Marie Antoinette Houston Ballet Montréal

MARIE-ANTOINETTE-DU 9 AU 12 AVRIL 2014-LES GRANDS BALLETS-SALLE WILFRID-PELLETIER



TYPE D'ÉVÉNEMENT - Danse, Ballet
DIFFUSEUR / PRODUCTEUR - Les Grands Ballets Canadiens
SALLE - Salle Wilfrid-Pelletier


DESCRIPTION

HOUSTON BALLET - De Stanton Welch

Le Houston Ballet, compagnie invitée par Les Grands Ballets Canadiens de Montréal, présente Marie-Antoinette, un ballet narratif à grand déploiement évoquant la vie tragique de Marie-Antoinette, reine légendaire de France. Ce ballet aux costumes flamboyants et aux décors imposants, conçus par le scénographe canadien Kandis Cook, fait revivre le destin hors du commun de Marie-Antoinette, jeune mariée à peine sortie de l’enfance, mondaine frivole et insouciante, tendre épouse et mère, et enfin, reine déchue, conduite à l’échafaud. Sur la trame sonore méditative de Chostakovitch, la chorégraphie riche et énergique s’ouvre sur une scène saisissante, où la jeune et vive Marie est dépouillée de ses vêtements autrichiens pour être habillée à la française.

LES GRANDS BALLETS

La longueur et le contenu de ce spectacle peuvent être inappropriés pour un jeune public. L’obscurité et des bruits forts occasionnels peuvent effrayer certains enfants.
https://laplacedesarts.com/spectacles/13010/marie-antoinette.fr.html

Belle image!   

La date approche...   


Le ballet Marie-Antoinette à Montréal

Les danseurs du Houston Ballet font revivre Marie-Antoinette et les bals de Versailles sur la scène de la Salle Wilfrid-Pelletier, du 9 au 12 avril.





Des toilettes ornées de perles, de plumes et de dentelles. Un décor émaillé d'or et de velours. Le ballet Marie-Antoinette sera faste ou ne sera point. D'autant plus que 55 danseurs du Houston Ballet seront sur scène pour faire renaître tantôt la somptuosité des bals de Versailles, tantôt la frénésie de la Révolution française. Connu pour son style vif et raffiné, le chorégraphe australien Stanton Welch dépoussière ici l'histoire d'une reine frivole honnie par le peuple. Une épopée tout en splendeur.

(du 9 au 12 avril, à la Salle Wilfrid-Pelletier, à Montréal; grandsballets.com)

PAR SOPHIE POULIOT-PHOTOS PAM FRANCIS
http://www.ellequebec.com/societe/culture/le-ballet-marie-antoinette-a-montreal/a/86021

J'aime toujours autant la photo... Vivement qu'on en ait d'autres!   

Deux places en réduc!
http://www.kijiji.ca/v-billets/ville-de-montreal/ballet-marie-antoinette-april-12-14h00/579657457

Marie-Antoinette  





C'est le Houston Ballet, compagnie invitée par Les Grands Ballets Canadiens de Montréal, qui nous présente ce spectacle à grand déploiement évoquant la vie tragique de Marie-Antoinette, reine légendaire de France. Cette chorégraphie de l'Australien Stanton Welch bénéficie de costumes flamboyants et de décors imposants, conçus par le scénographe canadien Kandis Cook. On y fait revivre le destin hors du commun de Marie-Antoinette, jeune mariée à peine sortie de l’enfance, mondaine frivole et insouciante, tendre épouse et mère, et enfin, reine déchue, conduite à l’échafaud. Sur la trame sonore méditative de Chostakovitch, la chorégraphie s’ouvre sur une scène saisissante, où la jeune et vive Marie est dépouillée de ses vêtements autrichiens pour être habillée à la française. À la Salle Wilfrid-Pelletier, du 9 au 12 avril. Pour acheter vos billets en ligne, cliquez ici. (M.-Y. C.)
http://lebabillart.com/modules/news/index.php?storytopic=19

Décidément, il y a de quoi envier les heureux qui pourront y assister!   


Des costumes à la fine pointe pour le ballet de Marie-Antoinette

02/04/2014





Le Huston Ballet, invité par les Grands Ballets, présente le spectacle Marie-Antoinette. Lever de rideau sur le génie de Kandis Cook, designer de costumes et de décors de scène.

Vous êtes née au Canada. Pourquoi vous être installée à Londres?
Je désirais plus que tout créer les costumes des films de Ken Russell: je suis donc allée à lui, à Londres. J’ai plutôt commencé à travailler en tant que designer de théâtre, plus spécialement pour des pièces émergentes. Cet univers m’a depuis ouvert de nombreuses portes.

