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| Le Bal des Victimes | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Le Bal des Victimes Mer 11 Juin - 21:24 | |
| Oui, allez-y ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 11 Juin - 21:33 | |
| Les bals des victimes ont commencé après l'exécution de Maximilien de Robespierre et des jacobins. Donc le 10 thermidor an II ou, en langage normal, le 28 juillet 1794. En fait le premier bal eut lieu au début 1795. Mais attention tout le monde ne pouvait pas y assister ! Pour être admis, on devait avoir eu un proche parent guillotiné pendant la Révolution. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 5 Aoû - 5:47 | |
| Non, c'est plus subtil que ça. Ce fut une espèce de catharsis après les excès de la Terreur. On laissait exploser le bonheur, la chance incroyable d'avoir survécu. Ils étaient jeunes, ils avaient récupéré leurs biens confisqués par la Révolution, mais ils avaient perdu des parents ou des proches qui avaient été guillotinés. Donc, retour du matériel mais deuil. Ils ont de l'argent mais le coeur brisé. Rien de plus naturel, pour ces jeunes, que d'organiser des fêtes macabres, c'est à dire des événements où coïncidèrent leur soulagement et leur chagrin. Je comprends parfaitement ça, moi.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:47, édité 1 fois |
| | | Chou d'amour Administrateur
Nombre de messages : 31526 Age : 42 Localisation : Lyon Date d'inscription : 22/05/2007
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 5 Aoû - 18:01 | |
| Ah ok _________________ Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme c'est le contraire!
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Jeu 6 Aoû - 9:19 | |
| Les participants portaient des vêtements de deuil ou des costumes avec des brassards de deuil. À l'inverse, certaines femmes portaient des vêtements gréco-romains très fins, pieds nus ou avec des rubans. Certains portaient aussi des cheveux coupés très courts ou relevés, comme ceux des condamnés avant leur exécution. Ou encore un ruban ou un fil rouge autour du cou à l'emplacement où la lame de la guillotine devait couper. Les femmes portaient leurs cheveux relevés "à la victime" et utilisaient pour ce faire un peigne appelé « cadenette ». Ce serait l'origine de la « coiffure à la Titus ». (wiki) Incroyables et Merveilleuses devant les Tuileries, par Paul Lehugeur, XIX° siècleLes fêtes données par le directeur Paul Barras fut un lieu de rencontre privilégié de cette nouvelle jeunesse parisienne. A noter en outre que les Incroyables et les Merveilleuses fréquentaient le bal des victimes, où n’étaient autorisés que les jeunes ayant perdu un parent lors de la Terreur.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:48, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Jeu 6 Aoû - 9:52 | |
| Attention, on n'est pas sûr du tout que ces bals aient existé. Les historiens se posent beaucoup de questions.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:48, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Jeu 6 Aoû - 10:22 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Jeu 6 Aoû - 10:35 | |
| - Citation :
- Je ne comprends
Ou alors je ne veux pas comprendre tellement c'est Vous allez comprendre ! ... avec les souvenirs de cette chère Mme d'Abrantès !! Tout est de l'histoire chez un peuple comme nous... Nous sommes légers dans ce qui est sérieux, sérieux dans ce qui est léger; et tout cela avec un aplomb parfait. Je ne veux pas, en avançant cette opinion, soutenir une thèse défavorable à la nation française. Je dis seulement qu'elle est légère et peu réfléchie dans les grandes choses. Les infortunes les plus terribles ne laissent pas de souvenirs dès qu'elles sont éloignées, même avec les deuils les plus profonds. Cela est heureux, dira-t-on vulgairement : peut-être. Je ne crois pas que le bonheur consiste à oublier. — Il est des peines dont il faut même que le souvenir demeure comme leçon, ou même comme point de ressemblance. — En quoi que ce soit en ce monde, tout est préférable à l'oubli... L'oubli est une mort morale de l'âme et du cœur... L'oubli annonce l'absence de toute affection douce... Celui qui oublie, enfin, est un être à part dans la création, car, s'il n'a pas de souvenirs, il n'a pas d'espérances, il n'a pas de craintes; et toute la vie pourtant ne se compose que de ces continuelles péripéties. C'est par elles que notre existence est animée ; c'est par elles enfin que nous sortons de l'apathie et du néant, et que nous vivons.
