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| Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons | |
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Auteur | Message |
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pimprenelle
Nombre de messages : 40594 Date d'inscription : 23/05/2007
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Sam 13 Nov - 14:37 | |
| En Belgique aussi. Ça n'empêche apparemment rien. _________________ rien que la mort peut me faire cesser de vous aimer
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| | | Chou d'amour Administrateur
Nombre de messages : 31526 Age : 42 Localisation : Lyon Date d'inscription : 22/05/2007
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Sam 13 Nov - 15:14 | |
| En effet _________________ Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme c'est le contraire!
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Sam 13 Nov - 18:43 | |
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| | | Chou d'amour Administrateur
Nombre de messages : 31526 Age : 42 Localisation : Lyon Date d'inscription : 22/05/2007
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Dim 14 Nov - 0:07 | |
| Respect pour la maîtresse _________________ Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le syndicalisme c'est le contraire!
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Dim 14 Nov - 0:40 | |
| Mais c'est vrai que cela ferait du bien pour nos retraites ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Mer 17 Nov - 17:26 | |
| Très vite , la petite princesse partage son temps entre différends endroits : l’hiver à Nancy, l’été à Lunéville. Des faits marquent son enfance comme le dit Heili :
-« En 1716 , l’inhumation aux Cordeliers de son arrière grand-mère , la duchesse Claude , mère de Charles V. Elle était décédée à Vienne le 2 août 1648. Son corps avait été ramené en 1697 et conservé dans l’église abbatiale de Remiremont. En 1716, le duc Léopold la fait transférer dans la chapelle ducale à Nancy. »
-Le carnaval de 1721 qui fut l’un des plus beaux de son temps.
Très vite , les différends enfants sont séparés. François Antoine Étienne né en 1708 , deviendra duc de Lorraine sous le nom de François III , puis grand duc de Toscane et enfin empereur. Il évoluera dans une sphère germanique tandis que pour Anne Charlotte se développe dans une atmosphère francophone. Cette différence les empêchera de se comprendre et s’estimer.
Non, son compagnon de jeux, c’est Charles Alexandre né à Lunéville le 12 décembre 1712. et aussi Élisabeth-Thérèse . Celle-ci épousera en 1737 Charles Emmanuel III de Savoie, roi de Sardaigne.
Les jeunes princesses , pour l’heure , achèvent leur éducation. Et le théâtre tient une place importante dans cette éducation. Comme le dit Heidi , « la direction de leur éducation est confiée à Anne de Ligny de Charmel , épouse de Louis , marquis de Beauvau et veuve de son état. De plus, elle avait été dans sa jeunesse chanoinesse de Remiremont. Elle est la mère de Marc de Beauvau-Craon , le constructeur d’Haroué. C’est grâce à sa belle-fille , maîtresse du duc Léopold qu’elle obtient cette charge de gouvernante des princesses de Lorraine. Elle doit leur apprendre à lire , à écrire , à faire la révérence , à toucher du clavecin et à peindre en miniature. Nous avons le témoignage de la Princesse Palatine sur ses petits enfants. Déjà , Anne-Charlotte se détache du lot, ne fusse que par sa beauté.
Puis baptêmes,mariages, deuils se succèdent. Très sollicitée, notre petite princesse est plusieurs fois marraine. Plusieurs deuils se succèdent : d’abord celui de la princesse Palatine en 1722 puis celui du jeune frère de notre petite princesse Léopold Clément emporté à l’âge de 16 ans par la petite vérole en 1723. Voici ce que dit Heili : « Pendant l’été et l’automne , la petite vérole , fait des ravages épouvantables en Lorraine . Aux dires du libraire Nicolas , il en mourut plus de 1500 enfants et l’épidémie ne cessa qu’en janvier 1724. Cela eut sans doute des incidences sur la fuite du nouvel héritier à Vienne , fuite organisée en 1723. Il ne s’agissait rien moins que de mettre l’héritier à l’abri. "
Une seconde gouvernante arrive pour prendre la suite de Madame de Charmel décédée en 1723. Il s’agit de Madame Lamberte Constance de Faing .
