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| 10 films sur la Révolution française | |
| | Auteur | Message |
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de La Reinta
Nombre de messages : 1433 Date d'inscription : 15/03/2016
| Sujet: 10 films sur la Révolution française Mar 25 Sep - 7:43 | |
| Un peuple et son roi sort demain !!! Du coup si on s'en repassait 10 ??? La Marseillaise de Jean Renoir - 1938 Alors que se répand en France l’annonce de la prise de la Bastille, un groupe de Marseillais s’organise pour faire la révolution. Via cette histoire, Jean Renoir met en lumière dans La Marseillaise la Révolution française et la période de 1789 à 1792. Porté par Pierre Renoir, Lise Delamare et Léon Larive, ce film sorti en 1938 a été tourné en pleine période du Front populaire. Financé en partie grâce à une souscription publique de la CGT, il a divisé les médias à sa sortie par son côté très politique et ses partis pris. Mettant à l’honneur des personnages « normaux » et laissant de côté les figures historiques telles que Rouget de Lisle, compositeur de La Marseillaise, Jean Renoir signe une œuvre réaliste, tout en faisant le parallèle, en second plan, avec la France du Front Populaire.Marie-Antoinette, reine de France de Jean Delannoy - 1956 Rassemblant Michèle Morgan, Richard Todd et Jacques Morel, ce film suit le destin hors-norme de Marie-Antoinette, de son arrivée à la cour de France à son décès sur l’échafaud. Il met notamment en lumière sa passion amoureuse pour l’officier suédois Axel de Ferson. En compétition lors du Festival de Cannes 1956, la réalisation de Jean Delannoy mélange romance et film historique. Ce dernier n’a pas été le seul à consacrer un film à Marie-Antoinette. En 2006, Sofia Coppola a propulsé Kirsten Dunst dans la peau de la reine française dans une œuvre pop et contemporaine.Les Mariés de l’An II de Jean-Paul Rappeneau - 1971 Comédie légère sur fond historique, Les Mariés de l’An II suit les aventures de Nicolas Philibert, un roturier de Nantes qui s’est exilé en Amérique. Alors qu’il souhaite épouser une riche héritière, il est contraint de rentrer en France pour divorcer de sa première femme, Charlotte. Mais la Révolution qui fait rage dans le pays complique ses recherches. En compétition au Festival de Cannes 1971, Les Mariés de l’An II rassemble Jean-Paul Belmondo, Marlène Jobert, Sami Frey et Michel Auclair. Ce film d’aventure historique au ton burlesque, qui a mis 5 ans à voir le jour, est une comédie marquée par un casting d’en donnant à cœur joie.La Nuit de Varennes d’Ettore Scola - 1982 Présent en compétition officielle au Festival de Cannes 1982, La Nuit de Varennes d’Ettore Scola plonge au cœur de la France de 1791. Un film avec Jean-Louis Barrault, Marcello Mastroïanni et Harvey Keitel. En pleine nuit, un carrosse transportant Louis XVI et Marie-Antoinette quitte discrètement le Palais-Royal en direction de l’Est. Une scène à laquelle assiste Nicolas Restif de la Bretonne, un écrivain libertin. Ce dernier, qui se lance à leur poursuite, croise en chemin le chevalier Casanova. Les deux hommes attrapent une diligence dans laquelle a déjà pris place une comtesse. S’engage alors, entre tous les passagers, une grande conversation sur leurs idées politiques respectives. Un postulat qui est l’occasion, pour le réalisateur Ettore Scola, de faire une belle leçon d’histoire en mettant en lumière un monde en mutation.Danton d’Andrzej Wajda - 1982 Gérard Depardieu enfile le costume de Danton pour Andrzej Wajda dans ce long métrage qui a reçu le Prix Louis Delluc en 1982, le César du meilleur réalisateur en 1983 