Jean-Louis Fargeon

A Scented Palace by Elisabeth de Feydeau chronicles the life of Marie Antoinette's favorite perfumer Jean-Claude Fargeon. The eventual royal perfumer was born the son of a perfumer in Montpellier. As his hometown was losing the fragrance industry battle to Grasse, Fargeon moved to Paris following his studies to complete an apprenticeship, after which he began running his own business.His new bride, Victoire, was especially keen on learning everything about the perfume business, having previously worked in the shop of her father, a gunsmith. With Fargeon creating his blends and Victoire running the books, the couple was able to build a successful business together.
Fargeon's first infiltrated the queen's royal circle through her infamous hairdresser Leonard, for whom Fargeon prepared various hair pomades for him to use on the queen. It was really an investment on the part of the young perfumer as Leonard never paid his tab, even after Fargeon had been providing him with materials and cosmetics to use on his clients for over fifteen years. While the queen certainly favored the pomades, Fargeon did not receive his own commission until quite a while after. Serendipitously, both Marie Antoinette and Victoire were expecting their first child during the year of 1778, and Fargeon took this opportunity to create new blends of fragrances, cosmetics and bath products that would suit the sensitive senses of the two mothers-to-be. With Victoire's help, Fargeon was able to put together a shipment for the queen that she was so taken with that she became a loyal customer. As the years passed, Marie Antoinette grew to rely more heavily on the perfumer and even commissioned him to make two special blends; a fragrance for her that would capture the spirit of her private getaway, the Petit Trianon, as well as a fragrance for an "elegant man", which many believe may have been for Count Axl von Fersen, often said to have been her secret lover. Fargeon's blend for the "parfum du Trianon" contained notes of rose, orange flower, lavender, lemon, bergamot, galbanum, iris, jonquil, jasmine, lily, tuberose, vanilla, cedar, sandalwood, amber, musk and benzoin.
http://thefumehead.blogspot.be/2014/08/a-scented-palace-by-elisabeth-de.html

tous les hommes elegants c"est fersen ???   

Hello tout le monde !

J'ai lu un super article sur Fargeon.
Mais ça va plus loin. Marie-Antoinette avait d'autres parfumeurs.
https://maria-antonia.forumactif.com/t11263-l-eau-de-rose-de-marie-antoinette-et-autres-parfums-voluptueux-de-l-histoire
https://maria-antonia.forumactif.com/t5425-marie-antoinette-trahie-par-houbigant
https://maria-antonia.forumactif.com/t5444-legrand-parfumeur-de-marie-antoinette

parce qu'elle adorait les bonnes choses et les choses qui sentent bon.
https://maria-antonia.forumactif.com/t7993-les-gants-de-marie-antoinette

Du coup voilà ! Si je ne suis pas au bon endroit, Globule que je vois au portail (salut Pierre ! ) me déplacera, pas grave.

Bisous à tous, je poste

• Quand Jean-Louis Fargeon parfumait la reine Marie-Antoinette
  
  1773. Agé de 25 ans, Jean-Louis Fargeon, héritier d’une longue dynastie de parfumeurs, quitte Montpellier pour s’installer à Paris. Son objectif : devenir le parfumeur officiel de la Dauphine, Marie-Antoinette d’Autriche. Un objectif qu’il va atteindre, après avoir été présenté à la jeune femme -devenue reine de France en 1774, quand son époux a coiffé la couronne- et l’avoir convaincue de ses compétences en la matière par ses créations et notamment ses paires de gants parfumés.
  
  Des pommades au citron, à la fleur d’orange double, au concombre, au jasmin...
  «Le parfumeur livre à la Maison de la Reine plusieurs douzaines de gants blancs, des paires de mitaines en peau de chien, des bouteilles de lavande, des litres d’esprit-de-vin, des pots de pommade à la fleur d’orange et de pâte d’amande, de la poudre à la fleur d’orange et des corbeilles de senteur en taffetas parfumé à la poudre de violette et au chypre, sans compter moult accessoires», dont des éventails parfumés, rapporte Elisabeth de Feydeau dans le livre «La grande histoire du parfum», récemment paru aux éditions Larousse*. L’historienne spécialisée dans ce domaine signale que Marie-Antoinette, pour qui il crée «un vinaigre radical ou esprit de Vénus», apprécie aussi, parmi les produits que lui procure son parfumeur officiel, les «pommades au citron, à la fleur d’orange double, au concombre, les bâtons aux mille parfums, ou encore les eaux spiritueuses de lavande, les pommades au jasmin, les eaux de Cologne et les sachets parfumés».
  
  Collaborant avec Léonard, le coiffeur de Marie-Antoinette, Fargeon lui fournit «des pommades parfumées au jasmin pour les cheveux, ainsi que des huiles aux senteurs florales». Et il va jusqu’à parfumer les roses en tissu qui ornent les robes de l’épouse de Louis XVI, conçues par sa modiste Rose Bertin.
  https://www.parismatch.com/