Ce fut surtout au moment où la France échappa à ce massacre général dont quelques monstres l'avaient menacée, que cet oubli de toutes choses dont j'ai parlé fut frappant ; à peine respirait-on! à peine était-on rassuré sur sa vie et celle'des siens, qu'oubliant l'état dans lequel était encore Paris après 1794, les femmes et les hommes de tous les âges et de toutes les conditions, fatigués de larmes et de souffrances, ennuyés d'une aussi longue privation de tous plaisirs, firent un appel à toutes les joies, à tous les plaisirs. Mais un obstacle renaissait sans cesse pour s'opposer à ces joyeux desseins; on voulait rire, mais on n'osait pas; on oubliait le danger passé parce qu'il rappelait à beaucoup de gens qu'ils devraient être encore en deuil, mais on voulait bien se le rappeler pour laisser éveiller une crainte personnelle. Aucune personne de la société ayant un nom, une fortune, une position, ne voulait recevoir ni ouvrir sa maison; il y avait un reste de terreur qui parfois se soulevait encore et faisait trembler les faibles... Ah ! c'est qu'on avait été si malheureux, qu'il était bien permis de craindre!... Si je me plains, c'est qu'on ne craignait pas assez.
Il en est de la patrie comme de la famille dans beaucoup de circonstances; on est solidaire pour plusieurs choses et sur ces choses on se tait; mais il en est d'autres tellement connues qu'il vaut mieux les expliquer que de les tenir sous le silence. De ce nombre est la légèreté qu'on nous a reprochée après 1793. Sans doute elle fut coupable, toutefois sa source ne fut pas dans un sentiment cruel. Nous sommes bons, et cette qualité est une de celles dont nous pouvons être fiers. Mais nous sommes Légers ; nous le sommes au point de rire de notre supplice à nous-même; et lorsque M. de Champcenetz disait au tribunal révolutionnaire, en écoutant sa condamnation : Je demande si c'est ici comme à la garde nationale et si l'on peut se faire remplacer pour vingt-quatre heures seulement? le mot eût été atroce dit sur un autre; mais pour celui qui allait mourir, il est rempli de courage, car il annonce de la présence d'esprit.
Non,c'est une injustice d'attribuer à un mauvais sentiment cette extrême légèreté dont nous fîmes une si éclatante démonstration en 95. Elle n'en est pas moins blâmable; mais l'origine n'a rien de ce qui, surtout dans des femmes, est toujours révoltant et repoussant même.... la cruauté. —Nous sommes légers. Nous sommes comme le peuple du Pirée. Nous avons besoin d'un changement de situation, et, lorsque cette situation est passée, il nous faut en quoi que ce soit plaisanter sur elle.
Cela ne m'empêche pas d'être fière de ma nation. Nous n'avons rien de caché, au moins. On peut nous juger sur nos actions; et lorsqu'on aura dit que nous sommes légers, on aura dit à peu près tout le mal qu'on peut dire de nous.
Lorsqu'il fut reconnu qu'il n'y aurait pas encore de longtemps de maisons particulières où l'on recevrait, alors les jeunes gens les plus à la mode parmi les incroyables, les femmes les plus élégantes parmi les merveilleuses, décidèrent qu'on danserait dans des bals publics, où toute la bonne compagnie allant en masse, elle ne serait pas exposée à rencontrer des personnes étrangères à elle. La chose arrêtée, on choisit un local, le premier fut l'hôtel de Richelieu, au bout de la rue Louis-le-Grand : on l'appela par cette raison le bal Richelieu. Plus tard, on prit l'hôtel de Thelusson (i)
(i) Cet hôtel n'existe plus... il était en face de la rue rue de Provence, et le bal reçut également le nom de bal Thelusson.[/i] L'intro est certes un peu longuette, mais elle permet de bien situer le contexte.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:48, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Lun 21 Sep - 0:25 | |
| Bon allez ..... Mais ce fut le premier qui reçut une seconde dénomination bien étrange! on l'appela le bal des Victimesl... et voici l'origine de ce nom.
Au moment où la France en deuil se voyait décimer chaque jour, la plupart des femmes en prison, voulant sauver le trésor de leur chevelure pour le léguer à ceux qu'elles aimaient, avaient pris le parti de le couper elles-mêmes... avant même que le bourreau n'y eût un droit... Lorsqu'elles sortirent de prison ensuite, ces jeunes femmes, elles se trouvèrent avec des cheveux courts, et la première d'elles toutes était madame Tallien. Comme elle était parfaitement belle , et que cette coiffure lui allait bien, elle la garda. Mais ce fut autre chose avec des femmes qui n'avaient pour elles que des cheveux coupés...