et le BAFTA Award du meilleur film non anglophone en 1984. Sorti en 1982, il suit le retour de Danton à Paris en 1793. Ce dernier quitte en effet Arcy-sur-Aube, inquiet de la tournure que prend la révolution. Aidé du journaliste Camille Desmoulins, il prend la tête d’un parti dénonçant la Terreur et prônant la négociation avec l’ennemi. Une position qui le contraint à affronter Robespierre, son ancien compagnon de lutte. Mettant en opposition deux visions de la Révolution, Andrzej Wajda signe une œuvre historique qui n’est pas sans rappeler le contexte politique polonais de l’époque, avec la répression et l’Etat de siège instauré dans le pays entre 1981 et 1983. Une situation combattue notamment par l’insurrection ouvrière polonaise.Chouans ! de Philippe de Broca - 1988Philippe Noiret, Lambert Wilson, Roger Dumas, Sophie Marceau et Stéphane Freiss sont réunis dans ce film. Un long métrage qui narre, à la fin du XVIIIè siècle, l’histoire de la famille du comte Savinien de Kerfadec dont les enfants ne partagent pas les mêmes visions politiques. Certains ont une fibre révolutionnaire, ce qui n’est pas le cas de tous. Nommé au César des meilleurs costumes en 1989 - une cérémonie qui a permis à Stéphane Freiss d’obtenir le prix du meilleur espoir masculin -, Chouans ! est également sorti en version longue sur le petit écran. La réalisation de Philippe de Broca réunit un joli casting dans cette fresque familiale qui se permet certaines libertés historiques. La Révolution française de Robert Enrico (partie 1) et Richard T. Heffron (partie 2) - 1989Echec commercial à l’époque, ce film historique réalisé pour le bicentenaire de la Révolution française a bénéficié d’importants moyens : un budget de plus de 300 millions de francs (près de 58 millions d’euros), 6 mois de tournage, 15 000 costumes, 200 comédiens dont François Cluzet (Camille Desmoulins), Jane Seymour (Marie-Antoinette), Christopher Lee (Charles-Henri Sanson), Andrzej Seweryn (Robespierre) et Michel Galabru (l’abbé Jean-Sifrein Maury)… Divisée en deux films - Les Années lumière et Les Années terribles -, cette fresque se veut une reconstitution fidèle de la Révolution française. Proche du documentaire, le film, nommé en 1990 pour le César des meilleurs costumes, évoque avec précision les événements de l’époque, en montrant malgré tout un certain parti pris pour Danton. L’Anglaise et le duc d’Eric Rohmer - 2001Dans ce film, avec au casting Jean-Claude Dreyfus, Lucy Russell et Rosette, Eric Rohmer raconte la Révolution française par le biais de Grace Elliott, une Anglaise royaliste très proche du Duc d’Orléans qui soutient de son côté les idées révolutionnaires. Nommée à deux reprises aux César 2002 (catégories meilleurs costumes et meilleurs décors), la troisième réalisation en costumes d’Eric Rohmer est un petit ovni dans le monde des films historiques. Adapté des mémoires de Grace Elliott, ce long métrage a pour décor des toiles de Paris réalisées par Jean-Baptiste Marot. Les comédiens, qui ont tourné devant un fond vert, ont été incrustés numériquement sur les peintures. Une singularité graphique qui est l’un des atouts de cette œuvre esthétique. Les Adieux à la reine de Benoît Jacquot - 2012Prix Louis Delluc 2012 du meilleur film, Les Adieux à la reine a reçu 3 César en 2013 (meilleurs décors, costumes et meilleure photographie) sur 10 nominations (notamment dans les catégories meilleur film, réalisateur, montage et meilleure adaptation). Rassemblant Léa Seydoux, Diane Kruger, Virginie Ledoyen, Xavier Beauvois et Michel Robin, Benoît Jacquot raconte l’histoire de Sidonie Laborde, jeune dame de