| | Ventes aux enchères | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Ven 6 Sep - 23:35 | |
| Le temps a estompé puis fané les couleurs ... J'aime beaucoup ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 8 Sep - 14:55 | |
| Il avait été vendu au enchère le 24 mars 2012 à Toulon, une paire de mule de Marie Antoinette porter le 14 juillet 1790. Voici l`article http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article5707 Vous l`avez probablement mentionné sur le forum. Il vait aussi une page d`écriture du Dauphin et un eventail fabriqué en décembre 1793 Il y a un portrait de la reine trés exquise que j`ai jamais vu Fleurdelys |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 8 Sep - 15:18 | |
| Effectivement nous avions annoncé et fait nos commentaires à la suite de cette folle vente Les mules sont parties vers la RUSSIE à un prix dément - en octobre il en a été de même pour une autre paire de chaussures, sans oublier cette année la mule du 10 Aout 1792 cassée partie vers les USA pour 32.000 euros + frais J'attends de recevoir pour octobre 2013 le catalogue d'une vente d'une collection totalement inconnue provenant de BELGIQUE chez MAITRE COUTEAU BEGARIE à PARIS - l'expert CYRILLE BOULAY m'ayant indiqué qu'il y aurait des choses très intéressantes et diverses pour tout amateur fortuné ou non !!!!! alors patience !!!! MARIE ANTOINETTE A la vente de TOULON j'avais acquis, avec surprise une ravissante petite commode d'époque portant le portrait de LOUIS XVI sur ses poignées. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 8 Sep - 22:11 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mer 11 Sep - 13:54 | |
| Aux enchères chez Artcurial le 4 octobre 2013, ce portrait présumé de Louis XVI enfant : Notice du catalogue : Ecole française vers 1770 Portrait présumé de Louis XVI enfant Huile sur toile 62,50 x 52 cm (24,38 x 20,28 in.) Commentaire : Notre portrait peut être rapproché d'un portrait du duc de Berry, futur Louis XVI, de Louis Michel Van Loo, daté de 1769 et conservé au musée du château de Versailles. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mer 11 Sep - 14:11 | |
| Il est étonnant ce portrait, hein? En ce qui concerne l'aspect "petit vieux", je crois que les cheveux poudrés vieillissaient pas mal les gens... et par ailleurs, les artistes avaient beaucoup plus de mal à peindre les enfants que les adultes. Il est rare de trouver des portraits d'enfants vraiment réussis. Ils font toujours plus vieux. L'un des portraits les plus flippants est celui du comte de Provence enfant (on dirait l'affiche d'un film d'horreur américain ). |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mer 11 Sep - 22:18 | |
| - Citation :
- Le toison d'or n'est pas la peau du mouton???
Elle est représentée sous la forme d'une peau de bélier si j'ai bien compris... Voici Louis XVI portant la toison d'or (peau de bélier suspendue au ruban rouge ) : |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mer 11 Sep - 22:35 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 14 Sep - 8:17 | |
| A la même vente Artcurial du 4 octobre 2013 : ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXE SIÈCLE D'après Louise-Elisabeth
Vigée-Lebrun Portrait des enfants de France: Louis-Joseph- Xavier-François et de Marie-Thérèse-Charlotte Huile sur toile (Toile d'origine) 116,50 x 89 cm (45,44 x 34,71 in.) D'après le portrait de Madame Vigée-Lebrun présenté au Salon de 1785 et aujourd'hui conservé dans les collections du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.Estimation : 6 000 - 8 000 €.L'estimation est assez élevée. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 14 Sep - 12:53 | |
| En vente le 15 novembre 2013 chez Audap & Mirabaud, ce portrait de Guichette, alias Aglaé de Gramont, née de Polignac, duchesse de Guiche (1768-1803) par Elisabeth Vigée-Lebrun. Cette peinture, signée et datée « Vigée / Lebrun à / Vienne 1794 », a été exécutée pendant l’exil de la famille de Polignac, nous dit-on. Estimation : 150.000 EUR / 180.000 EUR. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 14 Sep - 13:20 | |
| Quelle heureuse découverte ! J'adore cette nonchalance (maternelle!) qu'on lui voit sur ce portrait. Bien à vous. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 14 Sep - 13:50 | |