Qu’est-ce qui guide votre processus créatif?
D’abord et avant tout, je me laisse bercer par l’univers musical de la production et je lis méticuleusement le scénario. Par la suite, j’effectue des recherches sur la période historique liée à l’intrigue. De plus, j’aime discuter avec le directeur et le chorégraphe pour décortiquer l’ambiance dans laquelle le spectacle se déroule. J’explore aussi afin de cerner les détails cruciaux pouvant se transposer en langage visuel. Finalement, j’essaie d’assister à un maximum de répétitions pour étudier le mouvement du corps et l’évolution de la création.

Est-ce que les tendances du moment influencent vos confections?
Tout d’abord, si j’accepte un contrat, c’est qu’il me parle, m’inspire. Ensuite, j’examine les références architecturales de la période à l’honneur, les édifices, les ruines, les sites en construction ou les espaces contemporains. J’utilise mon instinct et je me laisse guider par mes trouvailles. J’observe les couleurs et les matériaux présents dans les boutiques haute couture, sur les passants, dans les marchés aux puces, les foules. Si l’œuvre combine deux époques, je les étudie toutes deux pour en faire ressortir les liens.

Qu’arrive-t-il aux costumes après les spectacles?
Si les habits ont été créés pour une compagnie de théâtre bien établie, telles une maison d’opéra ou une troupe de ballet, ils restent avec celle-ci. Une fois restaurés, ils font partie intégrante du répertoire de l’entreprise et servent ensuite à plusieurs autres productions.

Qu’est-ce qui diffère entre la création de costumes de ballet et ceux des défilés?
Les vêtements pour la danse sont évidemment pensés pour bouger. On doit toujours garder en tête qu’ils seront portés et déchirés à de nombreuses reprises: les matériaux choisis doivent être légèrement élastiques pour bouger avec le corps plutôt que lui résister. Les vêtements de luxe, quant à eux, se caractérisent par leurs couleurs, leurs thématiques et les tissus saisonniers utilisés pour leur confection. Délicats et plus coûteux, ils ne sont absolument pas conçus pour les mouvements gymnastiques d’une chorégraphie.

Pourquoi avoir opté pour la création de costumes de scène?
Dans la plupart des spectacles, le corps accomplit des mouvements rigoureux, hyper structurés, nécessitant des années et des années de pratique. Le costume de danse est conçu non pas pour gêner le danseur, mais pour lui permettre de briller sur scène.





Par Sophie R. Bragg
http://journalmetro.com/plus/tendances/473882/des-costumes-a-la-fine-pointe-pour-le-ballet-de-marie-antoinette/

Oui, et l'atelier de création aussi doit être sympa à voir   

Oh dis... J'ai pu visiter ainsi l'atelier de confection du Théâtre de la Monnaie, chez nous, à Bruxelles... J'ai failli défaillir, tant c'était féerique, pour moi... Tous ces gens qui s'activaient à découper, coudre, assembler des costumes, à façonner des chapeaux et des perruques... Un vrai paradis...   

Ah oui? Il est encore accessible maintenant aussi?   

Je ne sais pas... C'était il y a au moins dix ans, si pas plus, dans le cadre d'une visite scolaire... Mais il me semble que ces locaux sont visibles de temps en temps, peut-être aux visites du patrimoine.

Plus de photos, youpie!   


Ballet Marie-Antoinette Au Théâtre De La Place Des Arts Salle Wilfrid Pelletier

4 avril 2014





UN SOMPTUEUX BALLET HISTORIQUE qui sera présenté du 9 au 12 avril à la salle Wilfrid Pelletier de la Place des Arts située au 175 rue Ste-Catherine ouest, Montréal. Ne ratez pas cette occasion!

Le Houston Ballet, compagnie invitée par Les Grands Ballets Canadiens de Montréal, présente Marie-Antoinette, un ballet narratif à grand déploiement évoquant la vie tragique de Marie-Antoinette, reine légendaire de France. Ce ballet aux costumes flamboyants et aux décors imposants, conçus par le scénographe canadien Kandis Cook, fait revivre le destin hors du commun de Marie-Antoinette, jeune mariée à peine sortie de l’enfance, mondaine frivole et insouciante, tendre épouse et mère, et enfin, reine déchue, conduite à l’échafaud. Sur la trame sonore méditative de Chostakovitch, la chorégraphie riche et énergique s’ouvre sur une scène saisissante, où la jeune et vive Marie est dépouillée de ses vêtements autrichiens pour être habillée à la française.