compagnie dévouée à la Reine. Lorsque l’annonce de la prise de la Bastille arrive à Versailles, certains membres de la cour commencent à s’enfuir. Sidonie, qui se pense protégée par Marie-Antoinette, préfère ne pas croire en cette nouvelle. Adapté du livre du même nom de Chantal Thomas, le film se focalise sur les quatre jours qui ont fait basculer la France en 1789. Tourné en grande partie au sein même du Château de Versailles, Les Adieux à la reine s’éloigne des codes traditionnels des films historiques grâce à une touche très contemporaine et une œuvre mettant la femme à l’honneur. et le petit dernier !!!! Un peuple et son roi de Pierre Schoeller - 2018 Dernier né dans la longue liste des films consacrés à la Révolution française, Un Peuple et son roi de Pierre Schoeller sort le 26 septembre 2018. Dans ce long métrage, porté par Gaspard Ulliel, Adèle Haenel et Olivier Gourmet, le réalisateur suit les trajectoires de figures historiques (Louis XVI incarné par Laurent Lafitte, Robespierre par Louis Garrel…) et de révolutionnaires du peuple. Une fresque historique mettant en lumière la situation en France entre 1789 et 1793. « Je n’imaginais pas que ça prendrait sept ans de ma vie. Que ce serait aussi dur, aussi épuisant, et surtout aussi passionnant », a confié le cinéaste dans un entretien accordé au CNC. Pour son premier film historique, Pierre Schoeller a travaillé avec de nombreux historiens – dont Arlette Farge, Guillaume Mazeau et Timothy Tackett – afin de reconstituer avec précision cette époque marquante de notre histoire.https://www.cnc.fr/ _________________ Je dois avouer ma dissipation et paresse pour les choses sérieuses
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| | | globule Administrateur
Nombre de messages : 2236 Date d'inscription : 04/10/2017
| Sujet: Re: 10 films sur la Révolution française Dim 31 Mai - 10:01 | |
| Quelques vieux films cools sur la période
- Explorer à travers plusieurs films quelques moments et personnages de notre Histoire de 1780 à 1820, soit 40 ans qui bouleversèrent la France, l’Europe, le monde (peut-être ?)
La France érigée en Nation a imposé la réaction aux inégalités sociales et à la chrétienté oppressive, la liberté individuelle et d’opinion, la participation au choix des gouvernants, le principe de légalité de toute décision collective. Tout sort de là, encore, même si plus de deux siècles de pratique en ont un peu modifié les contours.
Gardons cette trame aventureuse en parcourant avec un cinéma jubilatoire ces moments romanesques, la vie de héros inattendus. En suivant la chronologie de l’Histoire, 5 longs métrages font merveille :
Commencer par le Beaumarchais l’insolent d’Edouard Molinaro (1989) contant les tribulations théâtrales, publiques et privées, du trublion Pierre Augustin Caron de Beaumarchais aux alentours de 1776, lequel pourfendit la censure royale avec son Figaro, inventa les droits d’auteur, hurla à l’égalité devant la justice, rendit service au roi Louis XV, connut le fameux chevalier d’Eon ni fille ni garçon, envoya 40.000 fusils aux Insurgents américains qui ne le payèrent jamais, troussa beaucoup de filles et mourut fort opportunément en 1799. Tout cela narré avec légèreté et beaucoup d’esprit dans ce film lumineux où presque tous les protagonistes sont vêtus de blanc, doté d’une distribution éclatante : Lucchini y est fort juste, Piccoli et Weber parfaits, Serrault irremplaçable en roi fatigué, Jean Yann bougon à souhait, et Sandrine Kimberlain délicieuse. Et tant d’autres… Les dialogues de Brisville et Molinaro doivent beaucoup à Sacha Guitry, ce qui n’est pas désagréable.