| uff!!!! Quelle ressemblance avec sa mère!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Sam 14 Sep - 22:20 | |
| Je trouve aussi ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 13 Oct - 9:29 | |
| En vente chez Tajan le 30 octobre 2013, un grand nombre de correspondances du marquis d'Autichamp. Lot n°13 : lettre du marquis d'Autichamp à sa femmeJean-Thérèse-Louis de Beaumont marquis d’AUTICHAMP. 1738-1831. Ancien aide de camp du duc de Broglie, à l’Armée des Princes, puis au service de l’Armée russe sous Souvorov, nommé par le Tsar inspecteur de cavalerie en Ukraine. L.A. (à sa femme ?). Ce 11-22 janvier 1800. 4 pp. in-folio. Belle lettre, très sombre, au moment de sa disgrâce de général des troupes russes avec le comte de Langeron ; il est fait mention en particulier du triste sort de Louis XVIII à Mittau ; le marquis ne se console pas de la mort de son serviteur ; (…) Cet événement m’a beaucoup plus affecté que mes autres malheurs (…) J’avais finis ma vie moralle en Russie avec la fin de cet épouvantable siècle. A la suite de Vioménil, il a employé quatre personnes à la chancellerie ; il se désole des calomnies qu’on a fait circuler à son sujet auprès du Tsar et qui ont provoqué sa disgrâce. Sans doute tu étais loing de l’attendre, il n’y avait pas un mois que l’Empereur m’assurait et me faisait dire qu’il connaissait mon zèle, si j’en avais manqué, je ne serais pas plus mal traité ; j’ay fait mon devoir, c’est une consolation (…). Je n’irai point à Mittau et pour cause, je suis déjà certain que l’on me plaint et que ma position ne change pas la bienveillance que l’on y a pour moy, mais il ne faut pas que j’y embarasse ; on me conseille d’aller à Riga (…). L’Angleterre est le seul lieu où je me soucie d’être, surtout dans la position où se trouve la France (…) je ne renonce pas à l’espoir d’y aller joindre mes neveux et leurs phalanges vendéennes, tout seul, puisque l’on ne m’a pas cru digne de marcher vers eux avec des troupes russes (…). A propos de Rostopchine, de la grippe qui touche son régiment ; Tout le monde est malade à Mittau. Le Roy est presque le seul qui se porte bien. M. le duc d’Angoulême a été assez incommodé ; sur 100 gardes du corps, il y en a 60 de malades. Mittau, me mande-t’on, ressemble à un grand hôpital (…). J’ay tout perdu, fors l’honneur, et c’est ce qui ne peut m’être enlevé ; tu n’en seras pas moins Madame la généralle pour tout le monde (…) tu devras retrancher de mon adresse le titre de chef de régiment (…). Lot n°14 8 lettres du marquis d'Autichamp au chevalier de la Garde, son aide de camp puis chambellan du Tsar. Jean-Thérèse-Louis de Beaumont marquis d’AUTICHAMP. 1738-1831. Ancien aide de camp du duc de Broglie, à l’Armée des Princes, puis au service de l’Armée russe sous Souvorov, nommé par le Tsar inspecteur de cavalerie en Ukraine. 8 L.A. (au chevalier de La Garde, son aide de camp puis chambellan du Tsar). Naroditchi, 1804-1813. 35 pp. in-4. Longue correspondance du marquis d’Autichamp, au service de la Russie, et sur la gestion de ses domaines en Ukraine : 1804 : à propos de son installation dans son domaine de Naroditch ; (…) Je joue depuis mon arrivée la pantomime par merveille, et moitié allemand et en trois langues français, russe et polonais. Je me suis assez bien tiré d’affaire, je crois entrevoir que l’économe n’a pas inventé la poudre, il a fait tout à peu près de travers, le foin et la paille à 500 pas de l’écurie, point d’avoine préparée, pas une porte qui ferme, la maison assez mal réparée (…). Il décrit le personnel de sa maison, fait part de leur ivrognerie avec ironie ; il demande de faire traduire son courrier en allemand et en russe ; si vous n’avez pas de cachet, servez vous de celuy du régiment de l’Impératrice (…). A propos de Mme l’économe et de ses filles, de ses longues soirées, demandant de lui faire parvenir du vin et du thé, ne pouvant boire l’eau de la région ; Nous avons à dix verstes d’icy, un grand seigneur, au moins le regarde-t-on comme tel ; il a à ce que me disent mes juifs, un très beau palais, son nom est Walewski et son titre Voïvode (…).Le Grand Duc a été chez luy avec toute sa suite (…). Il lui transmet une lettre pour le vice-gouverneur Grokholsky à propos de son inspection, M. Chetesky lui a apporté un très beau chevreuil, Mde Valewsky a dîné chez eux ; (…) J’ai reçu des lettre