Marie Antoinette en pièces de théâtre

MARIE ANTOINETTE a écrit:

la française SUZANNE BIANCHETTI a été deux fois MARIE ANTOINETTE ainsi que BRIGITTE FOSSEY

Brigitte Fossey a été deux fois Marie-Antoinette?
Je la sais dans L’Été de la Révolution...mais où d'autre???

Bien à vous.

Cher AMI, mes excuses les plus profondes, effectivement j'ai été trompée par les informations de la photo jointe en indiquant un réalisateur différent pour l'ETE DE LA REVOLUTION qui était un feuilleton TV alors que j'avais dans mes souvenirs un film cinéma.......
il me suffisait de consulter la bibliothèque DVD pour comprendre cette ânerie !!!!



Hier en fouinant pour trouver d'autres comédiennes avec photo ayant été MARIE ANTOINETTE... j'ai trouvé une QUIZZ MARIE ANTOINETTE AU CINEMA et j'ai fait 16 sur 16 bonnes réponses  malgré un piège
on indiquait CHRISTINA BOHM dans le film TETE A VENT alors qu'il s'agit de LADY OSCAR ....    

MARIE ANTOINETTE

Barbara Schulz joue Marie-Antoinette à New York

Les correspondances de Marie-Antoinette, le 24 octobre à 20h


La comédienne française Barbara Schulz jouera Les correspondances de Marie-Antoinette le 24 octobre à New York. Les tickets sont déjà en vente.
De son arrivée à la Cour de France pour épouser le dauphin qui deviendra Louis XVI jusqu’à sa descente aux enfers, Marie-Antoinette a entretenu une correspondance régulière avec ses proches et sa famille.
La comédienne française Barbara Schulz interprétera le rôle de celle qui fut une reine adorée avant de devenir « Madame Veto », condamnée à mort pour trahison.
La pièce est une adaptation du recueil d’Evelyne Lever. Barbara Schulz a, à son actif, plusieurs nomination aux Molières et   aux Césars, dans la catégorie du Meilleur espoir féminin en 2000.
Après New York, Barbara Schulz interprétera Marie-Antoinette à Washington puis à San Francisco.

Bien à vous.

Pièce au sujet qui ne peut que nous ravir mais pourquoi à New York ?

je pense qu'il s'agit du spectacle, en français, donné il y a un an ou deux à PARIS au théâtre de la Madeleine

j'avais vu un excellent spectacle interprété par BUNNY GODILLOT - la Reine au matin de sa mort, dans un grand monologue revient sur les grands évènements de sa vie
ce spectacle était simple, très émouvant et surtout plus facile à assimiler par un public d'outre atlantique francophone !!!!
le lieu de cette représentation en 2006 était devant la cheminée du superbe appartement de GONZAGUE SAINT BRIS dans le XVII° arrondissement de PARIS, avec dégustation de champagne à la fin.

MARIE ANTOINETTE

MARIE ANTOINETTE a écrit:

je pense qu'il s'agit du spectacle, en français, donné il y a un an ou deux à PARIS au théâtre de la Madeleine

j'avais vu un excellent spectacle interprété par BUNNY GODILLOT - la Reine au matin de sa mort, dans un grand monologue revient sur les grands évènements de sa vie
ce spectacle était simple, très émouvant et surtout plus facile à assimiler par un public d'outre atlantique francophone !!!!
le lieu de cette représentation en 2006 était devant la cheminée du superbe appartement de GONZAGUE SAINT BRIS dans le XVII° arrondissement de PARIS, avec dégustation de champagne à la fin.

MARIE ANTOINETTE

Je ne crois pas puisque la pièce de New York retrace la correspondance dès son arrivée en France. Celle dont vous parlez n'a pour thème principal que la dernière lettre.

Marie-Antoinette est décidément à la mode. Après le film de Sofia Coppola, l’actrice Barbara Schulz brossera son portrait le 15 novembre au Lycée français de San Francisco lors de son spectacle « Les correspondances de Marie-Antoinette ».

