Ultime(s) rencontre(s) avec Fersen aux Tuileries

Chère Pim,
Sa note"son logement à merveille" ne nous aide pas à trouver la clé de cette énigme.
S'il a pris son chemin ordinaire Il a pu connaitre ce logement soit la Reine soit Eléonore.
Peut-être soit La Reine soit Eléonore Sullivan a fait aménager son nouvel appartement.
Leos

leos a écrit:

Chère Pim,
Sa note"son logement à merveille" ne nous aide nous trouver la clé de cette énigme.
S'il a pris son chemin ordinaire  Il a pu connaitre ce logement soit la Reine soit  Eléonore.  
Peut-être soit La Reine soit  Eléonore Sullivan a fait aménager son nouvel appartement.  
Leos

Bonsoir Leos  
"A merveille" signifie "parfaitement" ou "admirablement".  On dit "chanter à merveille" ou faire quelque chose "à merveille". Cf http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/merveille/50672/locution

Je crois que Fersen veut dire qu'il est passé "merveilleusement"/"à merveille" ou "admirablement" (c'est-à-dire sans problème) dans le logement de la reine.

Merci pour votre aide linguistique à comprendre ce texte
Leos

leos a écrit:

Chère Pim,
Sa note"son logement à merveille" ne nous aide pas à trouver la clé de cette énigme.
S'il a pris son chemin ordinaire Il a pu connaitre ce logement soit la Reine soit Eléonore.
Peut-être soit La Reine soit Eléonore Sullivan a fait aménager son nouvel appartement.
Leos

Absolument, Leos, les indications données par Fersen ne sont pas claires du tout. Votre explication résume parfaitement la situation.

Ce qui plaiderait plutôt en faveur du logement chez Eléonore, toutefois, c'est que, plus loin, le journal de Fersen raconte qu'il a pu loger chez Josephine, la bonne d'Eléonore, un arrangement qu'il a visiblement trouvé très confortable.

D'autre part, la divergence entre les versions du journal montre que le baron de Klinckowström (vérifié l'orthographe sur le net ) était avant tout soucieux de protéger la mémoire de son aïeul... ce qui est somme toute bien normal... puisqu'il a préféré remplacer elle par "la Reine" et supprimer toute la semaine vaudevillesque que Fersen a passée chez le couple Craufurd-Sullivan.

Une expertise réalisée en 1950 par M. Warner-Ringdahl de  l'Institut d'Etat technique de Stockholm a permis d'établir, grâce à une "infra-photographie", que le célèbre passage raturé du Journal de Fersen du 13 février 1792 contenait bien les mots "resté là" après "pas vu le Roi" :





Alma Söderhjelm avait donc vu juste : Fersen a passé la nuit avec la reine.

Merci pour ce magnifique document !   Selon cette analyse, il se pourrait bien, en effet, qu'Alma Söderhjelm ait déchiffré correctement les mots sous les ratures.  

Cependant, qu'est-ce qui vous permet de conclure que Fersen a passé la nuit chez la reine ?  

En effet, les conventions dont use Fersen (Elle, El, elle, elle...) sont trop compliquées pour qu'on puisse affirmer pouvoir s'y retrouver. Et si le baron de Klinckowström (écrit de mémoire, garantis rien...   ) choisit "la Reine", c'est surtout pour éviter d'avoir à justifier de l'existence d'une Eléonore et du vaudeville y afférent qu'il a proprement supprimés du journal de son aïeul.

Rien n'est donc sûr.  

Si Fersen a passé cette nuit avec la Reine...est-ce à faire ce que tu aimerais?
Dans la prison qu'étaient les Tuileries, tout cela semble bien improbable quand même, non?

Bien à vous.

Je ne sais pas... S'il a pu s'introduire clandestinement dans les Tuileries pour voir la reine seule sans le roi, ils ont pu faire des choses ensemble.

Hum...cet épisode des 13 et 14 février est bien étrange, en effet.  

