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| Caroline de Brunswick | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Dim 20 Nov - 0:19 | |
| Ca peut être de très bons motifs pour une annulation. Mais le second mariage est de toute façon nul. Il faut attendre d'avoir annulé le premier pour pouvoir ensuite se marier, pas les deux en même temps ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Dim 20 Nov - 10:07 | |
| Oui, il vivait deux mariages à la fois : celui avec Madame Fitz-Hébert et celui avec Caroline de Brunswick , sans compter les aventures ( tout en même temps ) avec Lady Jersey . Donc oui, le Prince de Galles était bigame et adultère ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Mar 22 Nov - 13:28 | |
| Caroline de Brunswick ne se doutait pas que le Prince de Galles avait laissé Lady Jersey donner sa démission , ce n’était point pour l’éloigner de sa femme.
Lady Fitz-Hébert venait de reprendre possession de son cœur dont elle était vraiment la première et la seule occupante . Plusieurs fois , depuis leur rupture , le prince l’avait suppliée de lui permettre de venir la voir et elle avait toujours refusée. Pendant une maladie qu’il fit , croyant qu’il allait mourir , il lui avait fait savoir qu’il lui laissait tout ce qu’il possédait , en biens propres. « A ma Fitz-Hébert , ma vraie femme , la femme de mon cœur et de mon âme, la seule que j’ai aimée et que j’aimerai toujours. » Lady Fitz-Hébert demeurant inflexible , il lui envoya l’amiral Payne qui remplaçait lord Malden pour l’assurer derechef qu’il allait se tuer si elle ne lui pardonnait pas . Alors elle alla à Rome demander au pape si la religion lui permettait de revoir le prince . Le pape lui répondit qu’elle était mariée avec lui et qu’elle avait le droit de s’installer dans sa maison. Sans aller jusque là , elle consentit enfin à le recevoir à Tilney-Street et ce soir là ses salons furent remplis de roses blanches comme pour une fête de fiançailles. Toute la nuit, le coupé du prince stationna devant la grille du jardin.
Dès lors , la princesse de Galles était définitivement condamnée. Entrevoyant la possibilité d’épouser publiquement Lady Fitz-Hébert , le prince chercha tous les prétextes possibles pour divorcer . Et c’est à cette époque que commence la grande persécution.
Misérable Prince Georges ! Dépouiller ainsi son enfant ...et traiter ainsi la princesse de Brunswick !!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Ven 25 Nov - 22:15 | |
| J'ai mon technicien qui vient demain . Je vais lui demander de réparer le scanner si c'est possible . Ce sera l'occasion de vous poster quelques portraits de Georges III et de ses deux femmes ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Ven 25 Nov - 22:19 | |
| Mais j'en userais avec parcimonie... De toute façon, il y a peu d'illustrations dans ce livre... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Sam 26 Nov - 12:25 | |
| - Madame de Chimay a écrit:
- En 1796 , la princesse accoucha d’une fille qui fut baptisée par l’archevêque de Canterbury sous le nom de charlotte-Augusta. Le roi et la reine furent ses parrains .
Cette princesse épousera plus tard Léopold de Saxe Cobourg Gotha, un temps prince héritier consort, qui une fois veuf deviendra Roi des Belges, et se remariera avec la fille de Louis Philippe. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Sam 26 Nov - 12:27 | |
| Tout à fait ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Dim 27 Nov - 12:09 | |
| Les armoiries de Caroline de Brunschwick en tant que reine Georges IV du Royaume Unis de Grande Bretagne et d'Irlande: il saute aux yeux que ce sont les armes de deux branches de la même famille, non ? merci à Arnaud Bunel et à son blog ; http://heraldique-europeenne.blogspot.com/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Dim 27 Nov - 12:38 | |
| Merci pour ce magnifique cadeau ! Georges III était l'oncle de Caroline de Brunswick ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 11:28 | |
| Lady Fitz-Hébert |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 11:31 | |
| Ah Zut alors, je n'arrive pas à faire plus grand ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 11:33 | |
| Ben, il suffit de cliquer sur l'image et vous l'avez en plus grand ( l'espace d'un instant ! ). Comme cela, vous pouvez contempler de plus près les traits de Mme Fitz-Hébert... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 15:13 | |
| - Citation :
- il saute aux yeux que ce sont les armes de deux branches de la même famille, non ?
- Madame de Chimay a écrit:
- Georges III était l'oncle de Caroline de Brunswick ...