Je n'en reviens toujours pas que le théâtre ait eu une telle importance à la Cour de Lorraine... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Mer 17 Nov - 18:11 | |
| On sait que Marie-Antoinette en fut la digne héritière. Quand j'ai retracé cet été les vies de ses frères et sœurs, on voit à quel point l'éducation artistique était primordiale. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 9:07 | |
| Absolument chère Olivia et cela mérite que je me penche sur la question théâtrale... La princesse Anne-Charlotte et sa sœur firent l’objet de tractations de mariage touts azimuts. Leurs parents espéraient bien en marier une à Louis XV et l’autre au duc de Bourbon. Mais ces projets d’alliance tournèrent courts. La famille de Lorraine fut furieuse du mariage de Louis XV. Alors d’autres projets de mariage se succédèrent : pourquoi pas une alliance avec Mgr d’Orléans leur cousin ou bien encore avec le prince de Sulzbach . Parfois des intermédiaires s’en mêlent et proposent leurs bons offices. Mais le 27 mars 1729, le pape d’Anne-Charlotte meurt des suites d’un refroidissement. Comme le dit Heidi, c’est toute la Lorraine qui prend le deuil. Sa femme Elisabeth-Charlotte est déclarée régente. De fait son fils François n’est guère intéressé par la couronne ducale, lui préférant celle de l’Autriche. Au deuil du duc succèdent les maladies des princes et princesses lorrains. Cela commence en 1730 avec la petite vérole du prince Charles qui en réchappe puis en 1732 où les deux princesses attrapent la rougeole et également en réchappent grâce à l’intercession de St Sigisbert. C’est ainsi, le vie à la Cour de Lorraine comme le dit Heili, « se partage entre de multiples déplacements, des réceptions mondaines et des dévotions religieuses. La sœur d’Anne-Charlotte est choisie comme coadjutrice de l’abbaye de Remiremont." Et c'est tout naturellement quand sa soeur aînée se mariera que l'abbaye " tombera " dans l'escarcelle d'Anne-Charlotte. Les hasards de la vie sont parfois bien curieux.... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 9:22 | |
| L’aîné des fils de Léopold revient en Lorraine pour en prendre brièvement possession sous le nom de François III mais non décidément , c’est l’Autriche qui l’intéresse. De plus en plus, comme le dit Heili, l’empereur Charles VI pense à en faire son gendre. Cette situation, le Roi de France ne peut la tolérer. Comme le dit Heili, « La France ne peut tolérer que l’héritier de l’Empire des Habsbourg soit aussi le maître de la Lorraine et du Barrois. Un gigantesque marchandage est alors proposé : les duchés de Lorraine et de Barrois seront donnés à Stanislas Leszczynski , beau-père de Louis XV en compensation de la perte de son royaume de Pologne. A sa mort, les duchés reviendraient à son gendre . En attendant , François III abandonnerait la terre de ses ancêtres pour recevoir en échange le grand-duché de Toscane dont le trône allait devenir vacant . son mariage avec Marie-Thérèse serait alors accepté.
Malgré les réticences de la régente Elisabeth-Charlotte et de la noblesse lorraine, tout se déroule selon ce qu’a prévu la volonté royale française. Ainsi donc , le 17 février 1736, François III de Lorraine épousait donc à Vienne Marie-Thérèse d’Autriche , fille de l’empereur Charles VI. " |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 14:36 | |
| En 1736, Anne-Charlotte a 22 ans et échappe de peu à la variole. Comme le souligne Heili « à nouveau , la châsse de St Sigisbert est descendue et voilà notre petite princesse sauvée. ». Mais l’heure de l’exil a sonné car il faut donner le duché à Stanislas. Face à ce deuil un peu particulier, Anne-Charlotte se tourne vers la religion et s’engage dans la Confrérie du St Sacrement dans l’église Notre Dame de Sion. C’est aussi l’époque où sa sœur se marie. Comme le souligne Heili, « Par ce mariage, l’aînée des princesses condamnait au célibat sa cadette mais lui ouvrait les perspectives d’un abbatiat prestigieux.
Maintenant que la Lorraine échappait à ses ducs, il devenait urgent de procurer aux membres de leur famille la position qui convenait à leur rang. » Elisabeth-Thérèse épousa le 5 mars 1737 à Lunéville Charles-Emmanuel , fils de Victor-Amédée , duc de Savoie et roi de Sardaigne et d’Anne-Marie d’Orléans ( mariage par procuration , le souverain étant représenté par le Prince de Carignan ). Puis , la princesse partit pour Chambéry , sa nouvelle patrie. Elle résida quelque temps à Turin. Elle donnera 3 enfants à son époux et trouvera la mort en couches. « Elle mourut à Turin le 3 juillet 1741 . Son corps est inhumé dans la crypte de la basilique de Superga auprès des membres de la famille de Savoie.
En Lorraine, la page était tournée depuis quatre ans. Au lendemain du mariage d’Elisabeth-Thérèse , le 6 mars 1737, la famille de la duchesse douairière quittait Lunéville. Une foule considérable assistait aux adieux d’une dynastie à son peuple. «
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 14:44 | |
| C'est au milieu des larmes et des sanglots que ce départ a lieu...Si bien que l'on peut parler de véritable deuil, déchirement aussi bien de la famille régnante que de son peuple ...!