Comme son nom ne l’indique pas, la pièce est basée sur les lettres de la monarque, adaptées par l’historienne Evelyne Lever. Mariée à 14 ans, reine de France à 18, appréciée par le peuple avant de basculer en enfer,  Marie-Antoinette est l’une des souveraines les plus marquantes de l’Histoire de France. Molière de la révélation théâtrale en 2001, la comédienne Barbara Schulz lui redonnera vie. Et promis, la reine ne portera pas de baskets comme dans le film de Coppola.

La pièce sera en français avec sous-titres en anglais.

Bien à vous.

Peut-être cette pièce de théâtre a déjà été évoquée ici, en tout cas, j'ai cherché mais rien trouvé (le boudoir étant assez vaste)

Il s'agit de "Marie Antoinette Malesherbes - Le dernier combat" au Théâtre de Saint-Maur.

La pièce commence le jour de l'exécution de Louis XVI.
Malesherbes est venu proposer à Marie-Antoinette de la défendre mais celle-ci ne l'aime guère.
Ils vont donc s'affronter, revenir sur le passé, préparer l'avenir, chercher comment la sauver, elle et ses enfants, dans un climat de conspiration où certains cherchent encore à la faire évader, au moment où elle est isolée à la Conciergerie et que son fils est mis à l'isolement.
Malesherbes sera à ses côtés jusqu'à la fin alors qu'il aurait pu quitter la France...

Si vous avez l'occasion d'y aller, la dernière représentation aura lieu le dimanche 15 décembre.
J'ai eu de bons échos sur cette pièce...
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Ah oui dites donc, ça a l'air intéressant cette pièce !

Oh! Fort intéressant en effet!  
Je découvre cette information.
Belle affiche...on reconnaît le profil de Marie-Antoinette ...dommage qu'ils n'aient poursuivi avec Son buste...le bas du profil fait socle...
OK la couleur bleue devait pouvoir contenir les informations relatives au théâtre Saint-Maur...
N'empêche que la silhouette est faussée... 

Bien à vous.

HISTORIA EN PARLE !


On croit connaître Marie-Antoinette, la Reine mais la connaît-on ? Elle prendra conscience de ses erreurs et s'armera de courage jusqu'à la fin pour défendre son honneur et sa famille ! À son procès, le peuple qui haïssait la Reine, sera pris de compassion et d'admiration pour la femme et la mère !

On connaît peu Malesherbes finalement, lui qui, chef de la censure royale, protégea les encyclopédistes et créa des réseaux parallèles de librairies pour sauver des ouvrages... Ami de Voltaire, Rousseau, Diderot, grand lecteur, il entra à l'Académie Française en 1775 ou il succèda à Nicolas-François Dupré de Saint-Maur.
On lui doit le droit et le devoir de citation.

Grand politicien, il se battit pour réformer l'impôt. Grand humaniste, il se battit pour la liberté de religion et fut à l'origine de l'édit de tolérance. Son entrée au ministère, avec celle de Turgot, suscite l’enthousiasme dans l’opinion libérale.

Julie de Lespinasse écrit à un ami : « Oh, pour le coup, soyez assuré que le bien se fera et qu’il “se fera bien”, parce que ce sont les lumières qui dirigeront la vertu et l’amour du bien public. Jamais, non jamais, deux hommes plus vertueux, plus désintéressés, plus actifs, n’ont été réunis et animés plus fortement d’un intérêt plus grand et plus élevé. Vous le verrez, leur ministère laissera une profonde trace dans l’esprit des hommes. […] Oh ! Le mauvais temps pour les fripons et les courtisans ! »

La pièce commence le jour de l'exécution de Louis XVI. Il vient proposer à Marie-Antoinette de la défendre mais celle-ci ne l'aime pas. Ils vont donc s'affronter, revenir sur le passé, préparer l'avenir, chercher comment la sauver, elle et ses enfants, dans un climat de conspiration où certains cherchent encore à la faire évader, au moment où elle est isolée à la Conciergerie et que son fils est mis à l'isolement.

Malesherbes sera à ses côtés jusqu'à la fin alors qu'il aurait pu quitter la France...