Il y a plusieurs hypothèses, puisque tout est embrouillé : les dates, les plages horaires, les écrits de Fersen !!
Chacun pourra choisir celle qui lui convient. Ou aucune !  

- Fersen est à Paris à l'heure dite, loupe le rdv de 6h, y retourne plus tard avec Goguelat ; il ne rencontre que la reine mais pas le roi.
Et là...on ne sait pas !  
Dans son courrier, ce n’est donc pas ce qu’il dit à Taube : il ment, ou fait au plus « simple ».

- Fersen est à Paris à l'heure dite, loupe le rdv de 6h, va chez Craufurd, consigne le loupé dans son journal ; plus tard, il ressort cependant ; rencontre la reine et le roi  ; il ne corrige pas son Journal à son retour (il est tard, la mère Sullivan et/ou Joséphine, la bonne, l'attendent toutes pimpantes sous les combles  ).
Il dit la vérité à Taube.

- Fersen est à Paris à l'heure dite, loupe le rdv de 6h et celui de minuit, n'y retourne que le lendemain. Il reste chez les Craufurd.
Il ment à Taube, ou il s'embrouille dans les dates le jour où il lui relate sa visite dans son courrier.

- Taube a mal déchiffré la lettre de Fersen (qui est codée).

- Le baron Machin, qui s'occupe de publier la lettre envoyée à Taube, s'emmêle les pinceaux à son tour, sciemment ou pas.
Fais ch.....celui-là !!  

Et enfin, plusieurs questions :

- Pourquoi Fersen , qui écrit avec un style si télégraphique, sans guère s'occuper de fioritures, prend-il tant de soin à souligner ce elle (s'il est bien celui qui le fait) ?
Un petit elle, normal, ou un El. s'il s'agit de Mme Sullivan est bien plus simple !

- S'il ne rencontre ni le roi, ni la reine...pourquoi ne pas l'écrire dans son  journal ? Tout simplement ?  Notamment avec son LL.MM.
Car si on s'en tient à la politique seule, on sait que sa mission est de rencontrer au moins le couple, puisque Marie-Antoinette est à l'avant-poste pour toutes les négociations avec Gustave.  
Signaler qu'il n'a pas vu le roi (seul), le 13, est donc assez surprenant.

- L'histoire des gardes nationaux maintenant...
Bon. Même s'il est avéré qu'ils jettent un oeil sur la maison de Craufurd, on imagine que la surveillance est bien plus resserrée aux Tuileries, surtout à cette époque.
Qu'un homme, tel que Fersen, qui n'a pas peur de se jeter dans Paris et de se pointer au château (le 13 et/ou le 14) s'inquiète de deux ou trois mouches autour de la piaule de Craufurd me paraît plus original...

- Pour ce qui concerne l'histoire de la déco, "à merveille".  
Beuh ! Je ne sais trop quoi dire.  
Après Varennes et au top de son impopularité, on sait que la reine s'est fait aménager un repli à l'étage. Elle est trop exposée au RDC.
Je ne sais plus où j'ai lu ça.
Il pourrait aussi évoquer la planque que lui aménage Eléonore, certes.
Mais pourquoi "son" logement, et non "mon" logement ?
Bah, de toutes les manières, Fersen qui se transforme en pigiste du Elle déco me laisse perplexe !  

- Quant au Resté-là.
Soit en effet Fersen est resté aux Tuileries (perso, suis pas partisan de la nuit entière), il le note, puis le biffe.
Soit il passe par chez les Craufurd, il croit rester, il ressort (pour le rdv tardif), et gribouille le resté là le lendemain.
Soit c'est le baron Machin qui biffe le resté-là (trop hot s’il veut absolument faire croire à une visite de Fersen aux Tuileries, ou si tel a été le cas).

Citation :

Après Varennes et au top de son impopularité, on sait que la reine s'est fait aménager un repli à l'étage. Elle est trop exposée au RDC.
Je ne sais plus où j'ai lu ça.

En tout cas on le voit dans le film de Jean Delannoy avec Michèle Morgan

Bien à vous.