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 15:34 | |
| Voici une référence à propos de la principauté de Commercy
La principauté de Commercy de Jocelyn Leclerc Editions Lacour-Ollé : 15 euros
Cet ouvrage a obtenu le prix Gosselin Lenôtre 2005. L'auteur a fait un travail de recherches considérables sur des sources primaires et secondaires
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 15:37 | |
| Quelques photos de Commercy
http://www.commercy.org/commercy.htm |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 15:52 | |
| Le duc de Lorraine François III réhabilité à Lunéville
"Exposition réalisée en 2008. « Pour les Lorrains, il a abandonné son duché. Seuls les historiens contemporains savent combien ce choix fut difficile », précise Thierry Frantz, chargé d'études documentaires qui a monté cette exposition.
François n'était pas destiné à régner. Son frère, Léopold II, étant mort de la variole, c'est à lui qu'est revenu de succéder à son père, le duc Léopold. À la mort de ce dernier en 1729, il vient diriger la Lorraine. « Il règle les affaires courantes puis laisse les rênes à sa mère, Elisabeth-Charlotte », précise Thierry Frantz. François III repart à la cour de Vienne où il a été en partie élevé ; son père et l'empereur Charles VI de Habsbourg, ayant pour projet de le marier avec la fille aînée de ce dernier.
« La marge de manœuvre pour François était très réduite : sans son acceptation, la guerre de succession de Pologne aurait pu s'éterniser. »« François III n'a pas trahi son duché », insiste Thierry Frantz. « Il a eu des scrupules à renoncer à la terre de ses ancêtres. Les années 1735-1736 furent terribles pour lui. Il a fait de la dépression. Et subissait des pressions non seulement de sa mère, mais aussi de la part de sa future épouse, Marie-Thérèse et de son futur beau-père Charles VI. »
Sa mère, Élisabeth-Charlotte, lui écrira même qu'il a « coupé la gorge à sa famille » car, en quittant ce duché, sa famille a dû s'exiler. Sa mère et deux de ses sœurs sont ainsi parties dans la principauté de Commercy que la princesse Élisabeth-Charlotte a obtenu de haute lutte.
Père de Marie-Antoinette
De François III duc de Lorraine, il deviendra François II de Toscane, puis François Ier du Saint-Empire romain germanique. " Lorsqu'il a abandonné la Lorraine, il ne l'a fait qu'avec des contreparties ", fait remarquer Thierry Frantz.
L'impressionnant portrait de la famille impériale, prêté par le château de Versailles, est l'une des pièces maîtresse de cette exposition. La petite Marie-Antoinette, alors âgée de deux ans, y est représentée dans un berceau aux côtés de la fratrie : François et Marie-Thérèse auront 16 enfants. Mais seuls douze survivront. « Sans les nombreux prêts du musée lorrain de Nancy, cette exposition n'aurait pu voir le jour », précise Thierry Frantz. Outre cette collaboration, cette présentation s'est enrichie de divers prêts de tableaux, figurines, miniatures et objets du musée de la Chasse et de la Nature à Paris, du musée de Remiremont, des archives départementales et même de musées bruxellois, destin européen oblige."
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 16:37 | |
| Dernières Années De La Cour De Lunéville. Mme De Bouflers, Ses Enfants Et Ses Amis de Gaston Maugras Plon : 48 euros |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 19:02 | |
| C'est vrai que cette cession de la Lorraine à la France n'est pas assez étudiée en profondeur. On peut comprendre le ressentiment de l'ancienne famille ducale, de la noblesse lorraine et du peuple qui au XVIIème siècle avait subi une occupation terrible de la part des troupes françaises. Callot en laissa des gravures d'un morbide confondant. Les Lorrains devaient vraiment détester les Français et à juste titre. Non seulement, la famille ducale se voit préférer à une obscure princesse polonaise pour donner une reine à Louis XV mais en plus, le père de celle-ci leur pique leur duché. Quand on change de point de vue, on peut comprendre une certaine tension. J'imagine que les Lorrains devaient être très heureux du mariage de Marie-Antoinette. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 21:37 | |
| Sans aucun doute oui. Cette question de la Cession de la Lorraine mérite d'être étudiée et je compte bien m'y atteler... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 22:50 | |
| "Les rapports entre la Cour d’Autriche et celle de Lorraine s’étaient développés de façon bienveillante depuis le Moyen Age , soudés par des liens politiques, religieux et familiaux. Les invasions françaises forcèrent les ducs de Lorraine à fuir et c’est à Vienne qu’ils trouvèrent refuge dès 1643. Les deux ducs de Lorraine suivants , Charles V et Léopold Ier naquirent en Autriche. Ils furent amenés à considérer l’Autriche comme une seconde patrie et la famille des Habsbourg comme une famille d’accueil. Léopold de Lorraine eut le bonheur de rentrer dans ses états grâce au traité de Rijswick ( 1697 ). L’éducation et l’adolescence le firent compagnon de jeu des futurs empereurs Joseph Ier et Charles VI. Le Roi de France lui choisit une épouse en la personne de sa propre nièce. Elisabeth-Charlotte d’Orléans lui donna une nombreuse postérité.
