Expo "Anatomie d'une collection" au Palais Galliera

Un concept vraiment attirant
"Anatomie d'une collection": le vêtement se raconte à travers celui qui le porte au Palais Galliera

Ce sera du 14 mai au 23 octobre et à aller voir à tout prix. Déjà parce qu'il y aura des stuffs XVIIIe.

Du corset de Marie-Antoinette au pyjama du soir de l'actrice et mannequin britannique Tilda Swinton ("Game of Thrones") en passant par une des robes de l'impératrice Joséphine, c'est une centaine de vêtements et accessoires issus du fonds Galliera qui seront présentés dans le cadre de l'exposition "Anatomie d'une collection". L'occasion de découvrir l'histoire de la mode d'une nouvelle façon et de s'intéresser à chaque vêtement à travers celui ou celle qui l'a porté.

Mais il n'y aura pas que des robes de princesses, aussi des tabliers et des vêtements d'ouvriers. Pour toutes les sensibilités quoi.

Et puis ..... Si vous hésitez encore, rien que cette image va vous convaincre


Christian Dior par Yves Saint Laurent, robe de mariée de Geneviève Page, 1959 - © Eric Poitevin/ADAGP 2016

https://www.rtbf.be/culture/arts/detail_anatomie-d-une-collection-le-vetement-se-raconte-a-travers-celui-qui-le-porte-au-palais-galliera?id=9263774

Ah !! Je ne me tiens plus

trop

Ca, c'est clair, une superbe exposition, les avis sont unanimes!

A Galliera, les vêtements ont une âme


Les robes de l’épouse du docteur Gachet et de George Sand. PIERRE ANTOINE POUR "LE MONDE"


Le manteau de Schiaparelli face à des vêtements de travail encadrés. PIERRE ANTOINE POUR "LE MONDE"


La robe préférée de la galeriste Carla Sozzani, en python blance, signée Azzedine Alaïa. PIERRE ANTOINE POUR "LE MONDE"

http://www.lemonde.fr/m-mode/article/2016/05/19/une-expositon-pleine-d-ame-au-palais-galliera_4922599_4497335.html
Il paraît que ça démarre calmement, en plus! C'est donc le moment de s'y précipiter avant le gros rush!!

Il y a même une robe de George Sand, dites donc!


https://www.francebleu.fr/loisirs/sortir/une-robe-de-george-sand-au-musee-de-la-mode-paris-1464003238

Au Palais Galliera, une exposition sensible sur le vestiaire des fantômes

Beau titre d'article



Il ne reste plus qu’eux, résistants, solides et frappants de beauté. Dans une exposition remarquable, le Palais Galliera met en lumière des vêtements d’exception qui semblent encore habités, modelés par les corps de leurs propriétaires.

Le corset de soie de Marie-Antoinette, la robe de mousseline de l’impératrice Eugénie, un tailleur de satin ou une toque en vison Givenchy portés par Audrey Hepburn croisent l’habit d’une infirmière de la Croix-Rouge du début du XXe ou un bleu de travail des années 1930.

De ces reliques sublimes et poétiques, le musée de la mode de la ville de Paris donne une interprétation remarquable, guidant le visiteur à travers des textes fouillés, précis et imagés.

Le corset de Marie-Antoinette vous en faites pas je l'ai cherché pour vous. Le voici mannequiné et tout :



Elle est pas belle la vie ?

Qu'est-ce qu'on dit ??

........ encore que je ne suis pas sûre que ce soit un corset mais plutôt un top. Mais bon on va pas chicaner.

L’exposition séduit dans sa manière d’être toujours imprévisible, valorisant des pièces diverses qui paraissent choisies comme par coups de cœur, et en même temps très pédagogique, n’oubliant jamais d’expliquer l’origine, la composition, la spécificité d’une pièce.

L’accrochage mixe le vestiaire de figures historiques (une chemise en lin de Louis XVII, un gilet sans manche que Napoléon aurait porté en exil sur l’île d’Elbe...), d’actrices et de muses (un haut-de-forme d’Arletty, les gants paillettés de Mistinguett, une robe Saint-Laurent porté par Catherine Deneuve dans “La Sirène du Mississipi”...), de clientes de haute couture ou d’anonymes.

Tous ces atours, statiquement exposés, paraissent pourtant avoir une âme, comme s’ils avaient pour toujours conservé la prestance ou le caractère des hommes et des femmes qui s’en sont un jour revêtis.

Ironiquement, l’exposition se termine par des pièces de défilés, sans propriétaire, uniquement destinées à fouler le podium. Une robe aux seins coniques Jean-Paul Gaultier, un manteau de cheveux synthétiques Martin Margiela, une robe imprimée Jean-Charles de Castelbajac… Des tenues impressionnantes, mais désincarnées. Comme pour signifier, par contraste, qu’un vêtement, pour resplendir, se doit d’avoir été porté.
http://www.directmatin.fr/beaute-mode/2016-05-27/au-palais-galliera-une-exposition-sensible-sur-le-vestiaire-des-fantomes

Cette expo, c'est de la bombe !

http://www.palaisgalliera.paris.fr/fr/expositions/anatomie-dune-collection

Des photos à tomber ..........

Voici un autre article concernant cette exposition. Nous remarque la topographie très étudiée qui fait voisiner les pièces Haute-Couture avec les vêtements de travail.


http://www.rfi.fr/hebdo/20160624-france-expositions-mode-raconte-musee-vetements

Ce choix est d'autant plus pertinent, mais il s'agit là d'une considération personnelle et qui n'engage donc que moi, que la Mode s'inspire volontiers des habits d'ouvriers. Voir par exemple le célébre "jean's" en très solide toile de Nîmes.

Bien à vous

madame antoine

Ha j'adore ! Marie-Antoinette en jeans c'est mon rêve ultime !

Shoking je sais
j'assume

Ah oui?

Spoiler:

Ne vous énervez pas, je suis déjà sortie...

Voici un petit rappel pour ceux qui n'auraient pas encore vu cette admirable exposition.



Musée de la mode de la Ville de Paris, le palais Galliera* présente jusqu’au 23 octobre « Anatomie d’une collection ». A travers une centaine de vêtements et d’accessoires, cette exposition dont le commissaire est Olivier Saillard, le directeur du musée, propose un itinéraire original à travers les collections du musée du XVIIIe siècle à nos jours. Du corset de Marie-Antoinette à la blouse d’une infirmière anonyme de la Première Guerre mondiale, en passant par le gilet de Napoléon, l’éclectisme est de mise au fil des salles. Sans oublier le tailleur d’Audrey Hepburn…
10, avenue Pierre Ier de Serbie (métro Iéna, XVIe). Du mardi au dimanche, de 10 heures à 18 heures, nocturne le jeudi jusqu’à 21 heures. Entrée : 9 €, gratuit pour les moins de 18 ans.
http://www.leparisien.fr/paris-75016/paris-de-marie-antoinette-a-audrey-hepburn-au-palais-galliera-04-08-2016-6015659.php

madame antoine

Prolongation avec un espace spécial Sonia Rykiel