Citation :

- S'il ne rencontre ni le roi, ni la reine...pourquoi ne pas l'écrire dans son  journal ? Tout simplement ?  Notamment avec son LL.MM.
Car si on s'en tient à la politique seule, on sait que sa mission est de rencontrer au moins le couple, puisque Marie-Antoinette est à l'avant-poste pour toutes les négociations avec Gustave.  
Signaler qu'il n'a pas vu le roi (seul), le 13, est donc assez surprenant.

C'est certain.

Citation :

- L'histoire des gardes nationaux maintenant...
Bon. Même s'il est avéré qu'ils jettent un oeil sur la maison de Craufurd, on imagine que la surveillance est bien plus resserrée aux Tuileries, surtout à cette époque.
Qu'un homme, tel que Fersen, qui n'a pas peur de se jeter dans Paris et de se pointer au château (le 13 et/ou le 14) s'inquiète de deux ou trois mouches autour de la piaule de Craufurd me paraît plus original...

Cette histoire de gardes nationaux postés à proximité de la taule de Craufurd me paraît tirée par les cheveux.

Citation :

- Pour ce qui concerne l'histoire de la déco, "à merveille".  
Beuh ! Je ne sais trop quoi dire.  
Après Varennes et au top de son impopularité, on sait que la reine s'est fait aménager un repli à l'étage. Elle est trop exposée au RDC.
Je ne sais plus où j'ai lu ça.
Il pourrait aussi évoquer la planque que lui aménage Eléonore, certes.
Mais pourquoi "son" logement, et non "mon" logement ?
Bah, de toutes les manières, Fersen qui se transforme en pigiste du Elle déco me laisse perplexe !  

Il ne parle pas de déco, c'est certain. On dit que quelque-chose est "merveilleux" (un logement "merveilleux" par exemple). En revanche, on ne dit pas que quelque-chose est "à merveille". Cf. le Larousse : l'expression "à merveille" ne s'utilise qu'après un verbe. Fersen ne dit pas que le logement est merveilleux, il dit qu'il est arrivé à passer dans le logement "à merveille", c'est-à-dire sans problème.

Trop compliqué pour moi. J'abandonne.

Hum, m'est avis que Fersen prend plaisir à brouiller les cartes . Dans quel but ? Nul ne le sait !

Ce Extrait de la notice écrite par Quintin Craufurd sur Marie Antoinette n est pas peut etre mesonge,
Peut-être que.Fersen a du la meme expérience.

Le 14 avril 1792, j'allai le soir prendre congé de la reine. Elle me reçut dans son cabinet de l'entresol. Vers neuf heures du soir je la quittai; elle me fit sortir par une pièce étroite où il y avait des livres et qui conduisait à un corridor fort peu éclairé. Elle m'ouvrit elle-même la porte et s'arrêta encore pour me parler; mais, entendant quelqu'un marcher dans le corridor, elle rentra.

Il était tout simple qu'en de pareilles circonstances, je fusse frappé de l'idée que je la voyais pour la dernière fois. Cette sombre pensée me rendit un moment immobile. Tiré de ma stupeur par l'approche de celui qui marchait, je quittai le château et retournai chez moi. Dans l'obscurité de la nuit, au milieu d'idées confuses, son aspect, ses derniers regards se présentaient sans cesse à mon imagination et s'y présentent encore aujourd'hui.

Leos

leos a écrit:

Ce Extrait de la notice écrite par Quintin Craufurd sur Marie Antoinette n est pas peut etre mesonge,
Peut-être que.Fersen a du la meme expérience.

Le 14 avril 1792, j'allai le soir prendre congé de la reine. Elle me reçut dans son cabinet de l'entresol. Vers neuf heures du soir je la quittai; elle me fit sortir par une pièce étroite où il y avait des livres et qui conduisait à un corridor fort peu éclairé. Elle m'ouvrit elle-même la porte et s'arrêta encore pour me parler; mais, entendant quelqu'un marcher dans le corridor, elle rentra.

