Nombre de messages : 213 Date d'inscription : 09/01/2019
Sujet: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Sam 21 Jan - 11:18
Un film à voir :
« Vaincre ou mourir », beau film sur le thème des guerres de Vendée prévu en salle pour le 25 janvier. Le film fait revivre ces terribles événements à travers le personnage héroïque de François-Athanase de Charette, des premières insurrections aux derniers moments de la chouannerie.
Idée bouleversante : selon le film, il y aurait eu une clause secrète dans le traité de la Jaunaye (pas respectée donc Charette a repris les combats). Cette clause c'était la libération de Louis XVII. L'hypothèse est invérifiable mais tient tout à fait la route.
_________________ Those words were somehow future, and this was present.
Aglae
Nombre de messages : 1681 Date d'inscription : 09/10/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Sam 21 Jan - 15:18
Merci beaucoup, chère Thérèse, c'est très intéressant !
betagen
Nombre de messages : 275 Date d'inscription : 26/07/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Sam 21 Jan - 21:48
Trop bien Merci Aglae.
_________________ Il court il court le furet
madame antoine
Nombre de messages : 6902 Date d'inscription : 30/03/2014
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Mer 25 Jan - 6:54
Bien chers Amis du Boudoir de Marie-Antoinette,
En vous remerciant toutes et tous pour vos apports au présent sujet, voici un complément d'information sur ce film.
Au départ, le producteur envisageait une docufiction et cela se ressent dans le résultat final : le film est précédé par les commentaires de deux ou trois historiens et, par moments, une voix off et l’incrustation d’une date rappellent le contexte. Pour le reste, on est dans un film d’action qui raconte au pas de charge les trois années dramatiques entre le soulèvement des paysans vendéens en mars 1793 et l’exécution de François Athanase Charette de la Contrie, le 29 mars 1796, à Nantes.
Vaincre ou mourir évoque les péripéties et les drames de ces guerres qui ont fait au minimum cent mille victimes, principalement parmi les humbles paysans du département de la Vendée. Mais le film étant centré sur le parcours de Charette, on peut regretter que n’apparaissent pas les autres chefs chouans ou vendéens.
La personnalité ambigüe du héros est elle-même édulcorée. Résolument fidèle à la dynastie et aux successeurs du feu roi Louis XVI, Charrette, officier de marine d’ascendance noble, tente dans un premier temps d’échapper à la bande de paysans qui le supplient de prendre leur tête. Se ralliant enfin à eux, il va se montrer courageux, batailleur et déterminé tout en sachant dès le départ que sa cause est perdue.
Mais c’est aussi un homme à femmes qui s’accorde de longues pauses avec ses amazones au risque de compromettre le succès de ses troupes. C’est enfin un homme colérique qui peine à s’accorder avec les autres chefs de la rébellion. Brutal, voire cruel, il laisse exécuter les prisonniers républicains et fait aussi exécuter tel ou tel allié qui l’a déçu.
Pour le reste, le film laisse transparaître la violence des guerres de Vendée à travers les scènes de bataille ou de pillage et sauf à vouloir être médisant, reconnaissons-lui un grand effort d’objectivité. D’emblée est exposé le dilemme insoluble qui oppose le gouvernement républicain aux paysans. Le premier, à la suite des dérapages successifs de la Révolution, est conduit à mobiliser toutes les forces de la Nation pour résister à l’invasion étrangère. Les paysans vendéens, quant à eux, n’ont pas conscience du danger qui menace le pays et n’ont nulle envie de risquer leur vie pour un gouvernement qui a guillotiné le roi, qui a fermé leurs églises et s’en prend à leurs antiques coutumes.
Dans le conflit qui s’ensuit, la palme de l’horreur revient indubitablement au commissaire de la République Carrier, à Nantes, et au général Turreau. Mais les chefs vendéens, Charette le premier, n’échappent pas à la critique. À côté de cela, on aurait pu évoquer quelques nobles figures dans les deux camps, comme Nicolas Haxo et le général Hoche d’un côté, Beauchamp et d’Elbée de l’autre. Mais il eut fallu pour ce faire une série télé de plusieurs heures. https://www.herodote.net/Les_guerres_de_Vendee_en_accelere-article-2852.php
André Larané
Bien à vous
madame antoine
_________________ Plus rien ne peut plus me faire de mal à présent (Marie-Antoinette)
Aglae
Nombre de messages : 1681 Date d'inscription : 09/10/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Mer 25 Jan - 11:40
Merci beaucoup, chère Madame Antoine ! = Hérodote est un site de grande qualité !!!
Aujourd'hui encore les mentalités contemporaines sont marquées en Vendée et Bretagne par cette guerre civile, en témoigne =
que l'on chante à la fin des repas de mariage, dans ma famille, du moins.....
