.

Est-ce que ce n'est pas tout simplement une borne ?

Lors d'une promenade dans le Quartier Latin, nous avons remarqué une grande .....hmmm! comment dire ......  encoche dans le bas de murs formant un angle de rues. Un ami nous a expliqué qu'elle était pratiquée pour donner de l'aisance aux roues des voitures qui prenaient ce virage .
Le contraire de cette borne, en somme !

Oui, je l'ai vue . Mais où ?

Non hélas je ne connais pas le terme de cette borne. j'ai un vieux livre d'architecture de la ville au XVIIIe siècle à la campagne. J'y vais ce week end et je vais le rapporter et voir si j'ai ce renseignement.

Merci 

photo de 1865 par CHARLES MARVILLE une entrée d'hotel particulier avec de belle BORNES CHARRETIERES pour empêcher les charettes ou les carrosses de taper contre les murs
ces bornes servaient aussi de refuge aux piétons lors du passages des voitures et éviter la boue et les ordures !!!!

avec mon Père, un matin de très bonne heure, sur le quai de BOURBON dans l'ILE ST LOUIS, j'ai vu un chat complètement hérissé faisant le gros dos qui tenait en respect un énorme gaspard tout gluant qui lui montrait les dents planqué derrière la borne d'un hotel particulier !!!!
mon père d'un coup de chaussure a obligé le rat à quitter son refuge derrière la borne et le chat l'a attrapé , le rat était aussi gros que le chat !!!!!!
nous avions l'habitude de vivre en compagnie de ces gros rats d'égouts !!!!!! j'ai eu un chat qui rapportait à la maison ses prises !!! une nuit il a rapporté un rat vivant et mes parents on du déplacer l'armoire ancienne pour attraper et tuer le rat - le chat a été invité à ne plus rapporter ses proies vivantes et quelque temps après, ma Mère ouvrant la porte de la cuisine, par laquelle le chat circulait , s'est mise à hurler ..........sur le sol, il y avait une grosse et grande queue de rat ..... le chat avait obéi aux ordres du Maître !!!!!

MARIE ANTOINETTE

Quelle horreur ! C'est sans doute à cause de la Seine toute proche que vous étiez envahis par ces répugnantes bestioles !

MERCI - pour compléter cette recherche, on trouve le terme de CHASSE ROUE
ou BOUTE-ROUE -  BOUTEROUE et des synonymes  GARDE-GREVE et GARDE HEURT en NORMANDIE

pour affiner notre curiosité sur le sujet il faut aller sur  "efpphr.free.fr/chasseroue.htm" la collection en photos couleurs est superbe  - comme exemple
ci-joints
borne du 51, rue SAINT LOUIS EN L'ILE - ILE ST LOUIS  HOTEL CHENIZOT  - je me suis souvent posée sur ces bornes !!!!



un bel animal XIX° à TOURS en fer


encore une belle journée pour notre instruction grâce au BOUDOIR - je serai moins "idiote" ce soir en me couchant surtout après avoir regardé NICOLAS LE FLOCH !!!

MARIE ANTOINETTE

MARIE ANTOINETTE a écrit:

MERCI - pour compléter cette recherche, on trouve le terme de CHASSE ROUE
ou BOUTE-ROUE -  BOUTEROUE et des synonymes  GARDE-GREVE et GARDE HEURT en NORMANDIE

Eh bien, Clio va être comblée !  

Je le suis ! Merci beaucoup

Les chats sont toujours obéissants !

On annonce un colloque sur l'architecture et le décor aux XVIIe et XVIIIe siècle.

Colloque international : « Décor et architecture (XVIIe-XVIIIe siècle) : entre union et séparation des arts »


Le décor, à la période moderne, est considéré comme l’une des parties fondamentales de l’architecture. Grâce à lui, celle-ci se distingue de la simple maçonnerie et peut revendiquer une forme d’excellence. Dans une telle perspective, le décor est une condition essentielle à l’architecture et non pas un élément marginal. Ce statut privilégié n’empêche cependant pas les commentateurs de s’en méfier : ils craignent la prolifération incontrôlée de l’ornement, qu’ils jugent nuisible à l’architecture. Le présent colloque ambitionne d’interroger la manière dont les rapports entre décor et architecture ont été pensés et pratiqués dans l’Europe des XVIIe et XVIIIe siècles.
Notre perception de ces liens est souvent informée par des approches téléologiques. Ainsi, les thèses radicales véhiculées par certains écrits au xxe siècle, renvoyant le décor à la périphérie de l’architecture, ont-elles agi à la manière de prismes déformants. L’histoire de l’art, pour sa part, a souvent séparé l’étude du décor de celle de l’architecture, instituant de fait une rupture entre ces deux champs, susceptible de biaiser notre compréhension de la production artistique à la période moderne et d’en réduire la portée. Les études de cas révèlent des différences notables dans les modalités de l’invention du décor d’un édifice à l’autre. Les prérogatives des architectes s’avèrent variables selon les circonstances et les contraintes auxquels ils sont soumis, certains étant fortement impliqués dans la conception du décor, tandis que d’autres en laissent le dessein aux artistes ou hommes de métiers.
Pour toutes informations pratiques, date, modalités et intervenants, on se référera ici.
http://blog.apahau.org/colloque-international-decor-et-architecture-xviie-xviiie-siecle-entre-union-et-separation-des-arts-universite-de-lausanne-24-25-novembre-2016/
madame antoine