Mme Tallien et la famille de Chimay

J'écouterais ce soir le CD et je vous dirais mes impressions. Ce doit sûrement être de la belle musique classique. Les Chimay sont de grands mélomanes.

Madame de Chimay a écrit:

Chers amis, dites moi , puis-je continuer sur ce fil avec cet ouvrage ou dois-je ouvrir un fil spécial famille et histoire de Chimay ?

Bien sûr, bien sûr ! Continuez sur ce fil, chère princesse !!!!

Je cite marie Cornaz que j'ai un peu résumé : "Les Origines d’une ville et d’une seigneurie

Chimay est une ville de 9000 habitants , proche de la frontière française. C’est une ville réputée pour sa bière et son fromage d’abbaye.

Les seigneurs de Chimay remontent au début du XIe siècle. Le début du quinzième siècle voit le fameux chroniqueur Jehan Froissart , né vers 1337 à Valenciennes lier son sort à Chimay. Il commence sa carrière comme secrétaire de la reine d’Angleterre Philippa de Hainaut. Après le décès de celle-ci , il séjourne dès 1370 à la cour de Brabant et en 1381 est ordonné prêtre. En 1383, son protecteur Guy de Blois lui confère un canonicat à Chimay et le prend comme chapelain. Froissart entreprend différents voyages puis vient mourir à Chimay en 1404.

Voici un nom important dans l’histoire de la musique : Guillaume Du Fay. Son origine géographique est controversée et on ne sait pas avec certitude son lieu de naissance. Il serait né vers 1397 plus ou moins. Ce compositeur se mettra au service des Malatesta puis des papes Martin V et Eugène IV. Enfin, il se distinguera à la Cour de Savoie. Il est important en ce sens qu’il a renouvelé l’ars nova polyphonique en la faisant entrer dans l’ère de la Renaissance.


Ce sont les Croÿ qui ont fait de Chimay une principauté au XVe siècle et ce sous l’égide du duc de Bourgogne. La seigneurie de Chimay est érigée en comté par Charles Le téméraire en janvier 1473. L’un des seigneurs de Chimay, Philippe de Croÿ sera même le parrain du premier enfant de Marie de Bourgogne. Charles , né en 1455, fils aîné de Philippe , devient 3e comte de Chimay en 1482. Lors de son élection au titre de roi des romains à Aix la Chapelle en 1486, l’empereur Maximilien d’Autriche veut récompenser la fidélité et l’assistance militaire de Charles de Croÿ en érigeant le 9 avril son comté de Chimay en principauté. La charte stipule que la principauté est de primogéniture mâle, mais que si toutefois le fief tombe en quenouille , la fille devient princesse de Chimay , transmettant ainsi le titre et la terre à la famille de son mari. . En 1491, le premier prince de Chimay et son cousin Guillaume , seigneur de Chièvres, sont faits chevaliers de la Toison d’Or.
Par la suite, les seigneurs de Chimay deviennent des proches de Charles Quint. Celui-ci fait du 2ème prince de Chimay , le 1er duc d’Arschot. Les seigneurs de Chimay aménagent leur château et commencent à s’intéresser à la musique. Mais malheureusement, les Français , en juillet 1552 pillent Chimay et mettent à sac le château. Restauré.
Puis en 1577 , c’est au tour des Espagnols d’attaquer Chimay.
En 1598, le 5e Prince de Chimay devient le premier duc de Croÿ. Ce prince s’intéresse à la musique, à l’architecture ; il dessine aussi des jardins. Ce prince est passé à la postérité car c’est lui qui a fait conçu les « Albums de Croÿ ». Déjà, en 1590 , il fait dresser des cartulaires , véritables atlas comportant des plans coloriés sur papier de certaines de ses terres et contenant quelques vues cavalières. Il a ensuite l’idée de faire reproduire ces plans sur parchemin et d’y adjoindre la vue de chacune des localités, peinte à la gouache à la manière d’un petit tableau. Après ses terres patrimoniales , il entreprend la description des provinces dans lesquelles il exerce une fonction. Charles de Croÿ confie la direction de l’œuvre au peintre valentciennois , Adrien de Montigny , dont le nom figure en tête de nombreux volumes. La collection réalisée entre 1596 à 1611 ,renferme plus de 2500 vues peintes sur de grands folios répartis en 23 volumes. "

