Promenade à Trianon

Comme tu as osé t'approcher !!!
A voir ta photo l'on croirait entendre le bruissement des ailes et le bourdonnement entêtant de toutes ces petites bêtes au travail .
Impressionnant ...

Tes iris jaunes sont à mourir !

En fait l’essaim était très calme, et les abeilles contrairement aux guêpes, ne sont pas agressives si on ne les gêne pas.
Mais on n'a pas trainé non plus !!!      

Quel courage, je ne sais si j'aurais osé m'approcher. En tous cas je n'ai jamais vu d'essaim comme celui ci. C'est vrai qu'on entend dans ton cliché le bourdonnement des ouvrières.

Citation :

Quel courage, je ne sais si j'aurais osé m'approcher. En tous cas je n'ai jamais vu d'essaim comme celui ci. C'est vrai qu'on entend dans ton cliché le bourdonnement des ouvrières.    

Elles étaient franchement calmes, comme anesthésiées par cette brise un peu fraîche... On a profité lâchement de leur sieste !!!        

Pour compléter.

Au détour d'un chemin

Il est magnifique ton nénuphar !!!      

Et la Tour de malborough plus encore en noir et blanc. Le Comte est notre Doisneau

Ont-ils remis un poisson près du salon frais ?
La reine Victoria au hameau
Nouvelle acquisition du château de Versailles : Visite de la reine Victoria au hameau de la Reine au Petit Trianon, le 21 août 1855 de Karl Girardet
Plus d'infos : http://bit.ly/y0jS9j

clioxviii a écrit:

Ont-ils remis un poisson près du salon frais ?

Il faudrait que, le 6 juillet, nous y remettions un gentil petit couple très amoureux !

Un cygne pas timide, allant à la rencontre des touristes...

Oh comme ce cygne est beau ! A la limite , on pourrait presque le caresser ... 

Madame de Chimay a écrit:

Oh comme ce cygne est beau ! A la limite , on pourrait presque le caresser ... 

Je vous le déconseille fortement ! ces animaux sont peu aimables....

Celui-ci quémandait de la nourriture et farfouinait dans les sacs à dos des touristes pour en trouver. Trankilou !  

Citation :

Un cygne pas timide, allant à la rencontre des touristes...

Il cherche Léda !

Beaucoup de ces merveilleux oiseaux ont fort mauvais caractère et   quand ils pincent .....

clioxviii a écrit:

Beaucoup de ces merveilleux oiseaux ont fort mauvais caractère et    quand ils pincent .....

Ce n'est pas qu'ils ont mauvais caractère, mais c'est bien connu, la meilleurs défense, c'est l'attaque. Et pour eux, c'est une question de survie.

Au fond, point n'est besoin d'avoir un chien ! Ces volatiles sont d'excellents gardiens et d'excellents mordeurs de mollets !

Dans l’intimité de la reine...
Chambre de Madame Campan
Petit Trianon


© Château de Versailles, dist. RMN/Christian Millet


À l’étage du Petit Trianon, au-dessus de l’appartement de Marie-Antoinette, se trouvent les pièces réservées au logement des deux principales personnes à son service : la dame d’honneur, la princesse de Chimay, et la Première femme de chambre attachée à sa toilette et à son habillage, la baronne de Misery. En 1786, Madame Campan, qui deviendra célèbre pour ses mémoires, succéda à cette dernière. Dans un monde où la naissance comptait plus que tout, le destin de cette roturière fut exceptionnel. Si ses qualités humaines lui valurent l’attachement de la reine, Madame Campan dut d’abord sa fortune à son père, commis principal aux Affaires étrangères, qui la fit admettre à la cour en tant que lectrice des filles de Louis XV. En 1770, elle fut placée à la Maison de la dauphine comme seconde femme de chambre. Louis XV lui ayant octroyé une dot, elle se maria à François Bertholet-Campan, dont le père allait devenir le secrétaire et le bibliothécaire de Marie-Antoinette, et surtout le régisseur de son théâtre du Petit Trianon. Aussi fut-elle le témoin privilégié de l’intimité de la reine, et c’est grâce à ses fameuses mémoires posthumes de 1822 que le regard porté sur Marie-Antoinette put changer. Mais Madame Campan était déjà connue pour ses traités d’éducation et sa défense de la cause féminine. En 1794, sur les pas de Madame de Maintenon, elle avait fondé à Saint-Germain-en-Laye un pensionnat de jeunes filles. Elle dirigea ensuite la Maison impériale d’Écouen pour les filles des officiers de la Légion d’honneur. Elle vivra cependant ses dernières années dans la pauvreté, son école ayant été fermée par Louis XVIII qui lui avait reproché ses affinités avec le régime napoléonien.
http://www.versailles-secret.com/p/versailles-secret-et-insolite.html

Magie Culinaire
Sous-sol du Petit Trianon
Emplacement des mécanismes des tables volantes