d’Ouman, d’Odesse, de Petersbourg, une entr’autre française du Cte de Lieven qui me dit que Sa Majesté approuve que mon semestre ne datte que du jour que j’en ay profité, mais rien pour ma grande affaire qui ne finit pas et qui me met véritablement dans un cruel embarras. Il a reçu 3 lettres de Mde d’Autichamp ; On dit le roy de Prusse très piqué de l’arestation à Hambourg du ministre d’Angleterre, le cher Rimbault que nous connaissons, qu’il a fait remettre à cet égard une notte très forte au ministre de France à Berlin. Il demande satisfaction. Elle ajoute que le rapport de M. de Termasoff a été conforme au mien (…). Lambert est toujours en France, son fils le diplomate en est fâché. Je le conçois. M. de Choiseul devrait être de retour, je ne sçay pourquoy on le supose, car l’amy de M. de Talleyrand est très bien à Paris. Le ménage Davidoff ne va pas déjà trop bien. Le mary s’est remis à jouer, il fait plus de dépense qu’il ne peut (…). Le Roy à Riga d’où l’on croit qu’il s’établira à Mittau, a été très contrarié et bien battu par la mer parce qu’il faut qu’il soit malheureux sur tous les points. Le couronnement du Corse retardé. On croit que le Pape ne viendra pas. (…). La princesse Madeleine Beloselsky épouse un M. le colonel Velosoff, des Gardes, que Mde d’Autichamp dit que vous devez connaitre. On ne parle que de gens qui donnent leur démission. M. de Cheping aide de camp du Grand Duc a demandé la sienne (…). 1805 : à propos de son traineau qui a été cassé ; malgré plusieurs accès de colère et quelques coups de batons, je n’ay pu venir à bout de mes ivrognes ; l’Empereur lui refuse un changement de place. Mention du général Essipoff ; 1806, sur le courrier reçu de Kiev renfermant « les paroles toutes d’or du général Polinoff » ; il regrette son aide de camp et fait part d’un escadron commandé par un major Korsakoff parent du général qui était en suisse ; il parle français, il a lu Voltaire, ne l’a pas compris et en parle sans cesse. Du reste il est bon homme et s’acomode très bien et très quotidiennement de mon diné (…). Sur les soldats et cavaliers qui « boivent comme des trous ». Il donne des nouvelles notamment d’anciens officiers émigrés qui se sont installés et mariés à Riga, de Mme de Polignac, du duc de Richelieu, sur la fin tragique du prince Tchichianoff, de Meyendorff qui le remplace, de Tormasoff, etc. Mme Bringen devient chaque jour plus aimable, elle assiste à tous mes repas, couche dans ma chambre, peut-être bientôt dans mon lit, ce sera aussy bien que d’y avoir une autre personne qui pourrait m’en faire repentir (…). 1810 : longue lettre concernant son procès contre les juifs et la gestion de son domaine qui avait été ruiné par Prokorchikoff, et que lui avait confié en 1803 le Tsar. A propos des Gazettes de Pétersbourg et des nouvelles politiques, sur la comtesse Strogonoff, du scandale de Mde de Chamborand à la Cour de Russie : M. Aratcheïff m’avait répondu qu’il ne se mêlerait pas de ses affaires, et M. Barkley de Tolley m’a écrit affirmativement que l’Empereur n’était pas dans l’intention de luy rien donner ; mais elle a remuée de tous les bouts ; dans ce genre, elle est experte (…). A propos des enfants du comte de Broglie qui serait peiné de les voir devenir maréchaux d’Empire, sur le baron de Damas. 1813 : Je crois bien à la guerre et suis affligé de l’obligation où l’on est de la continuer ; l’Autriche déclarée pour la cause générale serait un grand poids dans la balance. Je ne crois pas aux 6 ou 700 mille hommes que Bonaparte a dit-on rassemblés (…). L’Europe aura l’avantage. Etc. Lot n°16 : 4 lettres du duc de Choiseul au marquis d'Autichamp
[Marquis d’AUTICHAMP]. Claude-Antoine duc de CHOISEUL. 1760-1838. 4 L.A. au marquis d’Autichamp (à Liège), officier général au service de Sa Majesté le Roy de France. Bruxelles, Heidelberg, Mayence, septembre-décembre 1793. 