Enfin, un député ( plusieurs) a lancé à l'Assemblée Nationale, il y a désormais un certain temps, la demande de reconnaissance de Génocide pour les "Guerres de Vendée" - y associant, bien sûr, la Bretagne;
affaire à suivre.....
Carl Wilhem Epicouros
Nombre de messages : 82 Date d'inscription : 19/12/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Mer 25 Jan - 13:46
Je pense en effet que l'on peut parler dans ce cas de génocide, puisque les révolutionnaires avaient la volonté d'éliminer les gens en fonction de leur attachement à la royauté et de leur religion.
_________________ Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts
elois
Nombre de messages : 121 Date d'inscription : 17/03/2015
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Sam 28 Jan - 10:28
Résumé sur Charette https://www.geo.fr/histoire/qui-etait-charette-general-royaliste-surnomme-le-roi-de-vendee-213338
_________________ Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent.
Fleur de Pomme de Terre
Nombre de messages : 257 Date d'inscription : 01/01/2019
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Lun 30 Jan - 10:05
Le moins qu'on puisse dire, c'est que ce film fait polémique.
Positif : Vaincre ou mourir, le panache sur grand écran https://stuffmagazine.fr/vaincre-ou-mourir-le-panache-sur-grand-ecran
Nettement moins : Vaincre ou mourir : mode d'emploi pour comprendre cette hallucination made in France https://www.ecranlarge.com/films/dossier/1463742-vaincre-ou-mourir-mode-demploi-pour-comprendre-cette-hallucination-made-in-france VAINCRE OU MOURIR de Vincent Mottez et Paul Mignot : la critique du film https://mondocine.net/cinema-vaincre-ou-mourir-critique-du-film/
Sinon, il faudrait peut-être rappeler aux gens l'orthographe du nom du protagoniste.
_________________ Et c'est quoi maintenant ? Violoncelle ?
Aglae
Nombre de messages : 1681 Date d'inscription : 09/10/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Lun 30 Jan - 10:40
Un article intelligent, dans le Figaro = https://www.lefigaro.fr/histoire/vaincre-ou-mourir-le-puy-du-fou-raconte-le-general-charette-et-la-guerre-de-vendee-pour-son-premier-film-20230125
copié-collé
Chaque soir de Cinéscénie, il fend les eaux, laissant flotter au vent son étendard glorieux. Au cœur du grand parc du Puy du Fou, il domine de son panache le spectacle de toutes les démesures. Quand Philippe de Villiers s'essaie en 2012 au genre du roman historique, c'est encore lui dont la mémoire fait frémir les pages. « Lui », c'est Charette. François-Athanase Charette de La Contrie. Le « Chevalier », le « roi de Vendée ». Héros parmi les héros de la guerre de Vendée. Alors que le Puy du Fou se lance dans l'aventure du cinéma, y avait-il un autre candidat capable de lui disputer l'honneur d'être, le premier, celui qui en défendrait les couleurs ?
Depuis des mois, les amoureux du Puy du Fou sont appelés à s'inscrire pour assister le 8 décembre, en avant-première, au tout premier grand film historique du Puy du Fou : Vaincre ou mourir. L'enthousiasme est au rendez-vous : près de 200 séances ont pu être mises en place à travers la France et déjà plus de 10.000 places ont été prises en prévente.
L'article s'interroge sur la continuation des influences Jacobines/Robespierristes encore aujourd'hui, en dépit des faits historiques avérés = découvertes de charniers en Vendée, etc......
flower power
Nombre de messages : 517 Date d'inscription : 09/05/2015
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Lun 30 Jan - 11:15
Tout est politique, chers. Seulement, l'histoire est écrite par les vainqueurs.
_________________ a mortifying family tradition
Aglae
Nombre de messages : 1681 Date d'inscription : 09/10/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Lun 30 Jan - 15:11
Voilà ;
madame antoine
Nombre de messages : 6902 Date d'inscription : 30/03/2014
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Dim 5 Fév - 10:34
Bien chers Amis du Boudoir de Marie-Antoinette,
Afin de nourrir le débat, je vous propose cet article de Loris Chavanette dans FigaroVox.
«“Vaincre ou mourir” réveille le clivage de la Révolution française»
Loris Chavanette réagit aux critiques du député LFI Alexis Corbière sur le long-métrage produit par le Puy du Fou. Selon l'historien, on ne peut réduire la Révolution française a un affrontement binaire entre «partisans de la Terreur jacobine» et «contre-révolutionnaires.»