Voici un lien à propos des Albums de Croÿ :

http://www.gennpdc.net/lesforums/index.php?... -




voici une adresse vidéo sur Charles de Croÿ :

http:// www.youtube.com/watch?v=jgmDegaXTu8 –


J'espère que ces liens vont marcher sinon je réclame l'aide technique des modérateurs. Dans cette vidéo, on peut admirer l'église , puis le gisant du duc de CRoÿ ainsi que les différentes armoiries et blasons.

Demain, je finirais ce chapître et j'en arriverais à Térésa et à son mari.

Merci beaucoup pour tout
Je découvre, je découvre

Voici un lien :

http://www.sijambes.be/index.php?page=art41 -

Autre lien :

http://users.skynet.be/fa102829/charles.html -

Madame de Chimay a écrit:

Demain, je finirais ce chapître et j'en arriverais à Térésa et à son mari.

CHIC !!!!!!

Mais tout ce que vous faites précéder est très intéressant !

Je continue de citer cet auteur : "

Une autre grande famille préside aux destinées de Chimay : Les Arenberg ( 1612-1686 )

La lignée des Croÿ s’éteint en 1612 lorsque Charles de Croÿ décède sans descendance. La principauté va à sa sœur Anne et au fils de celle-ci , Alexandre d’Arenberg.
Anne avait épousé le 4 janvier 1587 Charles de Ligne Arenberg  ( 1550-1616 ), fils de Marguerite de la Marck , comtesse d’Arenberg et de Jean de Ligne . Anne est la cofondatrice du couvent d’Enghien, puisque son époux achète en 1606 au roi de France Henri IV la seigneurie de cette cité.
En 1623, l’imprimeur de musique Pierre Phalèse lui dédie l’édition des Cantiones Sacrae de Leonardus Nervius.

Les comptes de la seigneurie chimacienne pour les années 1632 à 1634 nous apportent un renseignement à caractère musical , puisque nous y apprenons qu’Antoine de la Cauchie est chapelain à la chapelle du château et y donne des messes. Nous trouvons également la trace de ce musicien à Valenciennes . Il est l’auteur d’un recueil en 2 parties publié en 1619 et 1621 dans cette ville, comprenant des mélodies qu’il intitule la pieuse alouette.

Tandis que la déclaration de guerre faite par l’Espagne à la France est annoncée le 24 juillet 1635, le château de Chimay est entre les mains des Français en 1637, pour être ensuite incendié et totalement pillé. La ville princière est à nouveau occupée par les troupes françaises en 1640 puis abandonnée dans un état de délabrement, le château ayant perdu deux de ses tours.
Le 19  octobre 1654 , la terre et la principauté de Chimay sont saisies et mises sous séquestre par l’huissier Dupire, sur ordre de la cour souveraine du Hainaut, conséquence d’un procès qui avait débuté dès 1521 entre Philippe de Croÿ, deuxième prince de Chimay et son frère Charles, comte de Porcien , qui se disputaient l’héritage de leur oncle Guillaume de Croÿ.
Au fil des générations, les sommes demandées par les parties  sont telles que les autorités en viennent à saisir les biens, situation qui  perdurera jusqu’en 1783.
Au mois de septembre 1664 , Chimay ayant été fort touchée par la guerre de Trente Ans ( 1618-1648 ), le prince vient se rendre compte lui-même de l’état de sa cité. La guerre éclate à nouveau en 1673 et dès janvier 1674, une garnison française est dans la ville. Le 12 janvier 1675 , le prince trépasse à Luxembourg.
Le 10 octobre 1676 , la ville est en guerre . Le 3 août 1678 , un incendie de grande envergure  ravage la cité : le feu se déclare dans le château et se propage rapidement , détruisant notamment le clocher de l’église. La paix est annoncée le 10 janvier 1679  et le prince fait sa joyeuse entrée à Chimay le 14 octobre de cette même année.
Mais en 1683, la guerre se rallume. Les Français pénètrent aux Pays Bas . Après un an de combat, la trève de Ratisbonne est conclue le 15 août 1684 , mettant fin à la guerre hispano française et permettant à la France d’annexer Chimay et Beaumont.
A sa mort survenue à Pampelune le 3 juin 1686, Ernest laisse Chimay à son cousin germain, Philippe Louis  de Hénin Liétard , fils de sa tante. «