STANTON WELCH

Né à Melbourne de parents danseurs parmi les plus doués d’Australie, Stanton Welch commence sa carrière de danse avec l’Australian Ballet en 1989 et travaille avec des chorégraphes de renommée internationale tels que Jiří Kylián,Nacho Duato et Maurice Béjart. Il reçoit une première commande chorégraphique de la compagnie en 1990. À titre de chorégraphe résident de l’Australian Ballet, Welch développe un style unique avec plusieurs œuvres qui remportent un grand succès, notamment Madame Butterfly, Cendrillon, Red Earth et Velocity. Au fil des ans, il crée également des œuvres pour de prestigieuses compagnies internationales telles que San Francisco Ballet, l’American Ballet Theatre, le Birmingham Royal Ballet et le Ballet royal du Danemark. Stanton Welch est nommé directeur artistique du Houston Ballet, quatrième plus grande compagnie de ballet aux États-Unis, en 2003. Depuis son arrivée à la barre de la compagnie texane, il a su lui insuffler une vision renouvelée, enrichissant notamment son répertoire par des œuvres d’éminents chorégraphes et collaborant avec les plus grands talents internationaux.




UN MOT DU CHORÉGRAPHE

« J’ai été étonné d’apprendre que Marie- Antoinette n’était pas aussi superficielle qu’on la décrit souvent. Les ragots et les regards critiques sur la vie de la reine reflètent notre société : comment nous sommes obsédés par une jolie fille, et comment les commérages et les tabloïds nous renvoient une image déformée de quelqu’un. » – Stanton Welch
http://lacuisinedejuliat.ca/ballet-marie-antoinette-au-theatre-de-la-place-des-arts-salle-wilfrid-pelletier/

Merci, Monsieur Welch!   

Yeeaah j'adore la première   

Elle est belle, n'est-ce pas? Je trouve que cette femme a un très beau visage, très interpellant et très émouvant. Au XVIIIe siècle, on aurait sûrement dit "intéressant".   

Nous avons déjà quelque part dans nos galeries la photo avec le mec qui lui fait des mamours. Elle doit donc provenir de représentations antérieures.

Ca pleut, les articles! Qu'est-ce que ce ballet fait couler comme encre avant même sa première représentation...   


Dance: The softer side of Marie Antoinette

Houston Ballet production brings tragic story to life

BY VICTOR SWOBODA, SPECIAL TO THE GAZETTE




Melody Mennite and Ian Cassidy appear in Houston Ballet’s Marie Antoinette. Choreographer Stanton Welch
gave Mennite a binder full of character research for the role. (Courtesy of the Houston Ballet)
Photograph by: Photo credit: Amitava


MONTREAL — Like the catastrophe in ancient Pompeii and the sinking of the Titanic, the tragic story of Marie Antoinette continues to fascinate and inspire retelling.

Anyone who’s passed through downtown Montreal in recent months has doubtless seen the glitzy posters advertising the dance version of her story, which Stanton Welch choreographed in 2009 for his 55-member company, Houston Ballet. With powdered wigs and voluminous gowns in tow, this three-act ballet has a gala opening at Place des Arts on Wednesday to start a four-day run.

Welch began working on Marie Antoinette around the time that Houston Ballet last visited Montreal, in 2008 with his ballet about another tragic female heroine, Madame Butterfly. Welch created Madame Butterfly for Australian Ballet in 1995 when he was only 25. He’d been fascinated by Cio-Cio San’s tragic story for years. In contrast, he knew little about Marie Antoinette until he saw a TV documentary about her life.

“What fascinated me was just how much of a misconception I had about her,” Welch said in a recent telephone interview from Houston. “It felt very current in that today so much of what we know about people is how the media choose to portray them. It was interesting to me that all these things about Marie Antoinette like ‘Let them eat cake’ and the way she was so frivolous and thoughtless was all just rumour and gossip. The reality was something quite different.”

Welch found that reality in several recent biographies, including one by Antonia Fraser that served as the inspiration for Sofia Coppola’s flamboyant 2006 movie. Fraser portrayed Marie in a sympathetic light, describing her as a good mother who was warm and friendly to her colleagues.

“That really appealed to me,” Welch said.

The ballet opens on the French border with the trauma of teenage Marie being stripped of her native Austrian garb and forcibly dressed in French clothes to reflect her new station as the fiancée of teenage Louis, heir to France’s throne.

“I felt for her,” Welch said. “As a teen, how must that feel? The expectation of producing a child with a man who wasn’t interested in you. I felt that she was such a human character who had done her best to survive a very awful situation.”

Welch compelled the main cast to research their characters.

“He brought me two huge binders with research about Marie Antoinette and all the characters I interact with,” said principal dancer Melody Mennite, whose face, with powdered hair — her own, not a wig — and figure in a resplendent 18th-century gown are plastered on the posters of Marie Antoinette all over Montreal. “It reminded me of actors when they research for a movie so they can get in the character’s head.”

Mennite said that she needed two hours to get “all of the stuff” out of her hair after the photo shoot.

“I wear three different wigs in the ballet, but for the photo, they went all out — so much hairspray and powder, I guess they wanted it real.”

Although the women’s gowns are elaborate, Canadian-born designer Kandis Cook used light material that allows for ballet’s expansive movements.“The only one I had a hard time with is Act 1, the wedding dress,” Mennite said. “It has a lot of layers and it’s heavy. It’s a little hard to manoeuvre, but I got used to it.”