Loin d'être une querelle circonstanciée, la récente polémique suscitée par la sortie du film Vaincre ou mourir, au sujet de la guerre de Vendée et la Révolution française, questionne notre pacte social. Aux partisans de la reconnaissance par l'État français d'un génocide en Vendée s'opposent les avocats autoproclamés des idéaux républicains. Chaque camp y est allé de sa tribune accusatrice, où l'indignation rivalise avec l'art de brocarder l'ennemi, jusqu'à la toute récente prise de position dans les colonnes du Monde d'Alexis Corbière, député de la France Insoumise et apologiste de Robespierre.
Un peu plus et on se serait cru revenus à l'époque des violentes diatribes du bicentenaire de la Révolution française. Néanmoins, apparaît une différence majeure entre le bicentenaire, il y a près de quarante ans, et aujourd'hui, c'est qu'à l'époque, François Furet avait inauguré une voix moyenne, ni réactionnaire, ni communiste, permettant ainsi de faire la part du feu de la décennie révolutionnaire. À l’inverse, notre époque voit se scinder en deux blocs l'interprétation de cette histoire tristement binaire et toujours idéologique. Or, on ne saurait la réduire à la sempiternelle guerre entre royalistes et républicains, entre blancs et bleus, entre ceux qui se voient qualifiés de partisans de la Terreur jacobine et ceux qui se trouvent affublés du qualificatif de contre-révolutionnaires. Ignorons-nous donc à ce point que c'est en adoptant une lecture manichéenne de notre histoire commune qu'on l'appauvrit ?
Depuis toujours, le thème de la Révolution française est propice à ces outrances et récupérations historiques, quand elles ne sont pas politiciennes. À la fin du XIXe déjà, Clemenceau s'était efforcé d'atténuer cette guerre mémorielle en affirmant que la Révolution était un «bloc», tant il est vrai que la Terreur demeurait une pomme de discorde. Celle-ci n'en finit pas d'être clivante, les grands crimes du XXe siècle, commis aussi bien par la révolution fasciste que communiste, ayant réveillé la mode des analogies historiques. La Révolution française n'a jamais été un objet froid et ne le sera jamais, mais il est regrettable aujourd'hui que ses interprètes la réduisent à un affrontement purement politique. Rien ne le prouve mieux que cet amer constat : la gauche fait bloc derrière la figure de Robespierre, en faveur duquel on est sur le point d'ériger un musée dans sa ville d'Arras, tandis que la statue de Napoléon est devenue la pierre angulaire de la droite, au point que la moindre critique de son règne soit vécue comme un insupportable ébrèchement de la légende napoléonienne.
D'ailleurs, il est aisé de constater cette sécession intellectuelle : les études révolutionnaires sont l'apanage de la gauche, là où celles napoléoniennes sont le monopole de la droite, chacun s'efforçant de perpétuer la radicalité d'une tradition séculaire. L'analyse historique s'en trouve forcément rétrécie. Une tendance de ces dix dernières années, tendant à dénier à la Terreur son exceptionnalité, le démontre assez bien. Celle-ci est progressivement normalisée, les violences de l'an II étant quant à elles relativisées. Après tout, n'était-ce pas un gouvernement en crise comme il y en eut d'autres ? Les guerres de religions n'étaient-elles pas déjà l'occasion de massacres ? Dès lors pourquoi ne pas écrire «terreur» avec la minuscule et des guillemets ? C'est ce qu'il se passe, certains universitaires allant même jusqu'à soutenir que la Terreur a été une «invention» des thermidoriens. À ce titre, il y a de quoi avoir peur de la pédagogie qu'on nous mijote pour le prochain musée Robespierre. Dans le camp d'en face, on peut déplorer une histoire tout aussi orientée, comme semble l'attester la parution en 2008 du Livre noir de la Révolution française, l'ouvrage collectif piloté par un Dominicain, Renaud Escande, et comprenant notamment la signature de Pierre Chaunu de l'Institut. Entre ces deux pôles, peignant en noir et blanc cette histoire, on veut nous sommer de choisir.
Le récit de la guerre de Vendée est un cas d'école. Elle ne doit pas seulement être racontée à l'aune des atrocités qui ont été commises par les armées républicaines en 1793, mais encore étudiée sous l'angle des tentatives de pacification de 1795. On découvre alors que le gouvernement révolutionnaire, après avoir mené une extermination méthodique de toute résistance, a pratiqué une politique de la main tendue. C'est ainsi qu'après la Terreur et la chute de Robespierre, des hommes comme Carnot ont appuyé et fait adopter une amnistie à l'Ouest en signant le traité de La Jaunaye, près de Nantes, par lequel les royalistes acceptaient d'enterrer la hache de guerre, en échange d'avantages judiciaires et économiques destinés à pacifier la région. Le chef charismatique Charette (dont il est question dans le film cité) rencontra en personne, sous une tente, les représentants de la République, sauf que quelques semaines seulement après cet acte symbolique, il reprenait les armes en appuyant un débarquement d'une armée émigrée, avec l'aide de la marine anglaise, à Quiberon. C'est pourquoi Charette a été fusillé en 1796. Un nouveau bain de sang fragilisa l'entente, qui n'était que de façade.