Il a dit : « L'humanité est la première de toutes les lois »

Bien à vous.

ICI des photos de ce spectacle.
J'aime l'allure qu'on y donne à Marie-Antoinette : pleine de dignité et de ferveur à se défendre !  

Bien à vous.

Les critiques postées sur BilletRéduc sont dithyrambiques en tout cas !

Merci pour la petite présentation de Malesherbes. Je suis toujours si contente de connaître ceux qui ont été proches de notre Reine, de préférence durant ses moments tragiques.  

Quel dommage d'être si loin et de ne pas avoir vu cette pièce de théâtre..

merci pour cette information qui est restée secrète !!!!!

je viens de contacter le théâtre où j'ai reçu un excellent accueil  - je dois recevoir l'affiche, le programme et le texte qui est édité par courrier et aussi un contact avec FLORENCE CAMOIN qui est l'auteur de cette pièce.
dans le hall du théâtre une petite exposition se rapportant à la Reine a été réalisée et c'est dommage ce manque de communication car nous aurions pu apporter notre soutien à cette opération.

MARIE ANTOINETTE

Citation :

Les critiques postées sur BilletRéduc sont dithyrambiques en tout cas !

Tu peux y aller, veinard !

Je vais réserver une place dès demain...    

Nous en revenons tout juste !  

Bouleversant !    
La fameuse phrase : "J'en appelle à toutes les mères" m'a fait un effet assez particulier...  Larmes mêlées d'un bond explosif de mon bébé. 

L'actrice qui joue Marie-Antoinette est vraiment convaincante : elle a su passer de l'orgueil à la douceur à la perfection, tout à fait caractéristique de la reine.

Une obsession : sauver ses enfants !     Point positif : pas de fersenneries...  

Un bon dialogue entre elle et Malesherbes : on y voit une évolution dans le cheminement de la reine, le pourquoi de ses erreurs, ce que l'un et l'autre ont fait pour le bien des Français et ce qu'ils leur souhaitent.

A la sortie de la pièce, nous avons vu l'auteur. Elle nous a dit qu'i'elle a basé son écriture sur les lettres de Marie-Antoinette, à son avis preuves qu'elle n'est pas la cruche que l'on veut bien montrer en général au cinéma. Je l'en aurais embrassée !    

La pièce reprend cet été au festival d'Avignon.  

Superbe pièce !!!
Un grand merci à Mme Florence Camoin directrice du théâtre de St Maur et auteur de  cette émouvante pièce !!! Elle restitue la vérité, et toute la justice dont le procès a manqué !!!!
La simplicité du décor donne toute sa place aux personnages et donne une dimension plus intime.
J'ai été très touché par Olivia Demorge qui interprète Marie-Antoinette, elle lui donne toute son humanité, sa sensibilité, mais aussi toute sa fermeté !!!
Magnifique !!!
Très belle surprise !!!
La pièce sera rejouée au festival d'Avignon.

ohhh vos témoignages me donnent envie d'aller m'évader à Avignon l'année prochaine !    bonne occasion pour moi aussi de découvrir cette région qui m'est totalement inconnue...   

C'est un excellent moment de théâtre au même titre que la lecture de la dernière lettre fin 2012.

Bon, ce n'est peut-être pas le sujet adéquat, et je sais que nous avons déjà posté des photos d'anciennes pièces de théâtre, mais je préfère risquer la redite que laisser passer Madamoiselle Lillie Langtry en Marie Antoinette:


http://www.vam.ac.uk/vastatic/microsites/1158_lafayette/popup.php?img_id=350


http://www.etsy.com/shop/SistersScrapbooking


https://www.pinterest.com/pin/43206477649319549/


https://www.pinterest.com/pin/43206477649319549/

Lillie Langtry as Marie Antoinette in an advance publicity photograph for ‘A Royal Necklace’, a play in four acts by Pierre and Claude Breton, produced by Lillie Langtry for the re-opening of the Imperial Theatre, 22 April 1901.