Marie dances six duets in long dresses, three each with Louis and Count Axel von Fersen of Sweden.

“We’ve done it enough so that they know when the dress is going to get stuck around their arms and head. They’ve learned to manoeuvre so that doesn’t happen.”

In Act One, Cook, who also did the costuming for Les Grands Ballets Canadiens’ 2001 major production, Queen of Spades, has decked the French courtiers in cold colours to reflect their haughty attitude toward the young foreign bride. The costumes become warmer and more striking by Act 2, in which Marie already has a child and has found friends who worship her fashion sense. Marie also finds an admirer in Count Fersen.

“I never consummate the relationship, though there was definitely kissing and flirting between them. That’s one of the interesting things about the books — there’s no real proof she strayed, which for the times was quite unusual.”

Marie’s fidelity remains consistent in Act 3, when she stays true to Louis as first he, then she, are led off to the guillotine.

Welch choreographed Marie Antoinette in the same classical ballet spirit used in Madame Butterfly. Nothing radically innovative here — Welch is not Mats Ek turning Sleeping Beauty upside down, nor is he a genre breaker like Israel Galvan, who at his show here last week extended the flamenco vocabulary to the point that he was speaking another language.

Welch is rather a craftsman who knows how to use his tools to construct a well-built narrative.

The ballet uses Shostakovich’s music throughout, regrettably heard in Montreal on a recording, not played live. Shostakovich is not an obvious choice for an 18th-century period piece, but one that Welch justified.

“Shostakovich lived in a repressed time and there’s an opulence to his music, but also something sinister and sad. (In Marie’s France) there was an imperialism coming to an end, something a little sinister and creepy, but also romantic and lush. Shostakovich has that.”

Three years ago, Houston Ballet moved into the Center for Dance, spacious studios in a new six-storey building next to their performing theatre.

“The move meant a tremendous amount,” Welch said. “The best thing is we have a black box theatre within the building. We do a lot more choreographic workshops and can dress-rehearse our ballets.”

Since the move, Houston Ballet’s affiliated school with its own space in the centre has doubled its enrolment to about 500 students.

Encouraging news for Les Grands Ballets Canadiens, which plans to move to new studios near Place des Arts. The opening was recently pushed back, though. The projected opening is early 2016.
http://www.montrealgazette.com/entertainment/Dance+softer+side+Marie+Antoinette/9700872/story.html

Apparemment le point de vue de cette oeuvre sur notre reine est très positif.   


Marie-Antoinette: hommage à la reine

Publié le 06 avril 2014



Marie-Antoinette est une véritable tragédie en trois actes aux somptueux décors et costumes.
Sa finale chargée d'émotion se déroulera non pas dans le lit royal, mais bien sur l'échafaud.
PHOTO AMITAVA, FOURNIE PAR LES GBCM


À l'invitation des Grands Ballets canadiens de Montréal, le Houston Ballet présentera à partir de mercredi Marie-Antoinette, un ballet narratif historique qui revisite le destin tragique d'une reine aussi adulée que haïe.

Loin de l'image de la reine frivole et écervelée, le chorégraphe australien Stanton Welch, directeur du Houston Ballet depuis 10 ans, a tenté, dans ce ballet créé en 2009, de dépeindre Marie-Antoinette sous un jour nouveau: une femme ô combien humaine qui s'est retrouvée dès son plus jeune âge plongée au coeur d'une terrible tragédie.

Un personnage historique complexe qui a suscité un nombre impressionnant d'ouvrages, de pamphlets, de représentations et de critiques et que le chorégraphe a redécouvert à travers un documentaire.

«J'ai grandi avec quelques notions historiques sur Marie-Antoinette, mais je n'avais jamais passé de temps à étudier le personnage. Quelques années avant la création du ballet, j'ai eu une journée de congé - ce qui tient du miracle -, et j'ai découvert un documentaire sur elle. Il montrait à quel point j'avais d'elle une vision incorrecte», explique Stanton Welch.

Considérée comme frivole et dépensière, elle est en effet, aux yeux de l'opinion publique de son époque, une épouse infidèle et lubrique qui ne pense qu'à ses propres plaisirs. Des accusations qui entraîneront en partie sa perte lors de son procès devant le Tribunal révolutionnaire.

«J'étais interloqué par le nombre de rumeurs à son sujet qui avaient valeur de vérité dans la conscience collective. Ce qu'elle a vécu est pourtant une leçon de vie incroyable. Ça m'a attiré vers elle et, à force de recherches, j'ai voulu créer une oeuvre qui montre ce qui est vraiment arrivé à Marie et à Louis.»

L'émotion d'une vie entière

Du mariage de Marie-Antoinette et de Louis XVI, encore adolescents, à l'échafaud, en passant par leurs problèmes conjugaux, Stanton Welch revisite tout un pan de l'histoire de France en deux heures de ballet sur pointes.