Au lieu de s'éterniser sur les massacres, perpétrés des deux côtes, une autre histoire est à raconter : celle montrant le général républicain Canclaux prenant Charette dans ses bras, ou les généraux Hoche et Dumas père fraternisant avec les Vendéens, ou encore le royaliste Bonchamps ordonnant de libérer les prisonniers de guerre de l'armée révolutionnaire avant de mourir. Tout doit être mis dans la balance de l'histoire ; or il est regrettable que la polémique actuelle ne fasse pas état de chacun de ces épisodes troublés. En réalité, moins qu'un débat, nous sommes en présence de monologues à œillères. Tant et si bien que, aujourd'hui, faute de passerelles entre les clans, nous manquons de passeurs d'histoire. Cette dernière est la victime d'une pensée qui va en s'effritant. L'histoire de France menace de devenir une histoire à la carte où chacun pioche ce qui a gré à ses yeux, ce qui flatte son origine sociale, sa conviction religieuse ou son orientation politique.
La démocratie, qui garantit la libre expression des opinions de chacun, si elle est le terreau par nature de luttes intestines incessantes, doit aussi assurer l'homogénéité du corps social, sinon elle risque de sombrer dans l'égoïsme des représentations de notre passé. Heureuse de reconnaître la diversité des idées et des personnes, elle ne saurait oublier l'effort de bâtir un tissu historique apaisé, où chacun trouve sa place sans le mépris de l'altérité qui lui est consubstantielle. Car tout ne se vaut pas. Or aujourd'hui, nous assistons à un regrettable pugilat où chaque école s'épuise à peindre d'opprobre la sensibilité de l'autre. Certes, comment en serait-il autrement dans une nation aussi disparate que la nôtre, offrant une telle diversité géographique, politique, religieuse, et donc culturelle ?
Les schismes sont légion dans notre passé et les périodes d'unité toutes relatives. Le pugilat est la règle, la concorde l'exception. Cependant, le spectacle actuel d'une balkanisation de notre histoire, ce que nous appelons le drame d'une histoire à la carte, se renouvelle dangereusement ces derniers temps, au prix d'une extrêmisation des prises de position sur le fond, et d'une hystérisation sur la forme. L'esprit de nuance est la victime de cette bipolarité, et nombre de personnalités politiques soufflent sur les braises de notre histoire pour se donner l'impression de pouvoir en contrôler le cours, en oubliant qu'il y a des retours de flammes qui vous reviennent en pleine face.
C'est sans doute la raison pour laquelle l'historien et résistant Marc Bloch prononçait bien quand il disait qu' «Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l'histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération.» Cet avertissement vaut tant pour l'équilibre de la pensée que pour la qualité de l'approche de l'histoire. Avec le goût de l'ordre, Bloch revendiquait celui de la liberté. Et nous, démocraties fragiles autant que fières, nous avons le devoir d'entretenir cet espoir d'un peuple qui ne se désolidarise pas de son passé, dont nous sommes, chacun à notre échelle, les héritiers et les passeurs.
Note Loris Chavanette est l'auteur, entre autres, de Quatre-vingt-quinze. La Terreur en procès (CNRS éditions, 2017, préfacé par l'historien Patrice Gueniffey), prix de thèse de l'Assemblée nationale 2013 et prix d'histoire de la Fondation Stéphane Bern-Institut de France 2018, et de Danton et Robespierre. Le choc de la Révolution (Passés composés, 2021). Il a également établi l'édition d'un choix de lettres de Napoléon, Napoléon. Entre l'éternité, l'océan et la nuit. Correspondance (Bouquins, 2020).
_________________ Plus rien ne peut plus me faire de mal à présent (Marie-Antoinette)
Aglae
Nombre de messages : 1681 Date d'inscription : 09/10/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Dim 5 Fév - 14:43
Merci beaucoup, chère Madame Antoine ! nous sommes loin, très loin, d'en avoir fini avec la révolution.....Bel article !
Juin 1791
Nombre de messages : 156 Date d'inscription : 04/07/2015
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Jeu 9 Fév - 21:23
Ô que non, chère Aglaé, ô que non ! Des années que j'essaie de démêler le vrai du faux dans cet embrouillaminis que les livres d'Histoire appellent "Révolution".
_________________ Si on hésite un instant, le palais s’effondre comme les nuages qu'on voit quelquefois
Aglae
Nombre de messages : 1681 Date d'inscription : 09/10/2016
Sujet: Re: "Vaincre ou mourir", sauver Louis XVII Sam 11 Fév - 9:16