Il était tout simple qu'en de pareilles circonstances, je fusse frappé de l'idée que je la voyais pour la dernière fois. Cette sombre pensée me rendit un moment immobile. Tiré de ma stupeur par l'approche de celui qui marchait, je quittai le château et retournai chez moi. Dans l'obscurité de la nuit, au milieu d'idées confuses, son aspect, ses derniers regards se présentaient sans cesse à mon imagination et s'y présentent encore aujourd'hui.

Leos

C'est vrai, Leos... A moins d'accuser le bon Quintin de mensonge, il a pu rencontrer la reine en avril 1792. Bon, la visite était plus dangereuse pour Fersen que pour lui, me semble-t-il.

Combien de temps dura l'entrevue ? La reine y met fin dès qu'un bruit l'alerte, c'est donc que l'endroit n'était pas si sûr.

En admettant que Fersen aurait pu s'introduire aux Tuileries ce 13 février, aurait-il pu, raisonnablement, y passer la nuit ? Et à faire des galipettes ?

Soyons sérieux !

Et puis, si cela s'est passé, ne trouvez-vous que ça ferait de Fersen le pire des porcs ? Qui passerait, cool à l'aise, du lit de la reine en détresse à celui d'Eléonore Sullivan ?!

Madame de Chimay a écrit:

Hum, m'est avis que Fersen prend plaisir à brouiller les cartes . Dans quel but ? Nul ne le sait !

C'est exact, princesse. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il avait l'esprit tordu !

J'aime beaucoup ta synthèse. Elle me paraît en effet résumer les hypothèses qui peuvent être élaborées.  

Parmi les questions, je reste bloquée sur la lettre à Taube. Pourquoi cette divergence avec le journal ? Kermina pose d'emblée que Fersen, envoyé en mission par son roi, était fermement décidé à joindre l'utile à l'agréable. S'il a foiré son rendez-vous du 13 et passé la soirée avec sa maîtresse, il a peut-être ressenti le besoin de le dissimuler à tous ceux qui pouvaient approcher le roi ? Même à Taube ?  

Je vais examiner tes questions une à une, si tu veux bien...

Citation :

- Pourquoi Fersen , qui écrit avec un style si télégraphique, sans guère s'occuper de fioritures, prend-il tant de soin à souligner ce elle (s'il est bien celui qui le fait) ?
Un petit elle, normal, ou un El. s'il s'agit de Mme Sullivan est bien plus simple !

Et pourquoi pas le "Elle" majuscule dévolu d'habitude à la reine ?! Non, pour le pronom, il est vraiment difficile à identifier. C'est Alma Söderhjelm elle-même qui part du principe que "Elle" égale la reine... et, là, c'est autre chose, donc.  

Bonjour
Mais sans passer la nuit au château ( je ne pense pas à la chambre au coucher de la Reine)
Fersen devait aller chez LL MM pendant la journée .. audience ordinaire...
Ce ne me semble pas possible...
Leos

Bonjour, Leos !  

En effet, ça ne semble pas évident de pénétrer aux Tuileries. C'est ce qui fait dire à Söderhjelm que, si Fersen y est entré, il y est resté, il n'a plus osé sortir avant d'avoir pu voir le roi. Et ce qui fait dire à Webster que, s'il a raté l'heure du rendez-vous, il n'a carrément pas osé y entrer. Il a dû revenir le lendemain au même moment. Les deux se tiennent.  

Si je substitue Elle par Elleonore, puis sa note pas vu le roi signifie que Fersen n a eu aucune relation avec la reine..même pas amicale.
Puis logiquement il aurait dû écrire pas vu la reine? et roi.

..Alle ches elle( Elleonore) passe par mon chemin ordinaire peur des gard: nat: son logement à merveille pas vu le roi.

Leos

leos a écrit:

Si je substitue Elle par Elleonore, puis sa note pas vu le roi  signifie que Fersen n a eu aucune relation avec la reine..même pas amicale.
Puis logiquement il aurait dû écrire pas vu la reine? et roi.