«C'est un ballet abstrait dans lequel je dois reproduire l'émotion de toute une vie. À 15 ans, elle est envoyée en France par sa mère. On lui interdit de garder ses jouets et on la fait se déshabiller devant tout le monde pour être remodelée et envoyée à la cour. Imaginez l'horreur de cette scène! Marie et Louis se lient bientôt d'amitié. Mais elle devait tomber enceinte dans l'année d'un homme qui ne voulait pas la toucher. Elle trouvera la passion auprès d'un autre homme. J'aime la complexité et le réalisme de cette histoire», raconte le chorégraphe.

Férue de théâtre et de musique, Marie-Antoinette a même fait construire pendant son règne un théâtre au Petit Trianon. Si Stanton Welch a d'abord songé à utiliser les musiques de ses contemporains Mozart ou Gluck, sur ses chorégraphies, il s'est finalement tourné vers Chostakovitch.

«Je suis un grand fan de ce compositeur. C'est un génie. Au départ, j'ai tenté de me tourner vers des compositeurs du temps de Marie-Antoinette, mais ça ne fonctionnait pas. J'étais en voiture quand j'ai entendu Chostakovitch et j'ai été transporté à l'instant même dans l'histoire de Marie. Sa musique s'accorde très bien avec les émotions que je veux faire passer dans cette création», dit-il.

Marie-Antoinette est ainsi une tragédie en trois actes aux somptueux décors et costumes signés Kandis Cook dont la finale chargée d'émotion se déroule sur l'échafaud.

«Je ne dis pas que tout ce que Marie-Antoinette a fait est bien, mais je trouve que ces deux adolescents qui ont choisi de mourir en monarques sont très touchants. Ils auraient pu fuir et ils ne l'ont pas fait», conclut Stanton Welch, qui se lancera prochainement dans la création de Roméo et Juliette pour le 450e anniversaire de naissance de William Shakespeare.
http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/danse/201404/05/01-4754829-marie-antoinette-hommage-a-la-reine.php

L'article se poursuit par une interview de la danseuse incarnant Marie Antoinette. Vous allez voir, ce qu'elle dit de sa rencontre avec notre reine est émouvant:


Trois questions à Melody Mennite


Comment vous êtes-vous préparée pour ce rôle?

J'ai la chance d'incarner Marie-Antoinette depuis la création de la pièce. J'ai lu, regardé des films et des documentaires sur elle. Je voulais mieux la connaître comme personne. Plus je me renseignais, plus je me trouvais des points communs avec elle. Ce fut assez facile pour moi à partir de là de me glisser dans sa peau. Stanton Welch a créé ce ballet pour pouvoir exposer son histoire à travers ses yeux à elle.

Vous semblez très attachée à elle...

Oui. Ce ballet est arrivé à un moment très difficile de ma vie personnelle et à un tournant de ma carrière. Je venais de devenir danseuse principale, et il y avait des moments où je ne savais même pas si je serais capable de monter sur scène, car j'avais perdu beaucoup de personnes dans ma vie, tout comme Marie-Antoinette, qui a vu sa famille se faire tuer sous ses yeux. Le fait qu'il s'agisse d'une histoire vraie et qu'elle ait traversé cette terrible épreuve est bouleversant. On honore sa mémoire dans ce ballet, elle qui a été dépeinte comme un personnage caricatural dont la citation la plus célèbre reste: « Qu'ils mangent de la brioche! » Je crois qu'elle était plus que ça, et je suis fière de participer à une oeuvre qui montre aussi son humanité.

Quel a été le plus gros défi de cette création?


C'est un personnage exigeant et épuisant sur le plan émotif. Même en répétition, il m'est impossible de me donner à moitié. C'est très intense. Elle est tellement ancrée dans l'histoire, la musique et la chorégraphie. Cette pièce nous emporte très facilement. Les robes constituent à elles seules au défi, car elles sont longues et parfois plus lourdes que nos costumes habituels. Mais le designer a eu l'intelligence d'utiliser des tissus très légers.
http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/danse/201404/05/01-4754829-marie-antoinette-hommage-a-la-reine.php

Bonjour,

Si vous voulez des commentaires à chaud sur ce ballet.
http://whattalking.com/marieantoinette

madame antoine

Pour voir en vidéo des extraits de ce ballet, cliquez ici:
http://video.fr.ca.msn.com/watch/video/marie-antoinette-des-grands-ballets-canadiens/182hvt5l4?cpkey=2b4d3c76-4572-4b8b-9efa-07a4ac3c0179%257c%257c%257c%257c

Marie-Antoinette des Grands Ballets Canadiens
Première à la Place des Arts
Date: il y a 11 h Affichages: 3
Une vidéo de: WebPresse

Encore un croquis:


http://www.journaldemontreal.com/2014/04/09/marie-antoinette-racontee-a-travers-un-ballet

Un premier vrai feedback... nuancé.


