Les boiseries furent alors refaites en 1766 par Jacques Berberckt et Lerouge pour la Dauphine Marie-Josèphe de Saxe.
Seules furent conservées les bordures des dessus de porte.
Elles abritent quatre allégories figurant les arts de Natoire.
Dans l'alcôve, sur la tenture du « meuble d'été » de Mme Adélaïde, des portraits d'Aubry (Madame Victoire jouant de la harpe) et Drouais (Mme Sophie et Louise).
Sur la cheminée, en marbre rouge griotte livrée en 1787, un buste du Dauphin, fils de Louis XV par Pajou et les superbes sièges de Tilliard complètent le mobilier
La Peinture; Don du Lycée Hoche de Versailles en 1908.
Auteur : Natoire Charles Joseph (1700-1777).
Hauteur : 1.080 m. Longueur : 1.600 m
Agencement 2010
Louise Elisabeth de France, future duchesse de Parme et de Plaisance (1727-1759), représentée tenant un rameau d'Olivier et de sa sœur jumelle Henriette de France (1727-1752) tenant une colombe, filles aînées de Louis XV.
Huile sur toile attribué à Gobert Pierre (1662-1744).
Commandés vers 1737 pour l'appartement de Marie Lesczinska à Versailles.
Hauteur : 1.080 m. Longueur : 0.880 m.
Paire de bras de lumière en bronze à trois branches, ciselé, doré à trois branches de style Louis XVI d'après un modèle créé par Louis-Gabriel Felix fondeur doreur, première moitié du 19e siècle- Genre arabesque, branches à rinceaux et têtes d'aigle portant les bobèches, livré au printemps 1787 pour cette pièce.
Hauteur : 0.640 m. Longueur : 0.360 m.
Buste en marbre de Louis de France, dauphin, fils de Louis XV (1729-1765), atelier d'Augustin PAJOU.
Offert par Louis XVI au comte d'Angivillier, directeur des bâtiments du roi.
Saisi dans la collection du comte d'Angivillier en 1793.
Entré à Versailles sous Louis-Philippe.
Pot-pourris, en forme d'artichaut supporté par un ours, monture en bronze doré et porcelaine de Meissen
Flambeau, en bronze doré.
Pendule de la chambre de la comtesse de Provence à Versailles, en bronze doré à figure de l'Astronomie par René-François MORLAY, fondeur, et jean-Antoine LEPINE, horloger, livrée en 1771.
Flambeau, en bronze doré
Pot-pourris, en forme d'artichaut supporté par un ours, monture en bronze doré et porcelaine de Meissen
Écran faisant partie d'un mobilier pour le comte de Gamaches par Jean-Baptiste TILLIARD.
Écran de cheminée, en hêtre sculpté et doré.
Écran de cheminée en noyer sculpté et doré de la chambre de la reine, livré en 1787 par Jean Baptiste Sené, sculpté par Jean Baptiste Hauré.
Chenet en bronze, doré de Pitoin Quentin-Claude (1725-1777) fondeur, doreur.
Feu livré pour la chambre de Madame Adélaïde à Fontainebleau en 1775.
Date : 1775. Hauteur : 0.420 m. Longueur : 0.360 m. Profondeur : 0.155 m.
Paire de chenets
« à enfants jouant de la trompe », en bronze doré, vers 1775.
L'Architecture de Natoire Charles Joseph (1700-1777).
Hauteur : 1.080 m. Longueur : 1.400 m.
Lustre à seize lumières, en bronze doré et cristal de roche, de la fin du XVIIIe siècle.
Sophie-Philippine-Elisabeth de France (1734-1782), dite Madame Sophie, fille de Louis XV.
Huile sur toile de Drouais François-Hubert (1727-1775).
Date : 1763.Hauteur : 0.690 m. Longueur : 0.580 m.
Madame Victoire, fille de Louis XV, jouant de la harpe (1733-1799)- en 1773 - déchiffrant une partition " air de Julie", devant un buste de Louis XV salon de 1773 huile sur toile de Aubry Étienne (1745-1781).
Hauteur : 2.630 m. Longueur : 1.770 m.
Louise-Marie de France, fille de louis XV, dite "Madame Louise", assise en pied sur fond de bibliothèque, tenant un éventail (1737-1787)
Huile sur toile d'après Drouais François-Hubert (1727-1775).
Hauteur : 2.240 m. Longueur : 1.460 m
Marie-Adélaïde de France, dite Madame Adélaïde, fille de Louis XV (1732-1800), représentée en 1785.
Huile sur toile de Heinsius Johann Ernst Jules (1740-1812).
École allemande. Date : 1785
Hauteur : 1.370 m. Longueur : 1.040 m.