Je ne suis pas encore arrivée à Térésa, mais je m’en approche. Ainsi donc maintenant, vous savez que la famille de Chimay a dans les veines du sang du prince de Ligne. Les deux familles sont liées. Donc vous ne pourrez qu’aimer comme moi cette famille de Chimay !

Le comte de la Marck, ami de Mirabeau ( qui entremet Mirabeau avec le couple royal via Mercy ), devient en effet prince d'Arenberg .

Je continue de citer cet auteur : « Les Hénin Liétard veillent de loin sur le bastion familial ( 1686 -1804 )

Le dixième prince de Chimay , Philippe Louis est le fils d’Eugène Liétard et d’Anne Catherine d’Arenberg. Il est l’héritier de son cousin germain Ernest dont il accepte la succession sous bénéfice d’inventaire. Il ne reprend que le titre de prince de Chimay car la maison de Chimay est dans une situation pécuniaire désastreuse puisque les biens sont sous saisie et administrés par la cour de Mons.
Le deuxième fils de Philippe Louis , Charles Louis Antoine né en 1674 devient le 11ème prince de Chimay en 1688. Le 11 mars 1698 , il fait sa joyeuse entrée à Chimay.
Il épouse en premières noces Diane Gabrielle Victoire Mancini, fille de Philippe Jules Mancini Mazarini ( 1639-1707 ), duc de Nevers et de Jeanne Gabrielle de Damas de Thiange, nièce de la marquise de Montespan. Le beau père du prince est le neveu de Mazarin.

A Chimay, la paix des armes est de courte durée, puisque le 6 février 1701 , les Français entrent à nouveau dans la cité , la guerre de succession d’Espagne ayant commencé. Le prince est alors lieutenant général au service du roi d’Espagne Philippe V . La paix revient le 11 avril 1713 avec le traité d’Utrecht et se maintient jusqu’à la fin du siècle sans interruption notable.
Le prince de Chimay épouse en secondes noces la fille du duc de Saint Simon. Le mariage se fait le 15 juin 1722 dans la chapelle du château de Meudon. Saint Simon décrit son gendre en ces termes : « C’étoit un homme très bien fait, d’un visage très agréable, dont l’air et les manières sentoient le grand seigneur ».
Dès la fin de 1722, Saint Simon essaie d’aider son gendre qui se trouve en proie à de nombreuses difficultés financières.
Avec le consentement de son frère Thomas, cardinal archevêque de Malines, Charles Louis , ruiné, est contraint de céder ses droits sur la principauté de Chimay et le domaine familial à son frère aîné Alexandre Gabriel Joseph.

Le XVIIIe siècle est un temps prospère pour le sud du Hainaut, entré dans les possessions autrichiennes en 1713. Les forges et les fourneaux travaillent , pendant que d’autres industries se développent. Vers 1700 , la ville voit naître un commerce de dentelles tandis qu’en 1728, la fabrication des étoffes dites " bajomées de Chimay " débute. La tour de la collégiale de Chimay , à l’angle oriental de la Grand’place est dressée à droite du porche entre 1728 et 1732 sur les plans de l’architecte Montois Cl . J. de Bettignies. "

Madame de Chimay a écrit:

Le deuxième fils de Philippe Louis , Charles Louis Antoine né en 1674 devient le 11ème prince de Chimay en 1688. Le 11 mars 1698 , il fait sa joyeuse entrée à Chimay.
Il épouse en premières noces Diane Gabrielle Victoire Mancini, fille de Philippe Jules Mancini Mazarini ( 1639-1707 ), duc de Nevers "

Non , duc de Nivernais ( et oncle de Jules de Polignac ) !