Frances Evelyn Greville, Comtesse de Warwick, à son Grand Bal Poudré;
http://theesotericcuriosa.blogspot.be/2012/01/fashion-and-beauty-of-london-and.html

Les Célestins de Lyon vont présenter Innocence de Horward Barker, une pièce inspirée par la vie de Marie Antoinette:
http://www.celestins-lyon.org/


Du 21 janvier au 1er février | Célestine
INNOCENCE  
De : Howard Barker, Association nÖjd | Mise en scène : Howard Barker, Gerrard McArthur


INNOCENCE
De : Howard Barker, Association nÖjd | Mise en scène : Howard Barker, Gerrard McArthur | Traduction : Sarah Hirschmuller

Avec Guillaume Bailliart, Alizée Bingöllü, Olivier Chombart, Pierre-Jean Étienne, Vincent Fontannaz, Anne-Gaëlle Jourdain, Aurélie Pitrat, Jean-Philippe Salerio Assistant à la mise en scène - Kylie Walters / Collaboration artistique - Aurélie Pitrat / Scénographe - Thomas Leipzig / Créateur lumière - Ace McCarron / Créateur son - Erick Priano / Créateur costumes - Billie Kaiser, Cathy Ray
Au commencement de ce projet exceptionnel, il y a la rencontre entre Aurélie Pitrat, comédienne de l’association nÖjd, et l’auteur et dramaturge anglais Howard Barker.

Barker s’empare d’un épisode historique célèbre, la persécution de Marie-Antoinette et de son fils dans le contexte de la Révolution française. L’auteur se focalise sur la plus folle rumeur de l’époque pour imaginer la face inexplorée d’une troublante légende.
Paris gronde. Le roi est mort. Seule avec son fils, une reine déchue attend sa mort prochaine. Dans le dénuement le plus extrême, se sachant épiée et condamnée, elle sombre dans la tentation d’un inceste qui enflamme son procès.

Innocence est aussi une pièce sur la société contemporaine. Il y est question de révélation, de transparence et de l’abolition de la sphère privée. Les personnages luttent, s’arrachent et réagissent avec l’énergie des combats guerriers. Leur arme est la langue : son rythme, sa répartie, son humour.

BORDS DE SCÈNE : mercredi 22, jeudi 30 et vendredi 31 janvier
Rencontres avec l’équipe artistique à l’issue des représentations
À noter : le bord de scène du 22 janvier se fera en présence de Howard Barker. Il sera animé par Christine Kiehl.

Production - Association nÖjd / Coproduction - Théâtre du Parc - Andrézieux-Bouthéon , Théâtre de Villefranche-sur-Saône, Les Célestins, Théâtre de Lyon, MC2: Grenoble
Avec le soutien de l’Institut Français en convention avec la Ville de Lyon, de la DRAC Rhône-Alpes, de la Région Rhône-Alpes et du Groupe des 20 - Rhône-Alpes, de l'Adami, de la Spedidam.
Maquillage M.A.C. COSMETICS
http://www.celestins-lyon.org/index.php/Menu-thematique/Saison-2013-2014/Spectacles/Innocence

Théâtre : les Célestins mettent le cap au nÖjd
Par Caïn Marchenoir

nÖjd, c’est une jeune compagnie qui a gagné les galons d’une vraie reconnaissance grâce à un théâtre bourré d’énergie et une prédilection pour les textes iconoclastes. Ils viennent aux Célestins plaider leur Innocence, un texte de Howard Barker.


Laurent Nicolas


En 2007, la réussite de La Musica deuxième, une version déglinguée de l’œuvre de Marguerite Duras mettant l’accent sur un aspect inattendu, son humour, avait attiré notre attention sur cette troupe lyonnaise au nom étrangement scandinave. nÖjd “est un personnage secondaire d’une pièce de Strindberg, Père, qui nous a séduits par sa capacité à influencer l’action en restant en dehors”, nous avaient alors expliqué Guillaume Bailliart et Aurélie Pitrat, deux comédiens qui forment avec Mélanie Bestel, Pierre-Jean Étienne et l’administratrice Émilie Leloup le cœur de cette association d’acteurs fondée en 2006.

