Le Café Procope

Citation :

Ce qui n'empêche pas Marie Leczinska de sourire dans son cadre :

Que vient-elle faire dans cette galère ?  Nous aurait-on caché que la bonne reine dévote rejoignait discrètement Voltaire et les Encyclopédistes ?

Merci pour ce passionnant exposé !!!

Bel exposé, et bien illustré ! Merci...

Et je découvre deux nouveaux mots : encorbellement et galure !

Ah bon !

Cela me donne vraiment envie d'y aller la semaine prochaine pour boire un thé!

Allez-y, allez-y, l'accueil est super sympa et faites plein d'autres photos : personne ne vous regardera de travers !
Visitez, faites le tour des salons, montez ... Moi, je suis enchantée-ravie de ma virée là-bas .

Merci.    Un bel exposé, instructif et enjoué. Le portrait de Cléry est très beau.

J'ai manqué les testaments de Louis XVI et Marie-Antoinette, au premier étage !

gente dame vous avez fait de magnifiques photos de l'extérieur du PROCOPE donnant sur le passage, mais vous avez omis de faire une photo de la boutique d'en face juste au coin de l'entrée de la Cour de Rohan qui était l'imprimerie de MARAT , cet individu habitant au 16, rue de l'Ancienne Comédie.

je n'ai pas trouvé de carte postale ancienne de cette impasse , mais voici le dos de l'immeuble - cour de Rohan, où il est bien précisé que la base de la tour d'enceinte de Philippe Auguste se trouve à gauche mais on la voit en grande taille dans la boutique côté passage.....
comme cela fait longtemps que je ne me suis pas transportée dans ces lieux, l'activité de "l'imprimerie" a certainement changée !!!!!!

MARIE ANTOINETTE

Dès que j'aurais une minute à moi, j'irai faire de photos du 16 rue de l'Ancienne Comédie.

Puisque nous faisons une très bonne publicité au PROCOPE, peut-être pourriez vous demandez un geste commercial quand vous irez prendre un café..........

Il est dit en tous cas dans le quartier que Marat habitait au 21 rue de l'école de Médecine qui est à deux pas du Procope et c'est là au 21 qu'il est assassiné par notre amie Charlotte.

Donc, de toute façon, Marat n'habitait pas un logement contigu à son imprimerie .

Et là, j'ai sous les yeux La lettre à Alexandrine de Catherine Decours . Il y est dit que Charlotte Corday se fait transporter en fiacre jusque chez Marat, au 30 de la rue des Cordeliers .
Cette rue fut supprimée lors du percement du boulevard Saint-Germain . La maison de Marat se situerait aujourd'hui sur ce boulevard, à hauteur du carrefour de l'Odéon . Ce qui ferait de Marat quasiment un voisin de palier de Danton .
En somme, personne n'est d'accord !
Je voulais aller chercher aussi dans la biographie de Charlotte Corday écrite par l'auteur préféré de Majesté (    ), mais je n'arrive pas à mettre la main dessus .....

Cherche donc dans une vraie biographie : tu trouveras
Les Chroniques de la Révolution mentionnent l'appartement du premier étage du 20 rue des Cordeliers

Bien à vous.

20 ou 10, en tous cas c'était bien, semble-t-il, rue des Cordeliers, soit entre la rue de l'Ecole de Médecine et le petit passage du café Procope .
Tout cela nous fait, dans un mouchoir de poche, un nombre impressionnant de crapules au mètre carré .

Le Procope était fréquenté par des personnages illustres et d'autres moins. Zamor y avait également ses habitudes...

Mais pas que !
Plus tard, il y eut aussi Musset, Verlaine, Anatole France...

Merci pour cette remise en perspective. Pour élargir encore le sujet, nous signalerons l'existence de cet autre exposé sur l'historique du Café Procope.
https://maria-antonia.forumactif.com/t9562-10-aout-1792-le-cafe-procope

Bien à vous

madame antoine

Mais il y a tout, dans ce Boudoir ! Des trucs anciens, des trucs modernes ! Tout, c'est incroyable !