«Marie-Antoinette» du Houston Ballet: l'inégalité et l'injustice d'un drame historique


Le Huffington Post Québec | Par Samuel Larochelle
Publication: 10/04/2014


Marie-Antoinette a inspiré une multitude de livres, de films, de documentaires et de pièces de théâtre, mais elle a également fait germer une partition chorégraphique dans la tête de Stanton Welch. Plus de cinq ans après sa création au Texas, l’œuvre du Houston Ballet débarque à Montréal avec juste ce qu’il faut de faste et de luxure pour accrocher des étoiles dans les yeux des spectateurs, mais pas suffisamment d’émotions pour leur secouer le cœur pendant trois actes.

Le premier acte s’ouvre sur l’accord de paix entre la France et l’Autriche, qui scellera l’union de Louis-Auguste, jeune prétendant au trône, et de Marie-Antoinette, archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême. Son arrivée en France sera l’occasion pour les gens de la cour de procéder à une analyse méticuleuse de son physique et de son potentiel. Cet acte d’humiliation, voire d’intimidation, n’est toutefois pas représenté à la hauteur du trouble qui pouvait habiter la future reine.

Il est bien sûr impossible de lever le nez sur la splendeur des costumes, la grâce naturelle des danseurs, ainsi que le plaisir évident qu’ils ont à se rassembler autour du lit conjugal, afin d’apprendre si le couple royal a finalement consommé son union. La curiosité et les encouragements des débuts seront vite remplacés par une suite de railleries, d’insultes et de quolibets.

La procréation des monarques venant manifestement avec un lot de pression, que n’arrivent malheureusement pas à nous faire ressentir pleinement les deux interprètes principaux.

Le deuxième acte redonne du pep à l’ensemble, alors que Marie-Antoinette a insufflé une dose d’étincelles et de joie de vivre à son environnement: chaises affublées de coussins colorés, costumes aux allures réjouissantes, banquet de victuailles et de sucreries, ambiance détendue où les convives s’amusent comme des enfants. On sent finalement les danseurs investis dans l’histoire qu’ils racontent.

Ces brefs moments de pétillement sont vite plombés par le flirt de la reine et du comte suédois Axel Fersen, avec qui elle partage ses plaisirs diurnes et nocturnes, mais la production revient nous toucher à nouveau quand la Révolution française éclate. La présence des révolutionnaires, issus du peuple, insuffle une bonne dose de vérité, de saleté et de brutalité à la production. On en redemande.

Vient alors le troisième et dernier acte, qui est lui aussi composé d’une partition en dents de scie. Les passages où les dizaines de danseurs sont réunis sur scène, afin d’exprimer toute la colère qui sommeillait chez les citoyens, sont poignants et visuellement très forts. Toutefois, le procès des membres de la royauté, les adieux et les exécutions n’émeuvent pas autant qu’elles le devraient.

Stanton Welch a pris le pari de miser sur une chorégraphie plus relevée d’un point de vue théâtral que d’un point de vue technique, mais ils ne semblent pas avoir poussé ses ambitions assez loin pour que les tableaux de l’histoire nous marquent le cœur et l’esprit.

Un spectacle d’une sage et inégale beauté
http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/04/10/marie-antoinette-houston-ballet-critique_n_5125554.html?utm_hp_ref=divertissement

On dirait bien, en effet que l'avis des spectateurs est nuancé, voire mitigé...

Ce commentaire-ci m'a fait bien rigoler, avec l'allusion à Michae... mais vous allez voir, je ne veux pas déflorer le sujet.   


Publié le 11 avril 2014

Marie-Antoinette: un récit romancé, teinté de mélodrame



PHOTO: AMITAVA SARKAN, FOURNIE PAR LES GBCM


Le Houston Ballet présente en ce moment Marie-Antoinette, à la salle Wilfrid-Pelletier. Le ballet relate le destin tragique de la reine Marie-Antoinette, de son arrivée en France à l'âge de 14 ans jusqu'à sa mort par guillotine. Le chorégraphe Stanton Welch esquisse sa vie à grands traits, dans un récit romancé et teinté de mélodrame.

Monnaie d'échange entre les Habsbourg et les Bourbons, la toute jeune Marie-Antoinette quitte l'Autriche pour la France, poussée hors du cocon familial par l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, une mère au dos trop droit - tout au long du ballet, la colonne vertébrale est riche de symboles.

Sous des lumières crues (les éclairages éblouissants de la conceptrice Lisa J. Pinkham marquent les temps forts du ballet), l'impétueuse adolescente est présentée à la cour de France. Stanton Welch va jusqu'à verser dans la caricature pour traiter de cette période, à grand renfort d'yeux écarquillés, de bouches en cul-de-poule et de messes basses.