7 pp. in-4, adresse au verso, cachet de cire noire aux armes. Rare correspondance au moment de la campagne de l’Armée des Princes, et des premiers grands combats, notamment pour conserver Mayence et Haguenau : le duc fait part de son prochain voyage en Suisse et demande des instructions d’ordres pratiques ; Je ferai part aux officiers choisis qu’ils doivent obéir aux ordres de M. le Cte de Damas-Crux et du duc de L., vous voudrez bien leur remettre leurs adresses (…). À propos de la correspondance qu’il lui a envoyé à Ham, annonçant son départ pour Cologne et Mayence ; envoyez-moi une estafette avec une lettre de vous et de M. le duc de Serent s’il m’écrit, pour me mander si le départ de Mgr ou le votre est arrêté, et pour au cas s’il est incertain, serai tout de suite à Hamm (…). Vous sentez bien que dans la circonstance présente, ma seule place est de suivre Monseigneur, ou d’être avec vous. Vous savez mes vœux, servir avec vous, sous vous (…). La terreur est dans Haguenau. On craint, sir les attaques continuent d’être obligés d’abandonner cette ville pour prendre la position des lignes de Laute et Veisenbourg. M. le duc de Bourbon est transporté à Rastadt (…). Mgr a écrit à M. le Pce de Condé pour avoir M. de Vioménil et M. de Bethisy (…). Commandants à l’avant-garde, ils sont difficiles à remplacer, mais Choiseul pense qu’ils seront plus utiles à la Vendée ; à propos de la neutralité des Gênois malgré les intentions hostiles de la Convention. (…) Je suis en chemin pour aller savoir si on veut faire quelque chose. Je m’embarque demain sur le Rhin, serai à Cologne mercredi de bonne heure et espère être à Hamm samedi soir. Si rien n’est décidé (…), je demanderai alors ma liberté d’aller à Toulon (…). Si au contraire, la nouvelle que l’expédition de lord Moore a été heureuse (…), je serai tout prêt (…). On craint que M. de Wurmser ne puisse pas conserver Haguenau (…). Cf. aussi les lots n°17, 18, 19 .... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 13 Oct - 14:02 | |
| un belle et importante vente de documents en perspective -j'espère que le MARQUIs de la Comtesse DIANE pourra acquérir une lettre pour sa documentation personnelle à un prix modeste !!! amicalement MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Dim 13 Oct - 19:05 | |
| - Citation :
- Il donne des nouvelles notamment d’anciens officiers émigrés qui se sont installés et mariés à Riga, de Mme de Polignac, du duc de Richelieu, sur la fin tragique du prince Tchichianoff, de Meyendorff qui le remplace, de Tormasoff, etc. ....
De quelle Mme de Polignac s'agit-il, le sais-tu ? Diane, peut-être, qu'il aurait donc revue en Russie pendant l'émigration ? Nous nous souvenons que Jules et elle s'installent là-bas ... A moins que cela ne soit Idalie, l'épouse d'Armand ... Ah ça par exemple, tu as le chic pour coller à l'actualité du Boudoir ! Nous étions avec le marquis il y a une semaine !!! Il avait l'air super décontracté ( ) pour quelqu'un qui écrit avoir traversé autant d'épreuves . Qu'il ne se console pas de la mort de son serviteur le rend bien sympathique, cet homme ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Lun 14 Oct - 23:29 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 15 Oct - 18:06 | |
| Quant à la miniature attribuée à Madame Elisabeth .... cela me semble tout à fait discutable. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 15:49 | |
| En vente chez Audap & Mirabaud le 15 novembre 2013, ce " portrait présumé de Marie-Antoinette" (au saut du lit ? ), signé de Dominique Doncre, en 1784. Qu'en pensez-vous ? Je dois dire que j'ai beaucoup de mal à y reconnaître notre héroïne. Voici la note de la SVV : DONCRE Dominique (1743-1820). « Portrait présumé de Marie-Antoinette ». Toile de forme ovale, signée et datée au centre à droite : « D. DONCRE/ pinxit 1784 ». Haut. : 66 cm ; Larg. : 56 cm. Estimation : 4.000 / 6.000 EUR. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 16:31 | |
| Le peintre en question est un artiste du nord de la France que j'ai découvert au musée d'Arras l'an dernier. Il aurait dû se contenter des trompe-l'oeil... D'après cet article http://www.archivesdunord.com/135-dominique-doncre.html (il n'a même pas droit à une page wikipédia), il est plutôt resté dans sa ville de province, à portraiturer la noblesse de robe et bourgeoisie locales. Les grands noms du coin (on parle du duc de Lévis et de l'évêque dans l'article mais j'ai vu dans cette ville l'hôtel du comte/duc de Guines) préféraient un artiste parisien plus prestigieux. Donc, à moins d'un court séjour à Paris et une prise rapide des traits de la reine lors d'un grand couvert, je ne vois vraiment pas quand aurait-il pu recevoir commande de Marie-Antoinette. Si c'est vraiment elle, ce devait rester dans un cadre privé, genre " souvenirs de ma visite de la capitale". En aucun cas, me semble-t-il, Marie-Antoinette n'a pu entendre parler de lui. Pourquoi l'aurait-elle distingué ? En tout cas, il valait mieux pour sa carrière, voire sa vie qu'elle n'ait jamais vu ce portrait d'elle (si c'est elle ) ! L'article ne mentionne pas de séjour parisien à cette date. Donc... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 16:43 | |