Merci. C'est l'auteur qui a  donc écrit une inexactitude.

... toute petite, et il y a une telle analogie entre les deux noms !

Eh bien oui, l'erreur est humaine.
Sniff, je suis encore loin de Térésa !Ah , si j'avais un scanner, j'aurais pu vous envoyer tous ces magnifiques documents que je suis la seule à pouvoir contempler . Ce livre est superbement illustré . De plus , il y a des portraits inédits de Térésa ...

Je continue de citer cet auteur : « Alexandre Gabriel Joseph épouse à Lunéville le 10 octobre 1725 Gabrielle Françoise de Beauvau Craon ( 1708-1758 ), une des dames d’honneur du roi Stanislas Ier Leszczynski de Pologne, le beau-père de Louis XV. Le 12ème prince de Chimay fait son entrée dans sa cité le 21 juillet 1737.
En 1741 , l’armée française occupe Chimay comme le reste des Pays Bas autrichiens mais sans combat , ce qui ne veut pas dire sans nouvelles restrictions pour les chimaciens.
Après la mort de son mari survenue à Audenarde le 18 février 1745 , la princesse de Chimay emmène en Alsace ses sept enfants.
En 1748, entrée dans Chimay du 13ème prince. Cette même année, la ville favorise la création d’une société de musique en payant le directeur et ses membres. Vers 1750 , les derniers vestiges du château de Charles de Croÿ sont démolis et les débris servent à combler les fossés du château.

Le 25 avril 1754, le prince de Chimay se marie avec Adélaïde Madeleine Le Pelletier de Saint Fargeau, fille d’Anne Louis et de Charlotte Marguerite D’Aligre. Par l’intermédiaire de son mari en contact avec le beau-père de Louis XV , Adélaïde devient une des dames d’honneur de Mesdames de France. Le couple n’aura qu’un fils Thomas, né après la mort de son père tué à la bataille de Minden le 1er août 1759 et décédé en bas âge le 2 mars 1761.
La princesse de Chimay aura l’occasion de rencontrer de nombreux musiciens dans le cadre de ses fonctions de dame d’honneur à la cour de France. Elle est tout d’abord désignée le 29 août 1754 comme dame accompagnant Mesdames cadettes au retour de Compiègne. Elle est ensuite attachée à la maison de Mesdames Victoire et Sophie puis à la mort de cette dernière en 1782, elle devient exclusivement dame de compagnie de Madame Victoire, étant en 1788 la première des seize dames de son palais. Auprès de Madame Adélaïde de France, la princesse de Chimay se meut dans un milieu mélomane.
La princesse de Chimay est condamnée à mort par le tribunal d’Issy et guillotinée à la veille de la fin de la terreur , le 8 thermidor ( 26 juillet 1794 ), pour « conspiration contre le peuple ».

... " conspiration contre le peuple " !!! On croit rêver !

La veille du 9 thermidor...c'est quand même rageant :s:

Oui, c'est terrible !

Je continue le feuilleton sur la famille de Chimay. »En 1761 , il y a un quinzième prince de chimay ; en 1762, il épouse la fille du duc Charles de Fitz- James, Laure Auguste. Dès 1766, la princesse de Chimay fréquente la Cour de France. Elle est alors dame du palais de Marie Lesyczynska et conserve cette charge jusqu’à la mort de sa souveraine en 1768.
En 1771, elle devient dame de compagnie de la Dauphine. Quatre ans plus tard , elle est la cinquième des douze dames du palais de Marie-Antoinette. Il est amusant de signaler qu’à Versailles , une pièce a reçu le nom de « l’attique Chimay »car elle sert de logement aux dames d’honneur de la reine Marie-Antoinette.
Parmi celles-ci , Laure côtoie sa belle sœur, Adélaïde Félicité Henriette Guinot de Monconseil ( 175à-1825 ), la princesse de Hénin. Les belles-sœurs ont toutes les deux des maris volages qui se plaisent en compagnie des filles de spectacle.