Le jeu au cœur des projets

“Il nous fallait une structure administrative qui concrétise notre envie de travailler ensemble et nous permette de faire les démarches nécessaires pour nous professionnaliser davantage, arrêter de tout faire avec des bouts de ficelle. Nous nous sommes connus dans le cadre du compagnonnage mené par Sylvie Mongin-Algan [codirectrice du NTH8] et nous avons ensuite fondé l’Olympique Pandémonium, troupe qui a éclaté. Chacun menait de son côté son parcours de comédien, avait poursuivi Guillaume Bailliart. J’ai travaillé avec Michel Raskine, Gwenaël Morin, d’autres avec Claire Rengade, le TG Stan par exemple. Nous sommes toujours restés en contact et, lorsque l’on a décidé de former nÖjd, avec à la clé un projet de résidence à l’Élysée*, nous avons décidé de faire ce que l’on maîtrise à peu près : jouer, placer le jeu, le travail du comédien au centre de nos projets. C’est un outil de recherche qui nous donne la direction vers laquelle tendre.”

La princesse de Gombrowicz au TNP

Cet axe essentiel les amène à fonctionner avec des hiérarchies ponctuelles et des collaborations extérieures nombreuses. On le vit avec leur deuxième spectacle, Les Chevaliers, écrit et mis en scène par Guillaume Bailliart, avec une importante distribution. Cette pièce en armures, sans queue ni tête mais irrésistiblement drôle, acheva de convaincre le TNP et d’autres scènes prestigieuses d’accueillir les excités du nÖjd pour un projet ambitieux. Ce fut la mise en scène d’Yvonne, princesse de Bourgogne de Witold Gombrowicz, un défi qu’ils relevèrent haut la main avec une lecture audacieuse de la pièce, une manière de bordel organisé et une interprétation à la limite de l’hystérie.

Et Marie-Antoinette aux Célestins


Laurent Nicolas


Cette passionnante trajectoire, unique dans son succès, ne semble pas vouloir s’arrêter de sitôt puisque c’est maintenant l’équipe des Célestins qui a décidé de les accueillir. Une invitation partagée avec rien moins que Howard Barker, un des plus grands dramaturges anglais contemporains. C’est en effet avec lui, et le grand acteur irlandais Gerrard McArthur, qu’ils mettront en scène Innocence, une œuvre de Barker qui s’inspire de l’histoire tragique de Marie-Antoinette et de son fils. Cette enviable collaboration permettra à nÖjd d’approfondir encore son travail sur le corps et la voix.
* Petite salle du 7e arrondissement de Lyon qui a pour volonté d’aider et découvrir les jeunes talents.
---
Innocence. Du 21 janvier au 1er février, à 20h30 (relâche dim. et lundi), aux Célestins, 4 rue Charles-Dullin, Lyon 2e.
> Le 4 février, au théâtre Jean-Vilar, 12 rue de la République, Bourgoin-Jallieu.
> Et les 25 et 26 février, au théâtre de Villefranche, place des Arts.
http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Culture/Theatre/Theatre-les-Celestins-mettent-le-cap-au-nOejd


Voilà qui a l'air bien intéressant!   J'adore les costumes, déjà...  

Theatre preview: Marie Antoinette looks radiant on Edmonton stage

PREVIEW

Marie Antoinette: The Colour of Flesh

Theatre: Shadow

Written by: Joel Gross

Directed by: John Hudson

Starring: Nicola Elbro, Alana Hawley, Frank Zotter

Where: Varscona Theatre, 10329 83rd Ave.

Running: through Feb. 16

Tickets: 780-434-5564 or TIX on the Square (780-429-1757, tixonthesquare.ca)



Alana Hawley and Nicola Elbro in Marie Antoinette: The Colour of Flesh, at Shadow Theatre
Photograph by: David Rauch


EDMONTON - “You are very good with the surface of things, dear Elisa. My mother will be pleased to see how well I look. I am positively radiant.”

— Marie Antoinette: The Colour of Flesh


That’s the much-maligned queen of France talking. Remember her? The one who played milkmaid, got terrible PR for that unfortunate tweet “let ’em eat cake!” and ended up on a lethal date with The National Razor? (Incidentally, she’s now apparently off the hook for that infamous throwaway line, according to legit historians.)