- Photos et tout
https://maria-antonia.forumactif.com/t740-beaumarchais-l-insolent
Poursuivre avec Ridicule de Patrice Leconte : on est à Versailles sous Louis XVI vers 1785 : la cour et le roi se fichent bien du peuple, et des paysans des marais de la Dombe : Charles Berling en petit noble de province tente de percer l’opacité royale, mais tombe dans les cruels traquenards d’une noblesse de cour arrogante et impitoyable. Là aussi une distribution magnifique : Fanny Ardant superbe, Bernard Giraudeau surprenant en prêtre débauché et tricheur. Notre héros a la chance de rencontrer Jean Rochefort en noble désargenté mais secourable ; et la maîtrise du rythme cinématographique par un Leconte très inspiré. La Gaumont a eu la bonne idée de remasteriser le Caroline Chérie de Richard Pottier (1951, en noir et blanc), tiré du roman à succès de Cecil Saint Laurent (Jacques Laurent), contant les tribulations d’une jeune aristocrate qui se «débrouille» dans la tourmente révolutionnaire. Le film fit scandale, parce qu’on y apercevait un bout de sein et quelques fesses. Il apparaît aujourd’hui fort sage. L’enfantine Caroline, c’est Martine Carol, tellement jolie, pulpeuse, éclatante qui joue les idiotes avec talent, aux côtés de Jacques Dacqmine en séducteur empaillé, du roublard Raymond Souplex et d’une pléiade d’acteurs aujourd’hui disparus qui enchantèrent les années 50/60. Les Mariés de l’An II de Jean Paul Rappeneau (1970) nous transportent vers Nantes, 10 années plus tard, en 1794, au début de la Première République, en pleine Terreur de Robespierre et révolte des Chouans. Il coure sur ce film un vent de folie, d’hystérie propre à cette période délirante d’incertitude et de cruauté. On guillotine avec allégresse, on noie dans la Loire les bonnes sœurs et les prêtres, tandis que la noblesse révoltée fait sauter des bombes en dansant avec ses paysans espérant le secours des Anglais. Belmondo y est supportable, Marlène Jobert pleine de fougue, Samy Frey ténébreux à souhaits. La musique de Georges Delerue un régal. On y voit une des toutes premières et minuscules apparitions de Patrick Dewaere en patriote de Valmy. La scène finale, située sous l’Empire, est très drôle et dévoile le chemin parcouru. Finir avec Le Souper, repris de la pièce de Jean Claude Brisville, mis en scène par Molinaro (1992) : c’est l’extrême fin de l’Empire, les 100 jours désastreux, Napoléon Bonaparte « hors la loi » et vaincu (1814). La fête est finie, et les 2 personnages clefs de toute cette période nous re-racontent, dans un dialogue coupant comme une guillotine, ces 30 ans de folie : Joseph Fouché et Charles- Maurice de Talleyrand : Duc d’Otrante et Prince de Bénévent par la volonté de l’Empereur, l’évêque et l’oratorien, tous deux mariés et parjures. Claude Brasseur et Claude Rich rivalisent de talent : c’est à la fois simple et somptueux, teinté d’une légère nostalgie pour une frénésie collective qui ne reviendra plus jamais. EN DEUX MOTSUne grande et belle leçon d’Histoire bien française. Bien sur, il y a foultitude d’autres pellicules, mais ces 5 là se complètent et s’harmonisent parfaitement dans un même esprit d’exactitude historique, de légèreté de ton et de qualité très française. Le cinéma est un merveilleux livre d’histoires de notre Histoire.
- Quelques phrases ou dialogues devenus «cultes» :
Dans Ridicule : “Le marquis des antipodes” et “le baron de patatras” “On peut naître dans une écurie sans être un cheval”
Dans Le souper : “J’aime pas le peuple” (réflexion de Ticky Holgado, valet zélé du Prince)
Et aussi On peut faire précéder ces chefs d’oeuvre du beau Que la fête commence de Bertrand Tavernier (1975) qui se situe beaucoup plus tôt, sous le Régent –Noiret tellement vrai– après 1715 (mort de Louis XIV) : c’est le « début de la fin ». Un Jean Rochefort délirant !