La princesse de Chimay figure vraisemblablement sur la gouache de 1777, « Marie-Antoinette et ses dames d’honneur à Versailles » du peintre bordelais attaché à la reine , Jean-Baptiste André Gautier Dagoty ( 1740-1786 ). Sur ce tableau conservé au château de Versailles, la reine est représentée jouant de la harpe.
Lorsqu’il est envisagé de nommer une nouvelle gouvernante pour les Enfants de France à la place de Madame de Guéménée, il est un moment question de choisir Laure mais la reine « trouvait la piété de la princesse de Chimay par trop austère », nous dit Madame Campan.

Marie-Antoinette aime la musique et en fait profiter ses dames d’honneur. La reine donne la permission à 6 ou 8 femmes de son palais d’occuper ses loges, même en son absence. La Princesse de Chimay a donc régulièrement l’occasion de se rendre à l’Opéra et d’y écouter le repéertoire proposé. Au XIX e siècle , Térésa Cabarrus devenue Princesse de Chimay découvrira à Chimay une malle que Laure avait pieusement conservée contenant des tenues de cérémonie de la reine Marie-Antoinette.
La Princesse de Chimay cède à la mode de posséder des oiseaux chanteurs ( en l’occurrence , il s’agissait de serins ).
En 1783, le Prince de Chimay obtient que les terres de Chimay et de Beaumont, séquestrées et régies sous l’autorité du conseil du Hainaut, soient enfin mises hors saisie.
A la révolution, les Français sont de nouveau à Chimay. Le 25 mai 1793 , la ville est pillée et les soldats dépouillent les églises, et rançonnent les particuliers. En conséquence de quoi, les Chimaciens reprennent les armes en 1794. Avec la victoire de la bataille de Fleurus ( 26 juin 1794 ), les armées françaises deviennent maîtresses du pays et s’intéressent à l’industrie du fer.

Le Prince de Chimay meurt sans postérité à Paris le 24 juillet 1804. Il est enterré dans la collégiale de Chimay comme l’atteste le monument funéraire qui lui est consacré. La principauté de Chimay échoit à François-Joseph de Caraman, le 3ème fils de sa sœur aînée Marie-Anne. «

Source : Marie Cornaz ( livre déjà cité )

Madame Sophie , connaissez-vous les tableaux cités ? Serait-il possible de les reproduire sur le forum afin que chacun puisse admirer ces tableaux ?
Merci beaucoup par avance !

Madame de Chimay a écrit:

Au XIX e siècle , Térésa Cabarrus devenue Princesse de Chimay découvrira à Chimay une malle que Laure avait pieusement conservée contenant des tenues de cérémonie de la reine Marie-Antoinette.
!

Que sont devenues ces toilettes ???

Je ne sais pas mais peut-être est-ce précisé plus loin dans le livre.
Pour l'heure , voici un lien sur Laure :

http://versaillesblog.blogspot.com/.../une-dame-dhonneur-de-marie-antoinette.html -

Oh, c'est pas vrai, la page est introuvable ! Chou, Pimprenelle, Majesté si vous pouvez faire quelque chose....
Et puis, j'ai eu des tas de difficulté technique pour me reconnecter . J'ai cru que je n'arriverais jamais à poster mon message !
Si quelqu'un en sait plus que moi sur ces fameuses robes de Marie-Antoinette à Chimay, je suis preneuse et curieuse de les découvrir...

Il est possible que la page n'existe plus sur le blog Madame Chimay... :s:

Pour les problèmes d'accès que nous rencontrons actuellement j'en ai touché deux mots dans le sujet "Problèmes techniques", c'est dû à des manipulations de changement de serveurs