Certes, mais je faisais référence au fait que les rois de Hanovre et les ducs de Wolfenbüttel sont tous des Guelfes, et que donc ils ont une base héraldique commune. (en fait techniquement des Modène, de la branche allemande dite Guelfe, et donc de lointains agnats des Este Modène que l'on croise parfois dans le boudoir). |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 17:36 | |
| Je continue ma bio sur Caroline de Brunswick . Quelle que fût la vérité sur la nuit de noces , il était impossible de s'en servir à moins d'un scandale colossal. Mais la princesse était imprudente et ne tarda pas à donner du jeu contre elle.
Au mois de juin , la Cour du Prince de Galles était à Brighton et comme la soirée était très chaude , Leurs Altesses avec quelques personnes de leur suite avaient été chercher un peu de fraîcheur sur la promenade qui longeait la mer. Le prince causait avec quelques-uns de ses compagnons de fête et la princesse marchait seule silencieuse. Elle était dans un soir de " cafard", voyait autour d'elle son existence affreusement vide , en pays ennemi, entourée de trahisons. La marquise de Townsend était la seule de ses dames d'honneur à qui elle pût se fier. Alors elle engagea la conversation avec un officier de marine et tout en parlant , ils se trouvèrent bientôt à l'écart. L'officier lui faisant remarquer cela, elle met fin à la conversation pour rejoindre son mari. Son mari ne lui pardonna pas cet écart et s'en servit comme prétexte pour l'éloigner définitivement.
En conséquence de quoi dans une lettre au roi , la princesse de Galles lui annonçait sa détermination de prendre une habitation éloignée de celle de son mari et de s'y retirer avec sa fille. Le Roi n'ayant fait aucune objection , elle acheta près du joli petit village de Blackhead , à quelques milles de Londres , une grande villa construite à l'italienne , d'un seul étage au milieu d'un parc , qui s'appelait Montaigue-House. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 17:42 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 17:44 | |
| Eloigné ne veut pas dire hors de vue ! Pensez bien que s'il y avait eu plus, le prince de Galles en aurait joué à fond .... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 17:45 | |
| Euh ... D'après mon livre , non . Mais je n'ai pas tenu la chandelle évidemment ... Toute cette histoire me fait penser à une autre princesse de Galles plus contemporaine ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 17:53 | |
| Parce que vous trouvez qu'éloigner définitivement sa femme est anodin ? Ce n'est pas Henri VIII tout de même, il n'aurait pas fait couper la tête de son épouse s'il avait perdu de vue le couple cinq minutes . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 17:56 | |
| Vous savez : tous les prétextes étaient bons . il était fou de sa Fitz-Hébert et dès le départ, il n'en n'avait rien à cirer de son épouse . Elle représentait le fric qui lui a permis d'éponger ses dettes et le moyen d'avoir un gosse. Pour le reste , elle devait dégager. Vous savez , quand on cherche des poux dans la tête d'autrui , on finit toujours par en trouver ... Mais je vous répondrais plus longuement tout à l'heure . En citant notamment cette lettre que le prince adressa à sa femme. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Lun 28 Nov - 22:47 | |
| Voici ce qu’il en a été. La princesse vit que le groupe dans lequel était son mari s’était éloigné et allait rentrer au Pavillon. Elle prit congé du capitaine , se hâta et rencontra dans le hall le prince de Galles avec son oncle Cumberland.
-Georges, je vous prie de m’excuser , je me suis laissée aller à bavarder avec le capitaine , j’espère que vous ne vous en êtes pas formalisé.
Sans répondre et lui tournant le dos , il monta dans ses appartements suivi par Cumberland.
La princesse stupéfaite plutôt qu’inquiète , rentra dans sa chambre , embrassa la petite Charlotte qui dormait et se coucha. Le lendemain matin, Lady Cameron lui remit le billet suivant de la part du prince :
« Je ne puis continuer à supporter plus longtemps une épouse qui compromet son honneur et le mien avec des personnes inférieures ».
La princesse lui fit aussitôt demander par l’entremise de Lord Cholmondeley , son chambellan , de vouloir bien s’expliquer plus clairement sur ce qu’il lui reprochait et sur ses intentions.
Dans la soirée, elle reçut cette lettre :
« Madame,
Lord Cholmondeley m’apprend que vous désirez que je définisse par écrit les termes dans lesquels nous devrons vivre ensemble à l’avenir. J’essaierai de m’expliquer à cet égard avec autant de clarté et de convenance que la nature du sujet peut le permettre .