Les courtisans, qui devaient être certes grotesques, s'agitent autour de Marie-Antoinette, l'épient, la reniflent presque, tandis notamment que la garde rapprochée du dauphin Louis tentent désespérément de faire consommer le mariage. Lorsque Louis XV meurt, le couple, qui accède alors au trône, amorce un rapprochement, en un pas de deux tendre et naïf.

Zombies révolutionnaires

Dès le deuxième acte, Marie-Antoinette, la dépensière et la frivole, fait la fête au Petit Trianon. L'alcool coule à flots; des confettis, et même de la nourriture, sont lancés. Nimbée de couleurs acidulées, la scène est pimpante à souhait, même si elle traîne en longueur. C'est l'occasion de beaux morceaux de bravoure de la part des danseurs masculins. Cependant, dehors, la Révolution gronde. Les courtisans et les amis du couple fuient Paris et le couple royal se retrouve visiblement dépassé.

Au moment de l'insurrection, au troisième acte, le ballet prend une tournure saugrenue, avec l'entrée en scène de révolutionnaires hagards, habits en lambeaux. Ils font incursion dans le palais, menaçant le couple royal et leurs enfants. Malheureusement, cette foule vengeresse, que Welch a dotée d'une esthétique expressionniste, ressemble fort... à un troupeau de zombies!

Est-ce une allusion intentionnelle de la part de Stanton Welch? Reste que le résultat est fort curieux. Pire encore, comme les danseurs surjouent dans les scènes de groupe à l'unisson, ils nous font carrément penser à la vidéo Thriller de Michael Jackson!

Il n'y a que l'amer pas de deux, sur fond rouge sang, entre Marie-Antoinette et Louis XVI, qui part pour l'échafaud, qui nous fera raccrocher à l'histoire. Marie-Antoinette nous prend parfois par les sentiments, emportés par les costumes et les décors somptueux et l'interprétation délicate des protagonistes. Mais on aurait préféré davantage de profondeur dans le traitement d'un personnage aussi controversé que L'Autrichienne et d'une période si cruciale de l'Histoire.

STÉPHANIE BRODY
collaboration spéciale
La Presse
http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/danse/201404/11/01-4756595-marie-antoinette-un-recit-romance-teinte-de-melodrame.php


Il semble que le ballet se ressente de la vision juniocoppolienne... et que la journaliste ait des sympathies révolutionnaires.   

Quelques impressions glanées sur la toile. Remarquons que les spectateurs sont nettement plus enthousiastes que les critiques.   


APR 10, 2014
Marie-Antoinette aux Grands Ballets Canadiens


Je suis fascinée par Marie-Antoinette depuis des années. Il y a quelque chose d’intriguant dans son histoire, sa vie faste et sa fin tragique. L’histoire de la Dauphine de France a aussi intrigué Stanton Welch chorégraphe du Houston Ballet qui a décidé d’en faire un ballet narratif à grand déploiement !

Gabrielle, Mélodie et moi avons eu la chance d’assister à la première hier soir. C’est un ballet sublime et on en attendait pas moins d’un spectacle pourtant sur Marie-Antoinette. Les chorégraphies, les décors et les costumes étaient tous remarquables. Un spectacle grandiose avec parfois plus d’une quinzaine de danseurs sur scène.





Divisée en trois actes, la présentation est bien dosée quoique nous aurions pris un peu plus de l’époque des fêtes somptueuses avec petits gâteaux et champagne à n’en plus finir !

Petit conseil si jamais vous n’êtes pas familier avec la vie de l’Autrichienne, prenez 5 min pour lire le programme. Un court résumé vous aidera à mieux suivre le spectacle, vous n’aurez ensuite qu’à vous laissez porter par la musique et la danse.

Pour 3 jours seulement Les Grands Ballets Canadiens présentent Marie-Antoinette à la Place-des-Arts. Ne manquez pas ça!
http://www.mode34b.com/blog/marie-antoinette-aux-grands-ballets-canadiens-33735/


Vous verrez, ce n'est pas le seul commentaire qui nous conseille de ne pas manquer ça.   

Deuxième avis:


BALLET MARIE-ANTOINETTE À LA PLACE DES ARTS : ÉPOUSTOUFLANT ET PASSIONNÉ


Une prestation grandiose hier à la Première de Marie Antoinette du Houston Ballet présenté par les Grands Ballets Canadiens à la Place des Arts à Montréal.

Dès le début on est époustouflé par les décors et les costumes . La conception scénique conçue avec brio par Kandis Cook nous permet de nous mettre dans l’ambiance de l’époque avec des déplacements de décors très bien utilisés. Les costumes magnifiques sont excellemment conçus pour permettent aux danseurs de nous livrer leur meilleur. On perçoit cet aspect dès la scène de l’acte I lorsque Marie Antoinette est habillée pour être présentée à la Cour.