| Je viens également de faire quelques recherches. Effectivement, il a fait pas mal de portraits de petits notables. Il a un beau coup de pinceau, le trait est fin, assuré. Mais en ce qui concerne le portrait qui nous occupe, je doute qu'il représente Marie-Antoinette. D'ailleurs, la SVV est prudente, elle se contente de dire "portrait présumé de Marie-Antoinette". |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 17:06 | |
| Je me demande si cette femme mystérieuse n'est pas Isabelle Claire de Gand de Nerode, comtesse de Montmorency ? Voici un portrait de cette comtesse, attribué à Dominique Doncre et vendu chez William Doyle en 2001. Le style moyennageux du vêtement ressemble pas mal au style de la femme "présumée" être Marie-Antoinette. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 17:14 | |
| Le style moyennageux du vêtement ressemble pas mal au style de la femme "présumée" être Marie-Antoinette.[/quote] Oui, moi aussi je trouve le costume que porte la soi-disant Marie-Antoinette très archaïque. Après, il y a bien eu une courte mode en 1775 ou 1776 où il fallait retourner au temps de Henri IV et de Marie de Médicis : A priori en 1784 à Arras, il y avait un certain retard ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ventes aux enchères Mar 22 Oct - 18:00 | |
| j'ai reçu ce matin le gros catalogue de la vente du 30 OCTOBRE prochain chez COUTEAU BEGARIE - outre quelques GROSSES erreurs par exemple "GEORGES LENOTRE" au lieu de GOSSELIN LENOTRE voici deux lots proposés qui représenteraient SA MAJESTE lot 102 d'après VIGEE LE BRUN école française début XIX° siècle huile sur panneau, la représentant de buste de trois quarts légèrement tournée vers la gauche, vêtue d'une robe de velours violet et coiffée d'un fichu, sans bijou ni attribut , à la manière d'une "belle fermière" (voir la gravure célèbre)comme elle était parfois représentée. H 45 cms - L 11 cms prix 400/600 euros (ce n'est point la Reine, et je crois avoir déjà vu cette dame en vente soit sur EBAY soit dans un autre catalogue .... achat refusé pour une collection sérieuse) Lot 155 pendentif orné sur une face d'une miniature sur ivoire représentant un portrait de la Reine vu de trois quarts conservé sous verre bombe, l'autre face contenant un précieux fragment d'étoffe noire, qui serait, selon la tradition familiale, un morceau de la robe de deuil que la Reine portait au Temple après l'exécution du Roi. diamètre 2 cms - estimation 1.500 /2.000 euros cette personne ne ressemble absolument pas à la Reine - c'est une jeune fille dans toute sa jeunesse -en ce qui concerne le micro morceau d'étoffe - TRADITION FAMILIALE - il est facile de mettre un tout petit morceau d'une robe ancienne et de l'attribuer, comme beaucoup de souvenirs dit de famille, à MARIE ANTOINETTE. je peux faire de même , mais de meilleure qualité, en prenant une miniature de la Reine .... en y mettant un petit morceau d'une robe de celle-ci dont je possède déjà un petit morceau authentifié par une lettre de Monsieur LAURENTIE, historien de LOUIS XVII la miniature est belle et ancienne et le morceau est de grande qualité, on ne peut prétendre à une tentative d'escroquerie !!!! (humour) il y a aussi une tasse en Sèvres qui aurait été utilisée par le Roi au Temple jusqu'à sa mort après l'avoir utilisée aux TUILERIES donnée par le Roi à HUE !!!!! je ne vois pas HUE allant, dans ce qui restait des appartements royaux des TUILERIES après le saccage du 10 Août 1792, récupérer des pièces de porcelaine surtout la tasse du Roi pour le service du TEMPLE: - système D) C'est un gros catalogue comportant plusieurs chapitres - mais en ce qui concerne la partie LOUIS XVI/MARIE ANTOINETTE, après examen avec un loupe............rien d'exceptionnel !!!!!! par contre les prix de départ sont, à mon avis, trop élevés. bonne soirée MARIE ANTOINETTE |
| | | Invité Invité
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