In the three-character drama by New York playwright Joel Gross, opening in the Shadow Theatre season Thursday, Her Majesty, who’s not a big supporter of warts-and-all realism in royal portraiture, is casting an approving eye on her own lustrous painted image.

Marie Antoinette: The Colour of Flesh takes us to Versailles in the fraught two-decade period 1774 to 1793, as the French Revolution is gathering critical mass, momentum, and a sharp edge. Against that backdrop, Gross imagines his three characters, and the triangle of self-interest, friendship and love that binds them: the naive and unpopular young queen; the ambitious, calculating society painter Elisabeth Vigée Le Brun, who climbs her way to a lucrative court gig; and the left-leaning aristocrat Count Alexis de Ligne, who has his own motives for sidling up to the queen. The former two are based on historical figures; the latter is a writerly creation, who goes off to America to fight with revolutionaries there.

As he explains on the phone, Gross, a New Yorker by charm, accent and birth, was a novelist first, albeit one who’d spent a decade “back and forth to L.A. with movie projects,” when he started writing for the theatre.

“I had no idea how difficult it would be,” he says amiably of transferring his “real interest in history” into playwriting. It wasn’t that Gross had secret thespian aspirations himself: “I never had the urge to humiliate myself that way; it looks so terrifying!” It was perhaps more an inevitable offshoot of environment: “New York City is a theatre town,” he says simply. “And I’ve always loved theatre people … so vulnerable and at the same time so brave.”

“Theatre is such a different world,” says Gross, who takes his historical bent into musical theatre with his current work-in-progress Dillinger: The Musical. Famous actors might make themselves available for a script workshop even if they won’t commit to a long run, as he discovered. “The first reading of Marie Antoinette had Julia Roberts as the artist Elise, and Elizabeth Shue as the queen.”

Gross, whose historical novels include The Books of Rachel (which chronicles 500 years of Jewish history) and Sarah: A Novel of Sarah Bernhardt, is particularly drawn to the 18th century. When he discovered Le Brun’s portrait of a Polish countess at the Norton Simon Museum in California, he was intrigued. “There were very few professional women painters in this era, and she was quite famous, as I learned … She came from the lower middle-classes and wanted to get rich; she specialized in aristocrats, and made people look good.”


She painted Marie Antoinette more than any other painter. There are two Le Bruns in the Metropolitan Museum in New York, including a portrait of Talleyrand’s mistress Catherine Grand. None of them is having a bad hair day, or a pimply chin. Beyond sucking up to a rich and powerful clientele, the artist would argue in her own defence, as Le Brun does in Gross’s play, that there’s a certain legitimacy in idealizing, “in presenting beauty in an ugly world.”

Eighteenth century history served the playwright an intriguing coincidence, says Gross. The queen and Le Brun were the same age, 19, “mere teenagers,” when they met — “an interesting way to develop a story of friendship.”

The revolutionary backdrop has traction these days. “I wasn’t trying to write a political tract. But at a time of great inequality, like now, when people at the top are getting too big a slice of the pie, it creates instability.” And the nouveau riche, “the people who come from no money and are the first generation to make some, want to keep it. They don’t want change … Income inequality is growing.”

Think Wall Street, and hedge funds. These days when Gross sees productions of his play, he often finds that “the lines that excite people the most” are the ones in which the liberal Count Alexis riffs on the vast gulf between rich and poor. “I’m not really trying to make a parallel. But I do live in this time. If I’d written the play 60 years ago it wouldn’t be the same.”

The question of patronage in the arts, and the tendency of the artist to flatter his rich employer, hasn’t exactly vanished into the ether in a couple of centuries.

“In the contemporary art world, extremely wealthy people, who may not know anything about art, control the market,” says Gross. He points to the case of the Russian billionaire who own a Florida art gallery. “What kind of art do you handle?” the oligarch was asked. Answer: “high end.”

© Copyright (c) The Edmonton Journal
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