François Antoine Etienne était le neuvième de ses enfants. Il naquit à Lunéville le 8 décembre 1708. Mais à cinq reprises, la famille ducale fut frappée par la mort. François devint ainsi tragiquement le prince héritier en 1723 après le décès de son frère Léopold-Clément survenu le 4 juin. Tous ces liens familiaux et les souvenirs des humiliations infligées par la France à sa personne , à celle de son père et à toute la famille ducale poussaient Léopold de Lorraine dans la voie de l’Empire. Ainsi, quand son fils héritier , le prince François , fut en âge de recevoir une éducation politique, ce fut à la Cour de Vienne qu’il souhaita l’envoyer. En outre, le duc connaissait bien l’attitude de Charles VI au sujet du mariage à faire et qui occupait déjà la diplomatie européenne : s’il restait sans héritier mâle , pourquoi ne pas retrouver un descendant d’une famille que les ancêtres avaient déjà rencontrée sur leurs terres d’origine en Lorraine et en Alsace ? Léopold de Lorraine ne se trompa pas. La famille impériale adopta si bien le jeune prince que Charles VI sanctionna déjà l’union conjugale déjà en septembre 1723.
La cession de son patrimoine , en 1736 pour le duché de Bar et en 1737 pour la Lorraine, se présente comme l’aboutissement d’une longue expérience politique nourrie d’une part de menaces françaises perpétuelles et d’autre part de rapports de solidarités fondés sur une même conception politique et familiale. François III, duc de Lorraine à partir de 1729 , réalisa très vite que ce jeu aux dimensions européennes ne lui permettait pas de garder les doubles options : Duc de Lorraine et Beau-fils de l’Empereur. Mais il parvint à tirer le plus de profit dans une affaire qu’il n’était plus en état d’arrêter et qu’il n’avait pas voulue. L’émigration des Lorrains en est un chapitre important .
La correspondance diplomatique préparatoire aux traités de Vienne montre que François III poursuivit le processus dans les moindres détails , déjouant les ruses possibles , prévoyant les coups du sort , défendant les droits de sa famille et réglant dès le début la question d’une émigration probable. Il promit aux Lorrains qui viendraient le suivre de leur procurer une situation adéquate. L’appel s’adressait à la noblesse d’épée , aux artistes , aux artisans et aux paysans."
Source :
L'Hospitalité au XVIIIe siècle : actes d'un colloque organisé en juillet 1999 de Alain Montandon Presses universitaires Blaise Pascal (2000), 276 p : 24,39 euros
Ouvrage mis en ligne
http://books.google.be/books?isbn=2845161298... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 22:51 | |
| Ah mince , mon lien ne passe pas... C'est un livre bien intéressant en tout cas... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 23:04 | |
| La vie du père de Marie-Antoinette est toute une aventure ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 23:07 | |
| Oui et ce n'est pas fini car le papa de Marie-Antoinette a entraîné avec lui tout un exode de Lorrains ! Je suis contente d'avoir trouvé ce lien qui explique bien des choses ... Mais la suite, ce sera pour demain ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 23:08 | |
| Voici le petit duc adopté par la Cour d'Autriche et qui faisait déjà battre le cœur d'une jeune archiduchesse : Marie-Antoinette lui ressemble indéniablement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 23:09 | |
| Merci chère Princesse. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 23:10 | |
| Au fond , c'est la France qui a poussé la Lorraine dans les bras de l'Empire et ce , au moins dès l'époque de Richelieu... Demain, je donnerais quelques références... Sur ce , je vous souhaite une bonne nuit ! Waouh, merci pour le portrait chère OLivia. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons Jeu 18 Nov - 23:13 | |
| Oui les liens avec les Habsbourgs étaient très poussés. Y a qu'à voir ce portrait. Il a bien une tête d'Habsbourg. Or sa mère est une Bourbon. |
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| Sujet: Re: Une tante de Marie-Antoinette chanoinesse à Mons | |
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