Ensemble de sièges et écran, faisant partie d'un mobilier exécuté pour le comte de Gamaches par Jean-Baptiste II TILLIARD.
Acquis en 1784 par le garde-meuble de la couronne pour le service du roi de Suède Gustave III alors en visite en France.
Placé en 1785 dans le cabinet intérieur de Louis XVI au château de Compiègne
(2 bergères et deux fauteuils sont exposés dans le grand cabinet de Madame Victoire). Dépôt du Louvre en 1950.
Canapé en noyer provenant du mobilier du cabinet intérieur de Louis XVI à Compiègne par J. B. Tilliard et J. B. Boulard, acheté en 1784 1784 – 1785.
Hauteur : 1.242 m. Longueur : 2.053 m. Profondeur : 0.872 m.
Lit à trois chevets, en hêtre sculpté et doré, attribué à Georges JACOB, vers 1770-1775.
Impériale de lit, en hêtre sculpté et doré, composée au XIXe siècle à partir d'un segment d'impériale ovale, vers 1785.
Fauteuil attribué à Georges JACOB, vers 1780.
Marie-Louise-Thérèse-Victoire de France, dite "Madame Victoire", fille de Louis XV (1733-1799), représentée en 1786. Huile sur toile de Heinsius Johann Ernst Jules (1740-1812).
École allemande.
Date : 1786. Hauteur : 1.420 m. Longueur : 1.080 m.
Ployant, par François-Honoré-Georges JACOB, dit JACOB- DESMALTER, commandés par Napoléon Ier en 1814 pour le palais de Monte Cavallon (actuel palais du Quirinal) à Rome.
Tapis de la Savonnerie, d'après un dessin de Pierre- Josse PERROT, vers 1750.
La Musique, groupe de putti s'adonnant à la musique.
Huile sur toile Hue Alexandre.
Hauteur : 1.070 m. Longueur : 1.360 m.
Louise Marie de France, madame Troisième, fille de Louis XV (1728-1733)
Commode en laque rouge et bronzes dorés, estampillées de Léonard BOUDIN, à dessus de marbre en brèche violette d'Italie.
Don de Monsieur Antenor PATINO (1976)
La Méditation appuyée sur un tronçon de colonne, tenant un livre.
Biscuit de la manufacture de Sèvres d'après des modèles donnés par le sculpteur Simon Louis Boizot vers 1780.
Candelabre à 9 lumières de Gouthière Pierre (1732-1813), vase bleu, bronze doré et ciselé, provient du salon de Mesdames à Bellevue sous l'Empire, au Palais de Saint-Cloud
La Mélancolie appuyée sur un tronçon de colonne, tenant une colombe.
Biscuit de la manufacture de Sèvres d'après des modèles donnés par le sculpteur Simon Louis Boizot vers 1780.
Commode du salon des nobles de la comtesse d'Artois à Versailles, à marqueterie de tableau de fleurs, commandée à Jean-Henri Riesener le 18 novembre 1779
commode à double ressaut central, marquetée ; le panneau central à décor d'arc triomphal antique en ruine animé de personnages, encadré de deux panneaux marquetés de quatrefeuilles dans des encadrements simulant un chaînage, dessinant des losanges dont les centres ornés de rosettes de bronze doré ; les panneaux de côté marquetés de carrés et losanges ; encadrements à galon amati à angles rentrants ornés de rosaces, frise à la ceinture d'entrelacs, chute en gaines à culots et guirlandes de laurier, montants à canaux à asperges, cul de lampe à masque de Mercure, sabots à patte de lion, le tout de bronze doré ; dessus de marbre brèche d'Alep
Bras de lumière à trois branche en bronze doré attribué à Jean-Pierre Feuchère vers 1785
La Sculpture de Natoire Charles Joseph (1700-1777).
Hauteur : 1.080 m. Longueur : 1.600 m.
Textile : broché par Tassinari et Chatel d'après une tenture commandée en 1788 pour le grand duc Paul de Russie, évocation du gros Tours broché, dessin à fleurs de renoncule, roses et jacinthes bleues et guirlandes de diverses fleurs sur fond blanc, livré en 1770 pour cette pièce.
Console du petit salon de Madame Victoire à Bellevue par Joseph DESCHAMPS, en chêne sculpté et doré, livré en 1785.
Plateau et entretoise de malachite exécutés en 1838
(à l'origine en marbre brèche violette). Table de milieu dite "table des chasses". Bois sculpté et doré par Nicolas-Quinibert et Toussaint FOLIOT en 1757. Plateau en stuc avec le plan du domaine royal de Saint-Germain-en-Laye peint par ANDRIEUX de BENSON en 1732. Livrée en 1757 pour le cabinet de Madame Adélaïde au château de Compiègne.
Entrée à Versailles sous Louis-Philippe.