Pour la petite histoire :

En 1770, pour consolider une alliance précaire entre l’Autriche et la France, Maria Antonia Josephina Johanna, la plus jeune fille de l’impératrice Maria Teresa d’Autriche, est amenée en France pour épouse le dauphin Louis-Auguste, âgé de 14 ans.

La vedette Marie-Antoinette : Sara Webb qui a donné une performance majestueuse.

Ne manquez pas l’occasion de voir cette merveille jusqu’au 12 avril. Faites vite, il ne reste plus beaucoup de temps.
http://universdagathe.com/2014/04/ballet-marie-antoinette-a-la-place-des-arts-epoustouflant-et-passionne/


La dernière phrase en rouge, s'il vous plaît!   Plus enthousiaste que ça tu meurs!

Et toujours dans le même ton, avec, en prime une vidéo:


Grands Ballets | Marie-Antoinette, un ballet classique qui n’en est pas un!


Je reviens tout juste de la Place Des Arts où j’ai eu la chance d’admirer Marie-Antoinette, un ballet narratif par le Houston Ballet présenté par Les Grands Ballets Canadiens. Encore une fois j’ai été impressionnée!

L’histoire, les danseurs, le décor… tout est fait pour qu’on en prenne plein la vue! Honnêtement, je suis très très fan de ce genre de ballet que j’appelle « théâtral » car il est impossible de s’ennuyer une seule seconde.

Avec Marie-Antoinette, on vit une tonne d’émotions: sa peur quand elle est devenue reine, l’excitation des années de luxure avant la révolte, puis la tristesse et le déchirement… car on sait tous comment cela termine!

Le Houston Ballet a totalement répondu à mes attentes, car on y trouve des touches modernes dans la mise en scène grâce à certains accessoires et quelques passages du ballet. Sans pour autant gâcher le charme et le romantisme d’un vrai ballet classique!

Si vous n’êtes jamais allés voir une représentation des Grands Ballets Canadiens, allez voir Marie-Antoinette, c’est une très belle oeuvre qui vous donnera envie d’y retourner à chaque saison.

Présenté jusqu’au 12 avril, dépêchez-vous de prendre vos places!



http://montreal-addicts.com/marie-antoinette-grands-ballets/


Franchement... la musique... bof, non?   

L'inspiration juniocoppolienne de ce ballet ne nous avait pas échappé, n'est-ce pas?   Voilà notre impression confirmée par un témoignage de première main, donné par une fan absolue du film de Sofia.   


La version du Houston Ballet se colle à la chronologie du scénario de Coppola. On y retrouve la même structure, mais aussi la palette de couleurs pastel que j’ai tant aimé dans la version ciné (inspiré des macarons de La Durée). On a envie de croquer à pleines dents dans les costumes tellement ils sont divins. Les décors et les enchainements sont dynamiques. Une seule critique, le double entracte qui sépare les trois actes et qui alourdit le rythme pour le spectateur.



http://clindoeil.ca/blogues/tapis-rose/marie-antoinette-et-les-liaisons-dangereuses


Je n'ai pris que le bout qui concerne le ballet. Le reste de l'article est très intéressant aussi, notamment la partie qui nous... mais je vais la poster dans la catégorie adéquate, comme ça, nous pourrons la lire ensemble.   

Je viens de tomber sur un compte-rendu enthousiaste rédigé par une passionnée de couture... ce qui nous donne des photos à tomber...   


L'adaptation de Marie-Antoinette aux Grands Ballets!


Le mois dernier, j'avais adoré Rodin-Claudel des Grands Ballets Canadiens. Et hier je n'avais qu'un mot en tête pour d'écrire l'adaptation historique de Marie-Antoinette du Houston ballet: INCROYABLE! Les chorégraphies sont synchronisées au centième de secondes près, les duos sont majestueux, les ballerines semblent flotter entre les mains des danseurs et la musique nous transporte, le temps d'un ballet, dans une autre époque. C'est là qu'on remarque toute la discipline derrière le métier de danseurs. Ces corps sculptés, pouvant facilement bondir de plus d'un mètre ou attrapant une danseuse en plein saut nous laissent sans mot. Merveilleusement danser et transmettre de l'émotion en même temps, voilà ce que Melody Mennite (Marie-Antoinette) et Ian Casady (Louis XVI) semblent avoir une capacité troublante à effectuer pendant les 2h15min que dure la présentation. Pour le voir de vos yeux, Marie-Antoinette sera présentée ce soir, vendredi et samedi à la Place des Arts. Les prix des billets varient entre 52$ et 116$. Voici quelques photos du spectacle et de ma visite en arrière scène.
















http://gaelleleroyer.blogspot.be/2014/04/ladaptation-de-marie-antoinette-aux.html


Mille merci de partager vos photos avec la toile...   Elles sont magnifiques!