Nos inclinations ne sont point en notre pouvoir et l’un de nous ne saurait être rendu responsable vis-à-vis de l’autre si la nature ne nous a pas créés à notre convenance mutuelle . Cependant une existence tranquille et même agréable est en notre pouvoir à la condition qu’aucun de nous ne transgresse les termes de la convention que nous ferons pour nous rendre notre liberté.
Je termine cette correspondance désagréable dans l’espoir que maintenant nous nous sommes complètement expliqués l’un avec l’autre , le reste de notre vie se passera dans une tranquilité parfaite.
Je suis Madame , en toute sincérité Votre
Georges P.
La princesse lui répondit immédiatement :
« Monsieur,
Ce que vous avez dit à Lord Cholmondeley ne m’a ni surprise ni blessée. Cela ne fait que confirmer ce que depuis une année vous m’avez donné à entendre . Mais après cela , il y aurait de ma part un manque de délicatesse ou plutôt une faiblesse indigne à me plaindre . Je n’aurais même pas répondu à votre lettre si elle n’avait pas été conçue de façon à faire douter si l’inspiration en venait de vous ou de moi.
Or, vous savez et vous devez reconnaître que le mérite n’en appartient qu’à vous seul.
Puisque comme vous me l’annoncez cette lettre est la dernière que je recevrai de vous , je suis obligée de communiquer au roi comme à mon souverain et à mon père vos projets et ma réponse. Vous trouverez c-joint la copie de ma lettre à Sa Majesté . Je vous en instruis pour que vous ne m’accusiez pas de rechercher le scandale. Je n’ai plus désormais de protection que celle du roi et je sais que je ne peux en espérer d’aucune autre personne au monde.
Je suis Monsieur , Votre dévouée.
Caroline P.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Mar 29 Nov - 17:14 | |
| A Blackhead , la princesse de Galles se contenta d’une suite très réduite ( juste quelques dames d’honneur + les deux gouvernantes de la princesse Charlotte.) La princesse de Galles vécut là d’abord dans une retraite qui lui parut douce après les amertumes qui suivirent son mariage. Elle reçut à sa table Fox, Shéridan , Lord Pitt , Lord Carnavon , le ministre Canning et à leur passage à Londres le Comte d’Artois, le Prince de Condé , le duc de Bourbon et le duc de Berry.
Elle écrivit des Mémoires qui ont malheureusement disparu pour laisser place à des Mémoires apocryphes , probablement rédigés par Lady Lindsay . Elle lisait beaucoup. Ses livres favoris étaient Candide, les nouvelles de Madame de Genlis et les Mémoires de la Margrave de Bayreuth. Elle se perfectionna dans la langue anglaise avec un émigré français qui s’appelait Monsieur de La Giffardière , s’exerça dans la composition musicale sous la direction de Thomas Alwood et Mistress Ewes était son professeur de harpe. Elle faisait encore de la sculpture , conseillée par Sir Thomas Lawrence et commença d’écrire un roman qui se passait en Grèce.
Elle s’occupait aussi des enfants pauvres du voisinage qu’elle habillait et recréait les soirs du Christmas par des arbres de Noël somptueux auxquels présidait la princesse Charlotte. Ainsi espérait-elle se masquer à elle-même le vide de son existence. Mais parmi les enfants dont elle s’entourait l’un d’eux prit une importance singulière et qui lui fut fatale. Il s’appelait William Austin . il avait été apporté à Blackhead au mois de mai 1800, quelques mois après sa naissance et depuis cette époque, il ne quitta plus jamais la princesse de Galles qui l’avait pour ainsi dire adopté. Pourquoi , alors qu’à cette époque elle avait auprès d’elle sa fille Charlotte qu’elle chérissait tendrement.
Etait-ce manie pouponnière ou pour étonner ses visiteurs et les scandaliser par ce goût de mystification dont elle donna plusieurs fois les marques . En tout cas, le salon de Montaigue-House était converti en nursery , les tables couvertes de langes quelquefois souillés et malodorants . Lady Campbell qui lui resta toujours très attachée écrivait à Sir Lewwis :
« La princesse est extrêmement bonne , toujours gaie, obligeante , très affectueuse pour les personnes qui l’entourent une fois qu’elle les a prises en amitié. C’est avec les plus aimables façons qu’elle accepte les difficultés de sa situation si pénible. On ne peut avoir plus de naturel et de simplicité . elle semble reconnaissante de la plus légère attention. La pauvre femme a tant souffert depuis son arrivée dans ce pays qu’elle s’en ressent doublement de la moindre gentillesse.