Il y a, bien sur, les Napoléon d’Abel Gance (1925) ou de Guitry (1954) si admiratifs, et puis l’inénarrable Désirée de Henry Koster avec un Marlon Brando caricatural en Napoléon bougon, Jean Simmons (toujours très mauvaise) et Merle Oberon en Joséphine de Beauharnais. Les Britanniques ont aussi traité nos folies de leur point de vue à eux : - les irremplaçables Duellistes, premier long métrage de Ridley Scott, d’après une nouvelle de Joseph Conrad, nous font parcourir les guerres d’Empire à travers l’histoire vraie de 2 officiers français s’affrontant en duels sauvages (Prix de la première œuvre à Cannes en 1977) ; - la scintillante Reese Witherspoon suit les aléas des régiments anglais lors des guerres d’Empire dans la mise en scène somptueuse du Vanity Fair de Mira Nair (2005), inspiré du beau livre de Thackeray ; Gabriel Byrne y est parfait, tout comme Bob Hoskins. - Le roi d’Angleterre qui affronta la guerre d’Indépendance américaine, la révolution française et Napoléon était un malade mental – un Hanovre – qui eut beaucoup d’enfants : cela nous est conté avec brio par Nicolas Hytner dans La Folie du roi George (1994) où Helen Mirren est déjà reine et Rubert Everett assez irrésistible en héritier impatient. - Le beau Master and Commander de Peter Weir (2000) nous rappelle que la guerre fut aussi maritime et fort cruelle, malgré les talents et les ruses de commandement de Russell Crowe. - Enfin, même Jane Austen, évoque les guerres d’Empire à travers ses fringants militaires qui font rêver ses jeunes filles à marier, qui vont et viennent vers le continent au gré des coalitions : Emma Thompson, Kate Winslet dans –entre autres- Raison et sentiments de Ang Lee, incarnent parfaitement le climat social de cette époque. On peut, bien sûr, ajouter les films russes sur la dévastatrice campagne de Russie, ou encore La nuit de Varennes d’Ettore Scola (1981), un peu lent mais grinçant et dramatique. Deux belles prestations de Depardieu en Colonel Chabert confronté à cette chipie de Fanny Ardant, (Yves Angelo en 1994 (il y a aussi celui de Le Henaff en 1943 avec Harry Baur), ou en Danton, très beau, saisissant de réalisme, dû à Andrzej Wajda en 1982 ; le scénario est de Jean-Claude Carrière, l’acteur polonais Wojciech Pszoniak est un prodigieux Robespierre. Chabert finit à l’hospice, Danton perd la tête : sombres destins. Les cruelles Lignes de Wellington, incarné par John Malkovich, décrivent la raclée infligée en Espagne et au Portugal aux armées françaises d’occupation et l’incroyable désordre de la fin de l’Empire (Valeria Sarmento, 2012). https://www.atlantico.fr/ _________________ - Je ne vous jette pas la pierre, Pierre -
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| | | pilayrou
Nombre de messages : 716 Age : 63 Localisation : (Brest) Guilers Date d'inscription : 22/12/2014
| Sujet: Re: 10 films sur la Révolution française Dim 31 Mai - 14:37 | |
| Lien de films où l'on trouve à peu près tous les anciens films (site russe).
Entrez le nom du film ou du sujet dans la langue de votre choix :
https://ok.ru/video/
Attention ! Plusieurs versions existent (français, anglais, russe...). Trouvez la bonne ! _________________ "Je sais le fils de Louis XVI vivant ! Et je verrai pendu ce scélérat de corse !" Barras. Consulat.
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| | | globule Administrateur
Nombre de messages : 2236 Date d'inscription : 04/10/2017
| Sujet: Re: 10 films sur la Révolution française Dim 31 Mai - 22:01 | |
| _________________ - Je ne vous jette pas la pierre, Pierre -
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| | | pilayrou
Nombre de messages : 716 Age : 63 Localisation : (Brest) Guilers Date d'inscription : 22/12/2014
| Sujet: Re: 10 films sur la Révolution française Lun 1 Juin - 6:58 | |
| _________________ "Je sais le fils de Louis XVI vivant ! Et je verrai pendu ce scélérat de corse !" Barras. Consulat.
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| Sujet: Re: 10 films sur la Révolution française | |
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