© Nicolas B. Jacquet

On doit imaginer la Grande salle à manger du Petit Trianon comme un laboratoire de dégustation des fruits et légumes cultivés sous les yeux de Louis XV. La richesse des boiseries et des peintures de la grande salle à manger célèbre la prodigalité du domaine : dans les impostes figurent les couples mythologiques Borée et Orythie, Flore et Zéphyr, Vénus et Adonis, Vertumne et Pomone, tandis que, dans quatre grands tableaux – La Moisson, La Chasse, La Vendange et La Pêche –, des nymphes dénudées et des putti glorifient les sources de toute nourriture. Cette sensualité figurative sert une véritable ode à la nature. Mais la beauté ne fait pas nécessairement mauvais ménage avec les artifices ; en 1770, Louis XV commanda au mécanicien Antoine-Joseph Loriot trois tables volantes qui auraient dû surgir au centre de la pièce, chargées de mets, grâce à un ingénieux système de poulies et de contrepoids après que des plaques de métal sculptées de roses eurent coulissé sous le parquet ! Mais Marie-Antoinette, qui hérita du domaine en 1774, ne semble pas avoir donné suite à cette commande, même si l’on peut effectivement observer, dans le sous-sol de la fruiterie située au rez-de-chaussée, le maçonneries qui étaient prévues pour loger le mécanisme. Les seules « tables magiques » que le règne de Louis XV ait connues furent celles du château de Choisy, réalisées en 1756 par l’ingénieur Guérin de Montpellier. Leur légende alimenta les pamphlets qui visèrent les favorites. On critiqua l’absence volontaire de domesticité en imaginant les pires orgies. Or, cette mise en scène théâtrale de l’art de la table est plutôt une marque du raffinement culinaire du 18e siècle.

Photos à la luminosité intéressante:





<a href="http://www.tripadvisor.com/LocationPhotoDirectLink-g187148-d188681-i90149774-Chateau_de_Versailles-Versailles_Yvelines_Ile_de_France.html#90149765"><img alt="" src="http://media-cdn.tripadvisor.com/media/photo-s/05/5f/93/85/chateau-de-versailles.jpg"/></a><br/>This photo of Chateau de Versailles is courtesy of TripAdvisor
<a href="http://www.tripadvisor.com/LocationPhotoDirectLink-g187148-d188681-i90149774-Chateau_de_Versailles-Versailles_Yvelines_Ile_de_France.html#90149774"><img alt="" src="http://media-cdn.tripadvisor.com/media/photo-s/05/5f/93/8e/chateau-de-versailles.jpg"/></a><br/>This photo of Chateau de Versailles is courtesy of TripAdvisor

Marie-Antoinette a fait construire ce boudoir particulier dans une pièce attenante à sa chambre, à l'emplacement de l'escalier qui menait aux appartements privés de Louis XV. Toutes les fenêtres pouvaient être obturées par des miroirs au moyen d'un système mécanique.



Juste en-dessous du boudoir de la reine, on peut désormais observer le fonctionnement du mécanisme qui permettait de monter ou descendre les boiseries équipées de miroirs destinés à occulter les fenêtres. Ce système de poulies a été conçu par J. T. Mercklein en 1776.
http://mamaisondelin.blogspot.be/2011/05/en-visite-chez-marie-antoinette_09.html

Jeanne-Louise-Henriette Campan, première dame de chambre en 1786, et tout le service de la reine, logent au-dessus de ses appartements, à l'entresol. Toutes ces pièces étaient jusqu'à présent fermées au public et ont fait l'objet d'une restauration particulière. L'état de référence des travaux se place comme pour les étages précédents en 1789, tel que le couple royal l'avait laissé avant la Révolution.


La chambre de la dame d'honneur, elle accompagnait la reine à chaque déplacement. Cette fonction importante a d'abord été remplie par la comtesse de Noailles (1770), puis la princesse de Lamballe et la comtesse de Polignac (1780). La teinture murale, restaurée, est la reproduction d'une "indienne", toile imprimée de la fin du XVIIIe siècle.


La bibliothèque de la reine a été construite selon les désirs de la Reine à l'emplacement du cabinet d'angle de Louis XV. Les armoires grillagées qui avaient disparu ont été reconstruites en 2008 selon les plans de l'architecte Mique datés de 1780.
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Remeublée en l'état Louis XV, la chambre du roi est recouverte d'une teinture rouge en lampas cramoisi de Lyon, "à musique chinoise" évoquant le motif original.



Le cabinet d'angle est la seule pièce aménagée pour Louis XVI en 1777, ce dernier ayant conservé le mobilier de son aïeul pour le reste de l'appartement. Elle se situe à l'emplacement de l'ancien escalier privé de Louis XV. Le bureau a été réalisé par l'ébéniste Riesener.



Le petit salon de madame Elisabeth, cette pièce évoque madame Elisabeth, sœur de Louis XVI installée au Petit Trianon en 1782. Elle jouit d'une vue pittoresque sur le jardin anglais et le Belvédère. Elle fut occupée par la suite par les gardes du corps royaux.
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