Mais il faut bien dire qu’elle est impardonnable de s’être attachée à ce petit Austin , un véritable ourson mal léché ; il est insupportable de voir ce petit enfant malpropre apporté sur la table chaque jour après le dîner , criant et bousculant les bouteilles , sans compter que pour faire plaisir à la princesse , il faut rire des moues de ce vilain marmot commun et mal élevé . »
D'où l'accusation formulée plus tard : cet Austin pourrait être le fils de Caroline ...
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Mar 29 Nov - 17:24 | |
| Autre imprudence commise par la princesse : elle se mit à fréquenter un ménage à trois : Lord et lady Douglas qui vivaient avec l'amiral Sir Sydney Smith.
Vraiment , Caroline de Brunswick accumulait les gaffes... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Mar 29 Nov - 17:33 | |
| Toutes ces nouvelles parvinrent à l'oreille du prince de Galles grâce à son espionne ( Lady Douglas ). Pour provoquer une enquête sur la princesse , il fallait l'assentiment du roi. Comme Georges III était à cette époque enfermé au château de Kew en pleine crise de folie , la reine Charlotte qui détestait sa belle-fille donna son consentement .
Une Commission composée de Lord Erskine , Lord Spencer , secrétaire d'état , Lord Grenville et Lord Ellenborough, chef de Justice , fut réunie et chargée de la mission officielle d'enquêter sur la conduite de la princesse de Galles à Blackhead ; pour cela d'interroger tous les témoins qu'ils croiraient bons et de transmettre au roi ou plutôt à la reine-mère les résultats de l'enquête. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Mar 29 Nov - 17:50 | |
| Cela fut appelé « la délicate Investigation » et la princesse de Galles n’en fut informée que lorsque l’on interrogea ses domestiques. Les résultats de l’enquête fut d’ailleurs que Lady Douglas était une menteuse et que la princesse de Galles n’avait jamais donné aucun signe de grossesse. L’enfant était le fils d’une nommée Sophie Austin , femme d’un menuisier mort dans la misère. Il était né à l’hôpital de Blackhead . Le 14 juillet , la Commission conclut :
" Nous sommes heureux de déclarer à Votre Majesté que notre conviction est qu’il n’y a aucune raison de croire que l’enfant adopté par la princesse de Galles soit le fils de Son Altesse Royale. Il n’y a aucune trace de sa grossesse à cette époque là et l’enfant ressemble à sa mère Sophie Austin . "
Cependant , pour faire plaisir au prince de Galles , La Commission exprima des doutes sur la bienséance de la conduite de la princesse avec un certain capitaine Manby et Sir Thomas Lawrence pendant qu’il peignait son portrait .
Ces doutes étaient basés sur les dépositions de deux domestiques qui furent quelques temps après condamnés pour vol et faux serments . Ils assuraient avoir vu la princesse à 2h du matin , seule dans son salon assise sur un sofa à côté du capitaine Manby , lui offrant du thé et buvant à la même tasse. Et une autre fois elle avait mis sa main sur la bouche de Sir Thomas Lawrence . La princesse demanda une seconde enquête qui cette fois prouva sa complète innocence.
Cependant William Austin était-il réellement le fils d’un menuisier de Blackhead ? l’attachement que la princesse lui montra toute sa vie demeure très surprenant . Il lui arriva une fois de laisser échapper que l’enfant était le fils adultérin de sa cousine , la princesse de Prusse , qu’elle avait recueilli.
Elle racontait aussi l’histoire d’un ermite mystérieux habitant, disait-elle , dans une cabane aux environs de Blackhead qui gardait sur sa cheminée, une miniature la représentant . Et elle laissait entendre que cet ermite était l’officier irlandais qu’elle avait aimé autrefois.
Mais comment savoir la vérité parmi toutes les hâbleries qu’elle s’amusait à conter , pour scandaliser son entourage ?
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Caroline de Brunswick Mar 29 Nov - 17:54 | |
| D'ailleurs quand on regarde le portrait de William Austin, il ne semble pas appartenir à la classe populaire ...
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| Sujet: Re: Caroline de Brunswick | |
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| | | | Caroline de Brunswick | |
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