On trouva un moyen terme: ce fut d'en faire une mode générale. On appela cela galamment une coiffure à la victime!... mais où ce mot devint choquant, ce fut au bal de Richelieu.
Deux mères que je ne nommerai pas, car elles existent toutes deux, avaient leurs deux enfants avec elles à ce bal; l'une était une fille, l'autre un fils : la fille avait treize ans, et le garçon de quinze à seize. Ces deux dames se rencontrèrent au bal de Richelieu pour la première fois depuis la Révolution; la dernière fois qu'elles s'étaient vues, c'était aux Tuileries, en 1791. L'une de ces dames avait émigré : son mari n'avait pas voulu la suivre, et le malheureux avait payé son obstination de sa tête. C'était le père du jeune homme. Celui de la jeune fille était mort à Quiberon.
L'orchestre venait de jouer les premières mesures d'une contredanse, lorsque la jeune fille, qu'on appelait Adèle, fut engagée par un jeune homme inconnu. Avant de répondre, elle tourna les yeux vers sa mère pour lui en demander la permission; mais au lieu de répondre par une acceptation, la mère de la jeune fille dit au jeune homme : — Je suis bien fâchée, monsieur, ma fille est engagée. Le jeune homme se retira avec regret, car la jeune fille était alors fort jolie. — Mais, maman, dit-elle à sa mère, pourquoi avoir répondu que j'étais engagée? je ne le suis point du tout. — Je le sais bien, ma fille; un peu de patience. Et, se penchant alors vers son ancienne amie de l'OEil-de-Bœuf... — Ernest est-il engagé? lui demanda-t-elle. — Non...; pourquoi?— je croîs qu'il n'aime pas beaucoup la danse... — Croyez-vous qu'il voudra bien danser avec ma fille? — Vraiment, reprit l'amie , je le crois bien... Ernest..., engagez mademoiselle de ***.
Monsier Ernest ne se le fit pas répéter deux fois; et, saisissant la main de mademoiselle de *** , il l'entraîna dans la contredanse, où précisément il manquait un couple. — Ne voyez-vous pas pourquoi j'ai fait danser ces deux jeunes gens ensemble? demanda madame de *** à l'amie de l'OEil-de-Bœuf. — Non...; pourquoi cela ? parce qu'ils sont tous deux très-gentils peut-être? — Ce n'est pas cela : c'est que leurs pères sont morts tous deux pour le Roi; et je trouve que jamais une jeune fille orpheline du fait de ces cannibales ne devrait danser qu'avec le fils d'un martyr comme son père. — Ah ! que c'est merveilleusement trouvé! s'écria l'amie...; c'est une idée qu'il faut faire courir... Hélas! nous ne sommes que trop ici ayant perdu des parents aussi tragiquement... Venez, prenez mon bras, nous allons prêcher votre invention.
Le croira-t-on? à peine cette volonté si étrange fut-elle connue, que les malheureux enfants qui avaient des droits à cette affreuse distinction furent classés, et la contredanse qui suivit ne fut composée qu'ainsi que l'avait désiré madame de***.
Le bal suivant, la chose avait fait des progrès: elle avait été revue et corrigée, et elle était en exercice fort activement. Je l'ai vue. — J'ai vu danser la contredanse des Victimes, et cela, sans que les mères eussent un moment la pensée qu'elles faisaient une chose extraordinaire selon les lois du cœur et celles du monde: car ces femmes étaient bonnes; et l'une d'elles est même Parfaite Ment bonne, et, certes, elles savaient bien vivre. Quant aux enfants, il est inutile de dire qu'ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient.
J'ai longtemps été frappée, quoique bien jeune à cette époque, de cette manière d'établir et prouver des regrets.