..Alle ches elle( Elleonore) passe par mon chemin ordinaire peur des gard: nat: son logement à merveille pas vu le roi.

Leos

Oui, c'est la deuxième question qui se pose.  

Bien entendu, on peut prendre l'indication exclusivement : "pas vu le roi (mais la reine bien)". Rien n'empêche de le comprendre ainsi. Mais on peut aussi considérer que Fersen a pour mission d'obtenir l'accord du roi pour un projet d'évasion qui tient beaucoup à coeur à Gustav III. C'est ça le but officiel de son voyage, et il n'y parvient pas. Il faillit à sa mission, il est donc normal qu'il le consigne...

... et qu'il mente à son ami Taube, faisant comme si tout était fait. Au fond, c'est pas grave, il ne fait que décaler les événements d'un soir...  

Citation :

 - L'histoire des gardes nationaux maintenant...
Bon. Même s'il est avéré qu'ils jettent un oeil sur la maison de Craufurd, on imagine que la surveillance est bien plus resserrée aux Tuileries, surtout à cette époque.
Qu'un homme, tel que Fersen, qui n'a pas peur de se jeter dans Paris et de se pointer au château (le 13 et/ou le 14) s'inquiète de deux ou trois mouches autour de la piaule de Craufurd me paraît plus original...

En même temps, tout dépend de ce qui s'est réellement passé. Parfois, il suffit d'une mouche mal placée pour foutre la merde.  

Je veux dire : peut-être y avait-il plus de gardes autour du château, sans doute, oui, même. Mais, où que soient ces gardes, devant chez Marie Antoinette, devant chez Eléonore, dans la rue, à la sortie du métro, il ne faut surtout pas que Fersen soit découvert. Donc, il balise, c'est naturel.  

Citation :

 - Pour ce qui concerne l'histoire de la déco, "à merveille".  
Beuh ! Je ne sais trop quoi dire.  
Après Varennes et au top de son impopularité, on sait que la reine s'est fait aménager un repli à l'étage. Elle est trop exposée au RDC.
Je ne sais plus où j'ai lu ça.
Il pourrait aussi évoquer la planque que lui aménage Eléonore, certes.
Mais pourquoi "son" logement, et non "mon" logement ?
Bah, de toutes les manières, Fersen qui se transforme en pigiste du Elle déco me laisse perplexe !  

Ah, tu l'entends comme ça ?   Moi, j'ai compris : "le logement qu'elle m'a fourni super".   Je ne crois en effet pas qu'il serait parti dans des considérations de déco, ce n'était pas vraiment le moment.   Mais, par contre, je pense qu'il veut dire que cette femme l'a très bien logé. C'est ça qui me faisait dire que ça pourrait être Eléonore, qui l'installe dans une des pièces de sa bonne Josephine.

Citation :

 - Quant au Resté-là.
Soit en effet Fersen est resté aux Tuileries (perso, suis pas partisan de la nuit entière), il le note, puis le biffe.
Soit il passe par chez les Craufurd, il croit rester, il ressort (pour le rdv tardif), et gribouille le resté là le lendemain.
Soit c'est le baron Machin qui biffe le resté-là (trop hot s’il veut absolument faire croire à une visite de Fersen aux Tuileries, ou si tel a été le cas).

C'est encore le "resté là" qui craint le plus, en effet.   Qu'a-t-il bien voulu dire ?   D'autant plus que, quand il parlait de coucher avec une femme, il le mettait toujours en suédois, paraît-il.   Ici, c'est en français... bon bon bon...  

Qui l'a barré comme un sagouin ? Cela peut effectivement être le fait de plusieurs personnes, tu as raison.

C'est vraiment compliqué...  

pimprenelle a écrit:

Ah, tu l'entends comme ça ? Moi, j'ai compris : "le logement qu'elle m'a fourni super".

C'est l'interprétation que je m'en suis toujours fait également

Bien à vous.