La chose se soutint. Il y a plus : lorsqu'elle devint publique, plusieurs personnes qui ne s'étaient pas abonnées, mais qui étaient pourtant dans les conditions voulues, firent prendre des abonnements. On annonçait que le père, le frère, l'oncle, la mère ou la tante enfin, avaient été victimes de la Révolution, et l'admission dans le cercle intime avait lieu aussitôt. On avait soin même de former la contredanse de cette manière : on mettait ensemble les orphelins les plus élevés en infortune, et celui qui n'était mort qu'en prison ne trouvait pas dans cette nouvelle loi assez de protection pour que son fils ou sa fille eût une première place. Ce n'était pourtant pas la faute du père ou de la mère s'ils n'étaient morts qu'en prison!
J'ai su madame de Staël bien étrangement courroucée de ce bal des Victimes et de cette coiffure à la Victime dont la forme rappelait cette horrible mesure précédant l'exécution ,- et cet assemblage de la fille et d'un fils de deux martyrs dans un bal, au milieu des chants de joie, des éclats de la folie!... En vérité, celui qui aurait vu de pareilles choses, et qui aurait été témoin de plusieurs jours de notre Révolution, l'étranger qui aurait assisté à de pareilles saturnales , pourrait dire que notre nation est une méchante nation, et certes il n'en est rien.
Ce bal des Victimes était, malgré ce que je viens de dire, un fort beau bal, mais avec le grand inconvénient d'une fête donnée sans maîtresse de maison. Il y avait du froid, et pourtant on devait craindre la licence dans un lieu où nul frein n'était apporté pour réprimer un excès.OUF !! C'était long !
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:48, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Lun 28 Déc - 10:44 | |
| Pas de panique, je vous ai dit, il reste énormément de zones d'ombre
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:49, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Lun 28 Déc - 17:49 | |
| Ah bah là !! Madame d'Abrantès dit carrément qu'elle y est allée. Elle était présente, elle a tout vu et elle raconte même par le menu la genèse de la chose. Qui dit mieux ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 11:36 | |
| Il y a bien eu une mode à la victime. Ci-après la coiffure (rasé de près ) et la chemise (avec du rouge ) : C'est d'un goût exécrable.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:50, édité 7 fois |
| | | Chou d'amour Administrateur
Nombre de messages : 31526 Age : 42 Localisation : Lyon Date d'inscription : 22/05/2007
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 11:58 | |
| Eh bien vous nous gâtez _________________ Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme c'est le contraire!
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 14:05 | |
| Exécrable est le mot. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 14:21 | |
| Les souvenirs divers et variés de la Duchesse d'Abrantès ont il est vrai souvent été remis en question. Cependant, on peut comprendre les mécanismes qui auraient pu pousser une poignée de nobles rescapés à vouloir se retrouver entre eux, le traumatisme qui peut provoquer un repli sur soi, le besoin de cultiver des valeurs communes. C'est en substance ce que véhicule la conversation rapportée par la Duchesse d'Abrantès : ces deux aristocrates épargnées préfèrent marier ensemble des enfants de pères ayant servi loyalement la Couronne. C'étaient leurs principes de base, et ils avait été éradiqués par les idées nouvelles. L'autre mécanisme, peut-être plus le fait de la jeunesse, c'est la catharsis, qui pousse à revendiquer un esprit de décadence. Cela peut se produire quand une jeunesse ne croit plus en rien. La force de vie qui explose en elle se tourne alors en dérision. Pour saluer, au lieu d'un signe de tête élégant, un danseur secouait sa tête en tous sens pour imiter le moment de la décapitation.Il faut être bien loin pour en arriver là. Mais c'est ça, justement. Cette aristocratie décimée revenait de loin. N'oublions pas les bijoux qui se sont portés, dans la même veine ( sans mauvais jeu de mot ). Une époque de ouf !
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:50, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 14:40 | |
| Oui, il faut être fou pour agir comme ça. Ou traumatisé.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:50, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 15:04 | |
| Ouh ! Ces boucles d'oreille, c'est la totale ! |
| | | Chou d'amour Administrateur
Nombre de messages : 31526 Age : 42 Localisation : Lyon Date d'inscription : 22/05/2007
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 15:09 | |
| Traumatisés, je dirais aussi. _________________ Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme c'est le contraire!
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Bal des Victimes Mer 30 Déc - 15:24 | |
| - Citation :
- Il y a bien eu une mode à la victime.
En effet. D'autres exemples : Coiffure négligée en fichu. Robe échancrée sur le dos. Croisures à la victime.
Dernière édition par Madame Sophie le Lun 21 Mar - 18:51, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Le Bal des Victimes | |
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